Mon Maître est doux, patient et sait être compréhensif, quand pour une raison ou pour une autre il ne peut pas agir sur le moment, il me fait crédit. Le problème du crédit ce sont les intérêts. Aujourd'hui j'ai reçu un sms qui me rappelait mes propos de la veille, et sur le moment j'ai compris que ce qui n'était à la base qu'une façon de le taquiner allait devenir pour moi un moment de solitude. Aurais-je vraiment osé dire à Mon Maître qu'il était vieux et qu'il avait une mémoire de poisson rouge? J'ai honte de le reconnaître mais oui j'avoue je l'ai dit. Je n'ai pas cherché a négocier, j'ai acquiescé chacune de ses demandes. Je me tiens là debout dans le coin de la pièce. Mon collier autour du cou, mon baillon en bouche, un foulard sur les yeux, ensuite...un plug glisser dans mon sexe déjà humide, un œuf vibrant sur le clitoris, je remonte ma culotte, place mes mains dans mon dos et j'attend. A chaque fois que mon téléphone vibre j'augmente la vitesse de mon œuf, jusqu'a atteindre la pleine vitesse. J'ai de plus en plus de mal a tenir la position et quand Mon Maître finit par m'appeler je pense que cela va cesser mais non....Aurais-je abusé? A sa demande je m'assois contre le mur en tailleur, je place des pinces sur mes tétons et attend. Cette fois lorsque le téléphone vibre je me claque l'intérieur des cuisses en disant aussi distinctement que possible : "c'est pas moi qui commande!", et un aller retour de cette petite chose qui remplie mon sexe. J'avoue que je n'en peux plus, ma culotte pourrait être essorée, mes seins sont douloureux et mes cuisses commencent a vraiment chauffer. Ce petit jeu (ce sont ses mots pas les miens) dure environ 15 minutes, tout comme le premier d'ailleurs. Quand le téléphone sonne pour de bon et que je décroche j'espère vraiment que c'est fini mais non toujours pas, j'enlève le baillon et je m'allonge sur le sol, "une chienne" n'a pas le droit au lit d'après lui, je ne suis pas en position de négocier. A sa demande je me caresse de plus en plus vite jusqu'a l'explosion, là sur le sol entre mes cuisse, j'ai honte, tellement honte.... Mais c'est si bon la honte. As-tu compris? bien entendu je répond "oui" mais un oui n'est pas assez et j'entend à sa voix qu'il s'énerve en demandant "oui mon chien?" et comme si je ne l'avais pas assez provoqué aujourd'hui, je répond naturellement "oui mon chien!". Mais qu'est ce que je peux être stupide parfois! Je ne sais pas combien de fois ma brosse a claqué mon cul, fesse droite, fesse gauche, côté plat, côté pics.... En même temps je ne peux pas me plaindre, je sais que je l'ai mérité cette punition... En écrivant ces lignes, j'ai encore mal a peu près partout, et je suis sûre que je ferai bien plus attention à ce que je dis, Mon Maître a une excellente mémoire ... Moralité : La provocation c'est bien mais ne pas en abuser c'est pas mal non plus !!!