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Les jambes flageolantes, je reprenais doucement contact avec la réalité quand une main me saisit par les cheveux et me releva la tête.
- Regardez, madame, l’état dans lequel vous avez mis mon gant … il est dégoulinant de votre plaisir animal … vous allez réparer cet état et le nettoyer soigneusement d’une langue consciencieuse !
- Monsieur, non … s’il vous plait …
- Léchez !!! ce dernier ordre fut ponctué par le sifflement d’une badine qui cingla mes fesses exposées.
Que pouvais-je faire d’autre, maintenue et fouettée, que de m’exécuter ? Docilement je réparais ma faute d’une langue trop malhabile ou trop lente au gout de mes tortionnaires. Cela me valut encore quelques cinglantes volées de badine, alternées par la caresse de mains vérifiant que la peau fine de mon fessier gardait bien en mémoire les traces de mes tourments.
Tout se brouillait dans ma tête. La position était physiquement dure à tenir. Je ne sais si c’est la honte, l’humiliation de la situation, la peur ou l’inconfort mais des larmes brouillèrent peu à peu ma vue. Des larmes de frustration aussi car je sentais bien dans mon fort intérieur, sans totalement oser me l’avouer, que je ne désirais qu’une chose … c’est qu’ils continuent …
Et pour tout dire je fus perversement exaucée bien au delà de mes attentes. Un des motards se glissa derrière moi et descendit mon string sur mes chevilles.
- Donnez votre petite culotte … et écartez vos jambes … encore ! … encore un peu … voilà !
Je m’exécutais maladroitement à la fois inquiète, impatiente de la suite, et soulagée de pouvoir changer de position. La badine qui avait servi à me fouetter vint cette fois doucement se poser sous mon menton qu’elle releva :
- Relevez la tête et regardez nous, madame … avez vous déjà été prise par derrière devant un public de connaisseurs … ?
- Oui messieurs, répondais-je dans un murmure
- Je n’ai pas entendu ! vous avez entendu, messieurs ? répétez à haute voix madame !
- OUI MESSIEURS, mon Maitre m’a déjà fait connaître cela !
- Et il vous serait agréable madame de renouveler cette expérience … ?
- Ais-je le choix Messieurs ?
- Pas vraiment Madame.
… et tandis que trois de ces messieurs m’imposaient de les regarder, le dernier vint derrière moi, et tranquillement entreprit de m’écarter afin de présenter son sexe turgescent à l’entré de mon plus intime orifice. Habituée par mon Maitre à être utilisée de la sorte, la pénétration ne fut qu’une formalité ; et j’engloutis sans difficulté, et jusqu’à la garde, ce membre que mon assaillant, accroché à mes hanches, s’ingéniait à vouloir enfoncer aux tréfonds de moi-même.
Alors ils ont fait de moi leur esclave sexuelle, se sont relayés et se sont délectés à m’utiliser de la sorte et à lire au fond de mes yeux et sur mon visage le mélange de honte et de plaisir qui me transportait.
A peine lâchée par le premier, qu’un second se présente derrière moi et m’ajuste sur son sexe. Docile, je relève et tend ma croupe tant j’ai hâte qu’il m’enfile. Il passe ses pouces entre mes fesses qu’il écarte et commence sa lente progression anale. Chaque centimètre enfoncé dans mon fondement me procure plus de jouissance. Une fois la verge totalement enfouie il se livre à maint va-et-vient pour ne faire de moi plus qu’un immense plaisir de femelle exhibée, offerte et prise.
Tandis que le troisième se prépare à m’honorer, mon chauffeur, n’a pas lâché sa badine qu’il maintient toujours sous mon menton.
- Remerciez, madame ces messieurs d’aussi bien prendre soin de la chienne que vous êtes …
- J’attends !
- Merci messieurs … d’aussi bien me … oh !
Mon chauffeur ouvre son pantalon d’où il extrait une verge de fort belle proportion, longue et large à souhait qu’il approche près de mon visage
- Voici, madame le seul objet que vous devez vénérer et auquel vous devez vous soumettre dans l’instant. Léchez ce gland en signe de soumission !
Je m’exécute du mieux possible, tandis qu’il promène sa verge sur mon visage et qu’il me gifle avec.
- Les couilles maintenant, madame, léchez les couilles …
J’obéis à nouveau avec gourmandise, tant ce rôle d’objet m’excite au plus haut point. Je ne peux plus me retenir. Apparemment, je ne suis pas la seule à en juger par les halètements qui m’entourent. Soudain, alors que monte en moi une formidable envie de jouir, mon motard m’envoie au visage son délicieux liquide, relayé de concert par ses deux comparses. Ces douches masculines achèvent de libérer mon plaisir et j’explose en un interminable orgasme totalement empalée sur mon dernier assaillant.
C’est dans un état second que j’entends vaguement mes bourreaux d’un soir se séparer et les motos démarrer et disparaître au loin. Mon motard, le sourire aux lèvres, me délie et m’accorde le droit de me rhabiller tant bien que mal. Par contre je n’ai pas le droit de m’essuyer, et c’est dans cette équipage qu’il me ramène (sans détour cette fois) jusqu’à ma voiture.
Assise derrière mon volant, je mets un long moment à retrouver mes esprits … je tourne et retourne cet épisode dans ma tête, essayant de comprendre pourquoi je prends tant de plaisir à de tels tourments.
Le retour jusqu’à la maison est rapide … Lorsque je passe le pas de la porte, je sais déjà qu’Il est là, sa voix m’appelle et je viens me placer à genoux devant Lui.
- Bonjour Janice, ces messieurs se sont-ils bien occupés de toi ? et leur as tu donné entière satisfaction ?
- J’espère Maitre.
- Cette petite leçon t’a-t-elle appris quelque chose sur ta nature profonde, et sur ta condition de soumise telle que je la veux ?
- Oh oui Maitre
- Nous allons voir cela … raconte moi tout en détail et ensuite je passerais un coup de fil pour avoir un second éclairage.
- Oui Maitre … voilà … Il n’était pas de la région, je ne le connaissais pas, Maitre … pourtant depuis plusieurs jours nous dialoguions sur internet …
- Regardez, madame, l’état dans lequel vous avez mis mon gant … il est dégoulinant de votre plaisir animal … vous allez réparer cet état et le nettoyer soigneusement d’une langue consciencieuse !
- Monsieur, non … s’il vous plait …
- Léchez !!! ce dernier ordre fut ponctué par le sifflement d’une badine qui cingla mes fesses exposées.
Que pouvais-je faire d’autre, maintenue et fouettée, que de m’exécuter ? Docilement je réparais ma faute d’une langue trop malhabile ou trop lente au gout de mes tortionnaires. Cela me valut encore quelques cinglantes volées de badine, alternées par la caresse de mains vérifiant que la peau fine de mon fessier gardait bien en mémoire les traces de mes tourments.
Tout se brouillait dans ma tête. La position était physiquement dure à tenir. Je ne sais si c’est la honte, l’humiliation de la situation, la peur ou l’inconfort mais des larmes brouillèrent peu à peu ma vue. Des larmes de frustration aussi car je sentais bien dans mon fort intérieur, sans totalement oser me l’avouer, que je ne désirais qu’une chose … c’est qu’ils continuent …
Et pour tout dire je fus perversement exaucée bien au delà de mes attentes. Un des motards se glissa derrière moi et descendit mon string sur mes chevilles.
- Donnez votre petite culotte … et écartez vos jambes … encore ! … encore un peu … voilà !
Je m’exécutais maladroitement à la fois inquiète, impatiente de la suite, et soulagée de pouvoir changer de position. La badine qui avait servi à me fouetter vint cette fois doucement se poser sous mon menton qu’elle releva :
- Relevez la tête et regardez nous, madame … avez vous déjà été prise par derrière devant un public de connaisseurs … ?
- Oui messieurs, répondais-je dans un murmure
- Je n’ai pas entendu ! vous avez entendu, messieurs ? répétez à haute voix madame !
- OUI MESSIEURS, mon Maitre m’a déjà fait connaître cela !
- Et il vous serait agréable madame de renouveler cette expérience … ?
- Ais-je le choix Messieurs ?
- Pas vraiment Madame.
… et tandis que trois de ces messieurs m’imposaient de les regarder, le dernier vint derrière moi, et tranquillement entreprit de m’écarter afin de présenter son sexe turgescent à l’entré de mon plus intime orifice. Habituée par mon Maitre à être utilisée de la sorte, la pénétration ne fut qu’une formalité ; et j’engloutis sans difficulté, et jusqu’à la garde, ce membre que mon assaillant, accroché à mes hanches, s’ingéniait à vouloir enfoncer aux tréfonds de moi-même.
Alors ils ont fait de moi leur esclave sexuelle, se sont relayés et se sont délectés à m’utiliser de la sorte et à lire au fond de mes yeux et sur mon visage le mélange de honte et de plaisir qui me transportait.
A peine lâchée par le premier, qu’un second se présente derrière moi et m’ajuste sur son sexe. Docile, je relève et tend ma croupe tant j’ai hâte qu’il m’enfile. Il passe ses pouces entre mes fesses qu’il écarte et commence sa lente progression anale. Chaque centimètre enfoncé dans mon fondement me procure plus de jouissance. Une fois la verge totalement enfouie il se livre à maint va-et-vient pour ne faire de moi plus qu’un immense plaisir de femelle exhibée, offerte et prise.
Tandis que le troisième se prépare à m’honorer, mon chauffeur, n’a pas lâché sa badine qu’il maintient toujours sous mon menton.
- Remerciez, madame ces messieurs d’aussi bien prendre soin de la chienne que vous êtes …
- J’attends !
- Merci messieurs … d’aussi bien me … oh !
Mon chauffeur ouvre son pantalon d’où il extrait une verge de fort belle proportion, longue et large à souhait qu’il approche près de mon visage
- Voici, madame le seul objet que vous devez vénérer et auquel vous devez vous soumettre dans l’instant. Léchez ce gland en signe de soumission !
Je m’exécute du mieux possible, tandis qu’il promène sa verge sur mon visage et qu’il me gifle avec.
- Les couilles maintenant, madame, léchez les couilles …
J’obéis à nouveau avec gourmandise, tant ce rôle d’objet m’excite au plus haut point. Je ne peux plus me retenir. Apparemment, je ne suis pas la seule à en juger par les halètements qui m’entourent. Soudain, alors que monte en moi une formidable envie de jouir, mon motard m’envoie au visage son délicieux liquide, relayé de concert par ses deux comparses. Ces douches masculines achèvent de libérer mon plaisir et j’explose en un interminable orgasme totalement empalée sur mon dernier assaillant.
C’est dans un état second que j’entends vaguement mes bourreaux d’un soir se séparer et les motos démarrer et disparaître au loin. Mon motard, le sourire aux lèvres, me délie et m’accorde le droit de me rhabiller tant bien que mal. Par contre je n’ai pas le droit de m’essuyer, et c’est dans cette équipage qu’il me ramène (sans détour cette fois) jusqu’à ma voiture.
Assise derrière mon volant, je mets un long moment à retrouver mes esprits … je tourne et retourne cet épisode dans ma tête, essayant de comprendre pourquoi je prends tant de plaisir à de tels tourments.
Le retour jusqu’à la maison est rapide … Lorsque je passe le pas de la porte, je sais déjà qu’Il est là, sa voix m’appelle et je viens me placer à genoux devant Lui.
- Bonjour Janice, ces messieurs se sont-ils bien occupés de toi ? et leur as tu donné entière satisfaction ?
- J’espère Maitre.
- Cette petite leçon t’a-t-elle appris quelque chose sur ta nature profonde, et sur ta condition de soumise telle que je la veux ?
- Oh oui Maitre
- Nous allons voir cela … raconte moi tout en détail et ensuite je passerais un coup de fil pour avoir un second éclairage.
- Oui Maitre … voilà … Il n’était pas de la région, je ne le connaissais pas, Maitre … pourtant depuis plusieurs jours nous dialoguions sur internet …
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