par Abyme
le 02/05/15
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Donner sans recevoir
Pardonner
Aimer sans être aimé
Enrichissement
Vertu de la frustration
et de l'épreuve
Chaque jour nouveau
devrait être une renaissance
A chaque matin son sourire
et son pas en avant
Car chaque jour
est une nouvelle chance
de donner
de créer
de se réjouir
d'apprendre
La chance d'apprendre
est une délectation du sage.
Filo
Pardonner
Aimer sans être aimé
Enrichissement
Vertu de la frustration
et de l'épreuve
Chaque jour nouveau
devrait être une renaissance
A chaque matin son sourire
et son pas en avant
Car chaque jour
est une nouvelle chance
de donner
de créer
de se réjouir
d'apprendre
La chance d'apprendre
est une délectation du sage.
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Posté dans: Art/Dessin/Poésie/Musique
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Non, en fait j'abhorre Florent Pagny. Je me suis inspiré de mon expérience personnelle.<br />Quant à dire que <em>"le monde dans sa sincérité nous aime vraiment"</em>, non je ne crois pas ; c'est un raisonnement de croyant, ce que je ne suis pas.<br />Merci pour vos commentaires, en tout cas.
Suggestion
Par : ChatMOnYou
(Réédition du 31/01/2016 -> 23/03/2024 - 754 Vues)
.
La raison du plus fort sur le plus faible..
Cette défloration de l'esprit.
Cette douleur qui peut me faire oublier qui je suis, et quel âge j'ai.
Ce plaisir à hurler et ne pas en mourir.
Ce premier choix que je réalise et qui m'incombe.
Que vais-je faire ?
Me rebeller ?
Capituler ?
ou ressentir cet abandon ?
Cette main levée, ce coup asséné.. qui me décolle l'âme de la tête.
Ce bleu, cette cicatrice.. Point de lancement où ma raison s'échappe.
Vais-je vaciller ?
Vais-je me perdre ?
où vont mes pensées ?
Cette poigne ferme qui me penche en arrière, m'arrachant de ma torpeur,
Signe distinctif d'un bourreau voulant m'achever,
Serait-elle prompte à ma rédemption ?
Ou à ma chute ?
Cette bouche, déversant ce lien ; Cette salive chaude au goût voluptueux,
descends comme de la lave au plus profond de mes entrailles, me brulant de l'intérieur.
Ce point culminant où je me sens plus bas que terre, et que je suis à disposition du ciel,
et de me surprendre à tourbillonner avec lui.
A la merci des éléments, mon avis n'a aucune importance, car je ne veux lui donner aucun pouvoir.
Quand la mélodie est là, les mots ne sont que de simples élastiques face à cet enchainement d'émotions.
Ce plaisir éphémère que je veux imprimer en moi.
M'appartenir est mon désir,
Prolonger ce plaisir est ma volonté.
Je le regarderais donc les yeux dans les cieux,
Voulant retenir ce Maître, apte à réinsuffler mon âme ou à la dévorer.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
2000 vues
Par : KAPA🅒•••🔺rt
Jofo, est une figure incontournable dans le monde de l'art contemporain. En tant que dessinateur et artiste peintre, il a marqué les esprits avec son personnage emblématique, Toto, dont la rondeur et l'expression perplexe ont captivé l'imaginaire de nombreux admirateurs. Né à Bayonne en 1961, Jofo grandit à Dax avant de trouver sa résidence artistique à Bordeaux, où il a établi son atelier en 1981.
Son parcours artistique débute à un tournant de sa vie, lorsqu'il décide de s'installer à Bordeaux à l'âge de 20 ans pour suivre des études en architecture. C'est à ce moment qu'il révèle son génie créatif en donnant naissance à Toto, un personnage rond et délicieusement naïf, dont l'apparence contraste avec la profondeur des messages qu'il porte.
L'année 1990 voit Jofo franchir une étape majeure avec sa première exposition à Bordeaux, signant ainsi sa présence remarquée sur la scène artistique.
Si le grand public est séduit par le charme de Toto et la créativité de Jofo, il est tout aussi important de mentionner que certaines œuvres de l'artiste se sont aventurées dans des territoires subversifs et érotiquement transgressifs. À travers le prisme du voyeurisme, de l'exhibitionnisme et de la sexualité, Jofo explore dans certaines de ses peintures des facettes moins conventionnelles de l'expression artistique.
Ainsi, Jean-François Duplantier, alias Jofo, s'est imposé comme un artiste polyvalent, audacieux et visionnaire, dont le travail est ancré dans la création visuelle tout en explorant des concepts subversifs et provocateurs, faisant de lui une figure marquante dans le paysage artistique contemporain.
#Jofo
208 vues
Par : Abyme
Je suis jaloux
de ceux que tu aimes
de ceux que tu détestes
de ceux qui t'approchent sans savoir
du voisin que tu croises
tous les jours
lui accordant un sourire
il te tient peut-être la porte
respire ton parfum
dans le sillage de ta chevelure
celle que je n'effleurerai plus jamais
de l'amant d'un soir
l'inconnu qui aura osé
et pour qui tu te seras dit
"pourquoi pas?"
que tu auras jeté juste après
comme un chien
le chien que je ne serai même plus
Je suis jaloux
de ceux qui te font rire
de ceux qui te font pleurer
de ceux qui te font hurler
de ceux qui te font jouir
de ceux qui te voient nue
de ceux qui te voient tout court
de ceux qui te verront vieillir
de ceux qui te verront morte
de ceux qui oseront encore se souvenir de toi
alors que je t'aurai peut-être oubliée
347 vues
Par : Abyme
Bientôt
bientôt de peau
à fleur de mot
à fleur donnée
affleure la déraison
en soupçon d'infinis épanchements
et d'un reflet gracile
argente tes cils
en fait un horizon
et je hume les inconséquences
de tressaillements parfumés
ose
l'emblème fertile
force les ténèbres de ton mystère
réminiscence du premier geste
pamoison de râles soupirés
moisson d'étoiles partagées
symbiose
tu ris comme un cri
dont l'écho endigue mon émoi
les fluides se pâment
répandent l'incontinence de l'âme
instant d'oubli
psychose
fugace
vie/mort
----------------
commence
un nouveau regard
253 vues
Par : ChatMOnYou
(Réédition du 14/10/2020 -> 26/05/2024 - 818 Vues)
.
Se donner à l'autel des perversions.
Nourrir l'espoir; cette bête difforme, tentaculaire, arrangeante... Apte à se faufiler dans les moindres recoins de notre être.
Sortir de cette obscurité qu'est la perdition, et aspirer à se livrer à un dessein plus grand.
Etre happé(e), forcé(e), vidé(e) de sa conscience, sous totale emprise de l'inconnu.
A la fois effrayant et fascinant... Se livrer à cette entité, ne sachant où son regard et ses membres vont se porter.
Implorer sa clémence de se repaître de ce qui nous rend abject(e), névrosé(e), frustré(e), incapable de reprendre le contrôle de nos vies.
Se réapproprier ce corps translucide, et se donner matière dans un enchevêtrement de chairs et de sensations extrêmes.
Emprunt de souillure, de volupté, faire partie d'un tout, et se définir en rien.
Prier à que cela soit au bon endroit, assez profond et suffisamment fort, à se reconnecter dans des spasmes grotesques.
Pour se redonner naissance et respirer pour la première fois.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/9393/Esclave-Domestique-:-3-R%C3%A9veils-ordinaires -> Esclave Domestique : 3 Réveils ordinaires.
https://www.bdsm.fr/blog/4212/Mentalit%C3%A9-:-Cum-Slave-(Notions) -> Mentalité : Cum-Slave. (Notions)
https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction -> Ma première correction.
1.1000 vues
Par : Abyme
Fils de saltimbanques phtisiques et alcooliques, Edgar Poe voit le jour, commence à parler et à marcher dans les roulottes les troupes théâtrales et les jupes de sa mère Elizabeth Arnold, londonnienne émigrée en Amérique.
Réalité et illusion, voyage et bohème, sont constamment pour lui aux limites du rêve. Son père, David Poe Jr, tuberculeux et ivrogne, meurt quelques mois après la naissance d'Edgar. Elizabeth fuit Boston et meurt à son tour à Richmond, Virginie, en 1811, à l'âge de 24 ans.
Edgar a presque 3 ans, il est adopté par Frances Keeling Valentine, épouse du riche négociant John Allan, peu enchanté de cette initiative. À six ans, Edgar sait lire, dessiner et chanter.
Allan s'installera en Angleterre pour 5 ans, où Edgar sera confié à un collège religieux. Il y apprendra quelques éléments de français, de latin, d'histoire et de littérature. C'est peu, en revanche son imagination fiévreuse sera impressionnée par les vieux châteaux écossais, les caves humides, d'où découlera certainement son attrait du macabre et du mystère.
De retour à Richmond, Edgar fréquente l'English Classical School, où il s'amourachera de plusieurs jeunes filles en vain, jusqu'en 1826, où il sera inscrit par Allan à la Faculté de langues de l'université de de Virginie, et où il accumulera des frasques et des dettes qui le fâcheront définitivement avec son père adoptif. C'est là qu'il commence à écrire.
Un an plus tard, finie la vie bourgeoise, Edgar se retrouve seul et part pour Boston. Il se déclare alors "irrémédiablement poète".
Il y fait éditer un recueil de poésie : Tamerlan et autres poèmes, écrits par un Bostonien.
Aucun succès. Il s'engage comme simple soldat dans l'administration sous le nom d'Edgar Perry et compose le poème Al Aaraaf.
Mais ce travail lui déplaît, il part à Baltimore, voir son frère Henry, et s'installe chez une sœur de John Allan : Maria Clemm. Il passe son temps à écrire et à jouer avec sa toute jeune cousine Virginia. C'est une des rares périodes heureuses de sa vie. Ses poèmes seront même publiés chez Hatch & Dunning.
Il entre à West Point, y contracte des dettes, manque des cours et se fait jeter. Il part alors à New York où il publiera un nouveau livre, Poèmes, mais revient bien vite à Baltimore, chez sa tante Clemm qui devient un peu son "bon ange", voire sa nouvelle mère adoptive.
En 1833, premier succès concret : il remporte le prix de 50$ (grosse somme à l'époque) à un concours avec son récit Manuscrit trouvé dans une bouteille, ce qui lui permet d'être embauché un an plus tard comme rédacteur à tout faire au Southern Literary Messenger, à Richmond (où John Allan vient de mourir sans rien lui laisser). Il commence à boire.
En 1835, il y rapatrie Maria Clemm et Virginia qu'il épouse secrètement, elle est âgée de 13 ans !
Edgar se met à travailler dur, et devient rédacteur en chef du journal, pour un salaire annuel de 800$.
Il devient le critique littéraire le plus en vue, le plus redouté, chasseur de plagiaires. Mais il n'arrive pas hélas à se passer d'alcool et de drogue. Il est alors licencié.
La petite famille va s'installer à New York, où le poète publie un roman : Les aventures d'Arthur Gordon Pym de Nantucket, mais ne parvient pas à trouver un emploi, puis à Philadelphie, où il collabore au Gentleman's, jusqu'en juin 1840.
Commence alors la misère noire, une période sombre. De plus Virginia tombe malade. Il retourne à New York et collabore au New York Sun et à l'Evening Mirror qui publie en 1845 son fameux poème Le Corbeau.
C'est un triomphe : succès littéraire, succès mondain. Il courtise ici et là, mais s'enfonce pourtant dans les dettes et une pauvreté extrêmes, et toujours l'alcool.
En 47, Virginia meurt. Il écrit alors le douloureux Ulalume.
Il va désormais s'enfoncer, draguer des femmes dont l'une (une ex) va répondre à ses avances, la Veuve Shelton, à Richmond. Le mariage est décidé. Il cesse de boire et de se droguer.
C'est en tentant d'aller chercher "maman" Clemm à New York, pour le mariage, qu'il s'enivre une fois de trop à Baltimore.
Le 3 octobre, on le découvrira dans le ruisseau, sale, dépenaillé, inconscient.
Transporté au Washington Hospital, il y meurt le 7 octobre 1849.
À l'instar de plusieurs célébrités (Marilyn Monroe ou Jim Morrison par exemple), des polémiques et interprétations diverses coururent sur les causes exactes de sa mort.
L’ŒUVRE
Baudelaire, qui fit connaître Poe en Europe, estimait son oeuvre à environ 70 récits, 50 poèmes, 800 pages d'articles critiques, et un ouvrage philosophique, Eurêka.
Hormis les poèmes, ses contes sont incontestablement la part la plus connue de son œuvre, traduit par Baudelaire et regroupés en deux recueils : Histoires extraordinaires et Nouvelles histoires extraordinaires, auxquels il convient d'ajouter les Contes grotesques et fantastiques (ce dernier fut publié sous ce titre de son vivant, en 1840).
Les aventures d'Arthur Gordon Pym est son seul roman, écrit pour raisons alimentaires, où alternent des scènes émouvantes et des passages ennuyeux et bâclés.
Il en avait commencé un second (paru en feuilleton dans la presse), le Journal de Julius Rodman, qui resta inachevé. À noter que c'est l'un des tout-premiers westerns de la littérature américaine.
Il fut également le précurseur de l'enquête à énigme à la Sherlock Holmes avec son héros Dupin (Double assassinat dans la rue Morgue, Le mystère de Marie Roget et La lettre volée). Conan Doyle avait reconnu s’en être inspiré pour créer le personnage de Sherlock Holmes.
Mais la mort reste le thème favori des récits fantastiques de Poe. Il faut dire qu'il l'a approchée tant de fois, sous la forme de la tuberculose, qui tua toutes les femmes de sa vie.
"La mort triomphait dans cette voix étrange" a écrit dans Le tombeau d'Edgar Poe, Stéphane Mallarmé, deuxième grand poète français à lui avoir voué un culte et des traductions.
Le compositeur Eric Woolfson, passionné par Poe, eut l'idée de composer un projet musical sur Edgar Poe et son œuvre, et le proposa à l'ingénieur du son de Pink Floyd : Alan Parsons. Un groupe est alors formé au milieu des années 70 : The Alan Parsons Project, et l'album sort sous le titre "Tales of Mysteries and imagination". Ce groupe sortira plus tard quelques albums remarqués (le meilleur étant "Pyramid" ), et même un tube : “Eye in the Sky". Mais Woolfson le quittera car il composait pratiquement tout alors que les honneurs revenaient à Parsons, piètre musicien.
- Connaissiez-vous Edgar Poe ?
- Si oui, quel récit de lui vous a le plus marqué ?
- Le considérez-vous comme un auteur majeur de la littérature américaine ?
- Si je vous dis "Quoth the Raven...", que répondez-vous ?
247 vues
Par : BDSM
On vous parlait il y a quelques mois de ce livre-phénomène qui a explosé les ventes aux Etats-Unis et en Angleterre sous le titre Fifty shades of Grey. Bien qu'étant matiné de BDSM, le bouquin a conquis bien des lecteurs (et surtout des lectrices) bien au delà de ce qu'on pouvait considerer être son coeur de cible : les adeptes de la Domination/soumission et du Sado-Masochisme. Nombreuses sont celles (et ceux) qui sont sortis tout emoustillées de ce sulfureux ouvrages (pour ce qui n'ont jamais entendu parlé des pratiques BDSM du moins).
Nous avions évoqué l'adaptation française de Fifty shades of Grey dans cet article.
Le livre bien d'être adapté en français, comme prévus, chez Lattès, sous le titre :
Cinquante nuances de Grey
Cliquez ici pour commander 50 nuances de Grey
(à noter que BDSM.FR touchera un petit quelquechose si vous achetez 50 nuances de Grey par le lien ci dessus, petit quelquechose qui sera apprécié pour payer les infrastructures du site ! Merci d'avance ).
Reste à savoir si les adeptes du BDSM, bien au fait des pratiques de cet univers si particulier se reconnaitrons un peu, beaucoup, passionnement, ou pas du tout, dans cet ouvrage.
On peut penser qu'un tel succès de librairie va en tout cas décider certains lecteurs et certaines lectrices à pousser la porte du Grand Donjon des pratiques BDSM. Quel accueil va-t-il leur être réservé ? Sauront-ils passer du fantasme littéraire aux parfois âpres pratiques de l'exercice ?50 nuances de Grey risque-t-il de dénaturer l'esprit du BDSM tel que l'envisagent les adeptes coûtumiers ?
Les questions sont posées. Vos commentaires sur Cinquante nuances de Grey sont les bienvenus (et sont même attendus !).
...
2000 vues
Par : Abyme
Une danseuse
en tutu
joue l'allumeuse
et moi le bourru
elle me chauffe
et j'halète
je l'apostrophe
pour qu'elle m'allaite
elle mate
ma braguette
puis me flatte
la baguette
je lui susurre
du chaud pain
une ouverture
sans baratin
alors elle m'offre
sa gorge déployée
la belle a du coffre!
me voilà augmenté
la vorace
m'astique
pourvu, de grâce!
qu'elle ne mastique
lorsque irrépressible
se met en branle
la montée indicible
j'en tremble
mais la gloutonne
n'en a cure
elle me ramone
me transfigure
alors j'expectore
mon désaveu
et elle pérore
d'un sourire baveux
307 vues
Par : BDSM
Mise à jour du 18/10/2012 :
Ca y est l'ouvrage est sortie en france, sous le titre
Cinquante nuances de Grey
Cliquez ici pour le commander
Vous avez sans doute entendu parlé du livre-phénomène "50 Shades Of Grey". Nous en avions d'ailleurs parlé sur BDSM.FR quand celui-ci faisait tant de bruit dans les pays anglo-saxons.
Autant dire que son auteur, EL James, a frappé un grand coup pour son premier livre qui se veut le récit des sulfureuses relations entre une étudiante diplômée d'université et un homme d'affaires.
Dans le livre, Anastasia Steele se voit obligée à signer un contrat où elle remet dans les main de Grey le contrôle complet de sa vie. Elle se doit, alors, d'assouvir tous les désirs de Grey. Y compris et surtout au niveau du sexe. Grey aime le BDSM, le bondage et le sadisme et Steele est elle encore vierge, autant dire que la trame et le caractère des deux personnages semble inconciliable, et on sent poindre une histoire qui pourrait s'avérer plutot glauque.
Le premier livre de la série qui s'articule autour de trois ouvrages été publié sous forme électronique avant de sortir en livre de poche imprimé à la demande. Le succès qui allait s'en suivre a pour le moins été imprévu : l'ouvrage a littéralement conquis un public féminin malgré la perversité qui y domine en filigrane. Des millions de lectrices dans le monde entier se sont laissés envoutées.
Si les avis positifs de lecteurs affluent, certains vont jusqu'à érigée l'ouvrage comme un manuel d'éveil (ou de réveil, puisque nombreuses lectrices sont des mères de familles) à la sexualité et se sont senti pousser des ailes pour explorer sexuellement et émotionnellement de nouvelles pratiques.
Après le succès du bouquin dans les pays anglo-saxons, les éditions Lattès se sont saisis des droits d'adaptation en français, et les lectrices français devraient pouvoir jouir ... de l'ouvrage dès le mois d'octobre. Une idée de cadeau de noël ?
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