par #
le 23/01/14
J'aime
1
47 ! ça fait un paquet,non ? Mais bon, si c’est un souhait de maîtresse Isis, je m’exécute.
1.Homme de bientôt 48 ans, 1m75, 72 -74kg, bien dans ma peau, pas trop mal dans ma tête, je suis d’origine vanille mais depuis toujours attiré par le reste du monde. J’aime les sentiers rocailleux ou l’on se fait surprendre agréablement.
2 Je ne suis pas typé méditerranéen et pourtant, dans mes veines coule le sang chaud de l’Espagne. J’en suis fier, même si je ne le revendique pas au quotidien.
3 Plus jeune, j’étais très branché « Sex, drug and Rock’n’Roll «
4 Je ne partage pas ma vie BDSM avec mes amis de tous les jours, du moins pas encore ;-)
5 je suis tombé dans ce drole de monde par pur hasard…et le hasard fait bien les choses !!!
6 Je possède 6 guitares. Chacune d’entre elles a une histoire. La guitare est instrument que l’on serre contre soi, c’est enivrant et sensuel.
7 J’ai déjà eu une aventure avec des hommes, mai je préfère les femmes.
8 J’ai un chat tout noir et super gentil. Il s’appelle Hector.
9 Je suis un homme sensible et très très calin. J’aime la douceur d’une peau de femme et je pourrais passer des heures à caliner une femme avant d’aller plus loin.
10 Les jeux de cordes, ça me plait enooooormement !
11 J’aime boire avec mes amis et refaire le monde.
12 J’avoue, je suis bagarreur…. La dernière fois que j’ai rossé un mec, c’était au CM2 !
13 J’ai beaucoup voyagé à moto. Je roule depuis 25 ans
14 Ma partenaire de jeux, en mode domina, est à tomber raide !!!!
15 J’ai déjà fait de plan sexe à 3.
16 Depuis que j’ai découvert le monde BDSM mes attirances évoluent à vitesse V.
17 J’aime faire plaisir au quotidien à ceux que j’apprécie.
18 Dans ma tête, il y toujours de la musique.
19 Je ne planifie jamais mes vacances, toujours à l’arrache.
20 J’ai un kyste sur mon testicule droit qui me fait mal de temps à autres.
21 Je suis skieur. J’adore skier en poudreuse avec mes 2 potes. Je me sens libre. Je suis libre.
22 Je suis très souvent de bonne humeur.
23 Je ne suis pas soumis et je ne suis pas dominateur…. J’aime la savoir à ma merci pour son plus grand plaisir et j’aime être à ses pieds pour la satisfaire. Compliqué ? Nan !
24 Je passe des heures à caresser mon chat. J’aime les chats. Tous les chats. Les chattes aussi. Ok, je sors….
25 J’ai été plusieurs fois amoureux, vraiment très amoureux. Toujours de femmes. A chaque rupture subie, j’ai cru mourir. Pourtant, je suis toujours prêt à recommencer, quitte à souffrir plus encore. Je pense que mon coté maso est là.
26 Dimanche 19/1, j’ai participé à mon premier munch. J’ai flashé sur JunonBee et sa crinière… Cette fille, c’est du pur rock’n’roll, sur !
27 Je ne suis pas très bon guitariste. Helas.
28 Ma partenaire de jeux est une fée. Etre à ses coté me rend profondément heureux.
29 J’aime le jazz, en live si possible. Sinon, Eric Legnini, Ibrahim Maalouf ou Peter Wolf…. Whaou !
30 Je n’ai pas d’enfant, par choix. Je commence à penser que ce choix n’était pas le bon.
31 Quand mes amies pleurent, c’est vers moi qu’elles viennent pour se faire consoler.
32 La tarte à la myrtille est ma spécialité !
33 Je ne supporte pas la douleur, et je n’aime pas faire mal… sauf si c’est pour son plus grand bien !
34 Mon boulot ne me passionne plus, c’est juste alimentaire. Triste, non ?
35 Isis, t’as vraiment forcé : 47, pfiuuuu
36 Je me suis deja fait pincer les fesses par une femme dans la rue !
37 J’ai beaucoup d’imagination et je suis bon bricoleur. Ça vous donne des idées ?
38 J’aime courrir et faire du VTT. J’aime l’effort, suer, rentrer couvert de boue et les jambes en coton, content d’aller prendre une douche.
39 Ce we, j’ai fait des choses à ma partenaire de jeux que je n’avais jamais fait à personne.
40 Je suis gourmand, j’aime le chocolat et les sucreries en general.
41 Je suis un ancien fumeur pas très tolérant ave les fumeurs.
42 Je suis attiré par la photographie, depuis toujours. J’ai des dizaines d’idée de mise en scène. Va quand même falloir que je me cotise pour m’acheter un bon appareil photo.
43 J’ai eu une relation hot avec une de mes collègues.
44 Je suis troublé quand je sens que je plais à une femme, et gêné quand il s’agit d’un homme.
45 J’aime faire la cuisine, surtout des prototypes que je prends un malin plaisir à faire goûter à mes amis. Personne n’est encore mort d’empoisonnement !
46 Je ne veux pas perdre toute ma couleur vanille. Je l’aime bien.
47 Je repense souvent à Lydia, une jeune espagnole rencontrée à 17-18ans avec qui j’ai passé un superbe été.
Finalement, ca n’a pas été aussi long que ça !
A qui le tour?
Daninou
1.Homme de bientôt 48 ans, 1m75, 72 -74kg, bien dans ma peau, pas trop mal dans ma tête, je suis d’origine vanille mais depuis toujours attiré par le reste du monde. J’aime les sentiers rocailleux ou l’on se fait surprendre agréablement.
2 Je ne suis pas typé méditerranéen et pourtant, dans mes veines coule le sang chaud de l’Espagne. J’en suis fier, même si je ne le revendique pas au quotidien.
3 Plus jeune, j’étais très branché « Sex, drug and Rock’n’Roll «
4 Je ne partage pas ma vie BDSM avec mes amis de tous les jours, du moins pas encore ;-)
5 je suis tombé dans ce drole de monde par pur hasard…et le hasard fait bien les choses !!!
6 Je possède 6 guitares. Chacune d’entre elles a une histoire. La guitare est instrument que l’on serre contre soi, c’est enivrant et sensuel.
7 J’ai déjà eu une aventure avec des hommes, mai je préfère les femmes.
8 J’ai un chat tout noir et super gentil. Il s’appelle Hector.
9 Je suis un homme sensible et très très calin. J’aime la douceur d’une peau de femme et je pourrais passer des heures à caliner une femme avant d’aller plus loin.
10 Les jeux de cordes, ça me plait enooooormement !
11 J’aime boire avec mes amis et refaire le monde.
12 J’avoue, je suis bagarreur…. La dernière fois que j’ai rossé un mec, c’était au CM2 !
13 J’ai beaucoup voyagé à moto. Je roule depuis 25 ans
14 Ma partenaire de jeux, en mode domina, est à tomber raide !!!!
15 J’ai déjà fait de plan sexe à 3.
16 Depuis que j’ai découvert le monde BDSM mes attirances évoluent à vitesse V.
17 J’aime faire plaisir au quotidien à ceux que j’apprécie.
18 Dans ma tête, il y toujours de la musique.
19 Je ne planifie jamais mes vacances, toujours à l’arrache.
20 J’ai un kyste sur mon testicule droit qui me fait mal de temps à autres.
21 Je suis skieur. J’adore skier en poudreuse avec mes 2 potes. Je me sens libre. Je suis libre.
22 Je suis très souvent de bonne humeur.
23 Je ne suis pas soumis et je ne suis pas dominateur…. J’aime la savoir à ma merci pour son plus grand plaisir et j’aime être à ses pieds pour la satisfaire. Compliqué ? Nan !
24 Je passe des heures à caresser mon chat. J’aime les chats. Tous les chats. Les chattes aussi. Ok, je sors….
25 J’ai été plusieurs fois amoureux, vraiment très amoureux. Toujours de femmes. A chaque rupture subie, j’ai cru mourir. Pourtant, je suis toujours prêt à recommencer, quitte à souffrir plus encore. Je pense que mon coté maso est là.
26 Dimanche 19/1, j’ai participé à mon premier munch. J’ai flashé sur JunonBee et sa crinière… Cette fille, c’est du pur rock’n’roll, sur !
27 Je ne suis pas très bon guitariste. Helas.
28 Ma partenaire de jeux est une fée. Etre à ses coté me rend profondément heureux.
29 J’aime le jazz, en live si possible. Sinon, Eric Legnini, Ibrahim Maalouf ou Peter Wolf…. Whaou !
30 Je n’ai pas d’enfant, par choix. Je commence à penser que ce choix n’était pas le bon.
31 Quand mes amies pleurent, c’est vers moi qu’elles viennent pour se faire consoler.
32 La tarte à la myrtille est ma spécialité !
33 Je ne supporte pas la douleur, et je n’aime pas faire mal… sauf si c’est pour son plus grand bien !
34 Mon boulot ne me passionne plus, c’est juste alimentaire. Triste, non ?
35 Isis, t’as vraiment forcé : 47, pfiuuuu
36 Je me suis deja fait pincer les fesses par une femme dans la rue !
37 J’ai beaucoup d’imagination et je suis bon bricoleur. Ça vous donne des idées ?
38 J’aime courrir et faire du VTT. J’aime l’effort, suer, rentrer couvert de boue et les jambes en coton, content d’aller prendre une douche.
39 Ce we, j’ai fait des choses à ma partenaire de jeux que je n’avais jamais fait à personne.
40 Je suis gourmand, j’aime le chocolat et les sucreries en general.
41 Je suis un ancien fumeur pas très tolérant ave les fumeurs.
42 Je suis attiré par la photographie, depuis toujours. J’ai des dizaines d’idée de mise en scène. Va quand même falloir que je me cotise pour m’acheter un bon appareil photo.
43 J’ai eu une relation hot avec une de mes collègues.
44 Je suis troublé quand je sens que je plais à une femme, et gêné quand il s’agit d’un homme.
45 J’aime faire la cuisine, surtout des prototypes que je prends un malin plaisir à faire goûter à mes amis. Personne n’est encore mort d’empoisonnement !
46 Je ne veux pas perdre toute ma couleur vanille. Je l’aime bien.
47 Je repense souvent à Lydia, une jeune espagnole rencontrée à 17-18ans avec qui j’ai passé un superbe été.
Finalement, ca n’a pas été aussi long que ça !
A qui le tour?
Daninou
Posté dans: Autres
J'aime
1
1 personne aime(nt) ça.
Heureuse d'avoir fait votre connaissance <img src="http://www.bdsm.fr/file/pic/emoticon/default/smile.png" alt="Smile" title="Smile" title="v_middle" />
Suggestion
Par : Abyme
J'ai oublié quand et où. Vers la fin des années 90, une retransmission du festival de Montreux jazz à la télé.
Nina simone était là, avec son gros chignon attaché par un tissu et son habituelle humilité, son visage reflétant celui qu'elle avait dû avoir lorsqu'elle était enfant, devant son piano, et elle semblait avoir quelque chose à dire.
Elle dit au public qu'elle allait lui raconter une histoire.
Elle étant en train d'improviser, c'était évident, et je voyais bien qu'elle était très touchée.
Mon magnétoscope était branché, alors j'ai eu l'impulsion d'appuyer sur record.
Depuis j'ai perdu l'enregistrement et impossible de le retrouver, mais j'avais traduit ce qu'elle a dit alors en s'accompagnant d'une impro au piano, et je viens de retrouver mes notes :
Les étoiles (stars),
Elles arrivent, elles repartent,
elles arrivent vite et s'en vont doucement.
elles s'en vont tel le dernier rayon de soleil.
Tout ce que vous voyez c'est la gloire,
mais on se sent seul là-haut
quand il n'y a personne avec qui partager.
Tu peux t'en soulager si tu écoutes cette histoire :
Les gens ont soif de gloire comme des athlètes dans l'arène.
Ils se brisent la nuque et rebondissent sur leurs pieds.
Certains sont couronnés, d'autres sont jetés à terre. Certains sont perdus et jamais retrouvés.
Mais la plupart ont tout vu : ils ont passé leur vie dans des cafés et des salles de concert sinistres...
Et ils ont tous une histoire.
Certains réussissent quand ils sont jeunes, avant que le monde n'ait fait son sale boulot.
Plus tard quelqu'un dira que tu as fait ton temps et qu'il faut céder la place maintenant.
C'est ce qu'ils disent.
Mais tu ne connaîtras jamais la douleur d'avoir un nom qui ne t'appartient pas.
Toutes ces années passées à oublier ce que tu sais trop bien.
Toi qui a donné ta couronne, on t'a laissé tomber.
Tu essaies de faire amende honorable sans te défendre,
peut-être en faisant semblant de n'avoir jamais vu les yeux de ces jeunes hommes
qui te suivaient pas à pas, demandaient des autographes, t'embrassaient sur la joue...
Tu n'as jamais pu croire à leur amour.
Jamais.
Certains réussissent quand ils sont vieux.
Peut-être ont-ils une âme qu'ils n'ont pas peur de mouiller,
Peut-être qu'il n'y a rien du tout...
(chanté, au bord des larmes : )
Je ne voulais pas raconter ça
je voulais raconter une histoire
comme nous en avons tous
mais je l'ai oubliée
alors je vais vous parler de l'atmosphère
qui règne au Etats Unis aujourd'hui
et qui gagne même la France
Mais je continue quand même
jusqu'à ce que je me ressaisisse...
Certaines femmes ont un corps que les hommes veulent regarder,
Alors elles l'exposent.
Des gens jouent de la guitare
Je pourrais les écouter jouer tout le temps.
Mais j'essaye quand même de raconter mon histoire
Janis Jan l'a très bien racontée
Janis Joplin l'a racontée encore mieux
et Billie Holliday encore beaucoup mieux.
Nous avons tous une histoire.
La dernière que j'apprendrai, c'est avec celle-là que je suis censée mourir.
Nina Simone nous a quitté peu après, il y a 13 ans, le 21 avril 2003, à l'âge de 70 ans. Une belle âme.
859 vues
Par : rex82
Après avoir constaté quelques erreurs, je poste de nouveau mon portrait québécois pour Amroth60. Portait qui permet de parler un peu de soi, d'en savoir plus. J'évoque un peu de moi et mon goût pour le BDSM.
1- Un pays où j’ai vécu : le Chili.
2- Mon livre préfére : Confieso que he vivido-Pablo Neruda.
3- Ma première vraie histoire d’amour : à l’âge de 18 ans
4- Mon signe du zodiaque : Lion.
5- Mon sport préféré : la natation
6-Matière préférée à l’école : l’espagnol
7- Je suis pacsé
8- Ce que j’aime le plus : nager nu dans la mer
9- Je suis dans une relation vanille
10- J’ai avoué mon goût pour la soumission récemment à mon compagnon. C’est un sujet assez tabou que j’évoque facilement en virtuel mais peu en réel.
11- Je sens que mon compagnon a un potentiel pour être dominateur, mais j’ai l’impression qu’il s’ignore. Je ne sais pas si c’est réel où si je projette en lui ce que j’aimerais qu’il soit.
12- J’aime être dirigé. Mon compagnon me reproche parfois de ne pas être suffisamment force de proposition dans le couple. Mais j’ai un mental de suiveur et non de meneur.
13- A l’âge de 6 ans, le fils de ma nourrice a reçu le martinet sous mes yeux, j’avais mal et en avais les larmes aux yeux.
14- A 7 ans, j’ai à mon tour été puni au martinet.
15- Inconsciemment, ces expériences m’ont sans doute donner le goût de la fessée à l’âge adulte. Ces deux souvenirs sont restés gravés et je suis devenu un réel fétichiste du martinet.
16- Je possède 3 martinets. Mon préféré : celui avec un manche en bois, lanières carrées. J’ai aussi un faible pour les martinets aux lanières en cuir tressées.
17-La première fois que j’ai été puni adulte : à l’âge de 23 ans.
18-Punition où j’ai eu le plus peur : attaché, j’avais peur qu’il ne s’arrête plus car j’avais utilisé le safeword, la douleur/plaisir s’est rapidement transformé en pure douleur. J’ai détesté sur le moment, adoré après. Expérience qui m’a permis de me dépasser.
19-Au sein de mon couple, j’adorerais être puni
20-Mon idéal de vie de couple : servir, obéir, partager des moments de complicité, être puni si besoin.
21- Ma punition la plus longue et la plus ennuyeuse : Un Master me demandait après chaque coup si j’avais mal, et me disait que les coups pouvaient être moins fort si je le souhaitais. C’est à ce moment là que j’ai regretté mon expérience évoquée en 18.
22- J’ai vécu pendant 4 mois dans une relation BDSM.
23- Une relation, BDSM se fonde sur la confiance et la complicité. L’expérience évoquée en 22 a échoué sans doute parce qu’il manquait des moments de tendresse.
24- Je peux aussi bien être en couple avec une femme qu’avec un homme
25-J’ai longtemps cherché une femme dominatrice, en vain. J’ai souvent été déçu par des femmes virtuelles et vénales.
26- J’admire les couples qui ont des relations D/s sur du long terme et qui en font un mode de vie.
27- J’admire et envie les hommes dominateur car ils sont le contraire de moi. J’aimerais être à leur place, leur ressembler. J’admire aussi les mecs machos que je croise dans la salle de sport, car je ne suis pas du tout comme eux et me sens vraiment inférieur quand je suis en leur présence.
28- Pour moi le BDSM n’est pas qu’un jeu. Être soumis fait réellement partie de ma personnalité.
29- Un moment gênant : j’ai croisé des collègues alors que j’étais sous cage de chasteté. J’étais habillé, mais j’avais peur que ça se voit.
30-Certaines personnes que j’ai croisées sur ce site m’ont vraiment donné l’impression d’être super. Dommage que je ne puisse pas vous connaître en vrai ou qu’une rencontre soit compliquée.
31- J’apprécie ce site mais je n’aime pas le fait de devoir ajouter une personne en ami pour pouvoir échanger avec.
32- J’ai parfois peur de passer pour un fake ou un fantasmeur. Non je suis bien réel, sauf que je suis en couple, aussi bizarre que cela puisse paraître je suis fidèle et n’ai pas l’intention de tromper mon partenaire pour un moment bdsm peut-être sans lendemain. Je suis resté pendant 3 ans seul, à la recherche de ce qui m’a paru impossible. J’ai peiné à me reconstruire après une histoire d’amour douloureuse. Je n’ai pas envie de tout gâcher.
33- Un regret parfois : ne pas être en couple avec une dominatrice. Une vie à deux au service de ma Domina et avec enfants m’aurait aussi comblé.
619 vues
Par : Rich
Portrait québécois
par Rich
Ce portrait est déjà paru pour mes amis le 19/08/2015 dans le blog offert par ce site. Je n'y ai rien changé.
Voici le jeu du portrait québécois qui commence à avoir du succès sur BDSM.fr !
En cliquant sur le bouton « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Rich », publier ce texte dans votre section « articles » et me le faire savoir.
Il faudra indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Un commentaire de votre part n’entraînera aucune obligation de jeu et un "like" si vous avez déjà participé non plus. (Le texte original est de WonderSalope).
36 choses sur moi pour Thutale.
01- Ce portrait a été une épreuve difficile à honorer.
02- Je n'aime pas parler de moi.
03- Manque de bol pour moi, ce questionnaire demande des choses sur moi, or vu la personne qui me l'a demandé, je ne tiens pas à inventer. En dehors de mes romans et autres créations, je n'invente pas.
04- Si ce n'avait pas été Thutale, peut-être aurais-je requis d'être exempté, mais ça on ne le saura jamais.
05- Je me suis beaucoup demandé comment j'allais remplir ce questionnaire
06- Je suis quand même plus à l'aise pour raconter des histoires, inventer des fictions, enfin faire l'écrivain, quoi, que pour parler de moi.
07- Je suis aussi beaucoup plus à l'aise pour argumenter sur une question, éventuellement j'aurais été plus à l'aise autrefois pour polémiquer.
08- De plus en plus, polémiquer m'ennuie, mais vous n'êtes pas à l'abri quand même !
09- Je ne rentre pas dans les cases, il va falloir s'en accommoder. Et en plus je suis politiquement tout ce qu'il y a de plus incorrect.
10- Je suis tellement conscient désormais de la brièveté de nos destins que j'essaie de ne pas perdre de temps à des choses inutiles à mes yeux.
11- Ce questionnaire n'est pas un exercice inutile, il m'oblige à prendre des chemins de traverse, il n'est pas une perte de temps selon mes critères.
12- Puis-je en profiter pour promouvoir ma passion pour la fessée et ma qualité de fesseur ?
13- « Ecrire est une forme sophistiquée de silence » A. Baricco
14- Je pense être assez sophistiqué.
15- Il existe beaucoup d'autres portraits qui ont existé, autant d'impasses. Seule une personne a eu droit à la dernière, mais c'était quand même une impasse.
16- Il y avait assez peu à retirer de ces impasses, et le présent portrait ne ressemble pas vraiment aux autres : facettes et complexité.
17- Quand je ne parle pas de moi, je visite beaucoup moins d'impasses. Très peu en fait. Heureusement, sinon je n'arriverais jamais à écrire livres, articles et autres.
18- J'aime réfléchir, mais quelquefois de façon assez radicale, cela fait toucher aux limites du raisonnement, et toujours très peu conventionnelle.
19- Je me suis longtemps « réfugié » dans la lecture (en même temps j'adorais ça!) : c'était la seule activité où je pouvais être tranquille dans mon coin et où on me donnait raison en cas de litige avec une fille !
20- J'aime bien l'idée de pratiquer une activité « sacrée », dont l'exercice expert et très respecté ne semble réservé qu'à une petite partie de la population, comme la lecture… ou la fessée.
21- Si c'est ça être élitiste, je veux bien, mais en toute simplicité.
22- Je suis un lecteur boulimique avant d'être un écrivain.
23- Une mauvaise orthographe me gêne beaucoup pour lire correctement car je recherche le sens, alors que je peux lire sans problème en miroir.
24- Enfant, j'ai lu et relu secrètement des dizaines de fois mes passages préférés de la Comtesse de Ségur : les fessées de Sophie dans « Les malheurs de Sophie » et surtout « Les petites filles modèles » (cul nu !), l'écho de la fessée/fouettée de Palmyre dans « Les petites filles modèles » et la fouettée de Maria Petrovna dans « Le Général Dourakine ».
25- Les fessées d'« Un bon petit diable » ne m'ont jamais intéressé, elles ne sont pas méritées et je ne m'occupe pas des fesses masculines, mais j'aurais bien aimé que cette ahurie de Juliette s'en prenne une bonne, qu'elle méritait amplement, histoire d'être confrontée au réel, ça lui aurait fait les... pieds.
26- Il paraît que j'ai laissé à mes condisciples (et durant toute ma jeunesse) l'image d'un garçon qui ne souriait jamais. Ils ont raté mes « bons » moments.
27- Aujourd'hui encore, je souris plus avec les yeux, c'est plus discret, mais je souris aussi avec la bouche. Il m'arrive même de rire ! Si si...
28- Pour autant, je n'ai jamais été triste. Juste réfléchi, très réfléchi...
29- Trop réfléchi ?
30- J'ai l'habitude de vivre en marge, en faisant ce que bon me semble
31- Je peux tout plaquer dans l'instant et sans regret si ça ne me convient plus. Le monde est vaste...
32- Je suis très très indépendant.
33- Mais non je ne suis pas compliqué à vivre… Il faut juste me laisser agir comme je l'entends.
34- Attention au second degré !
35- J'ai autant de plaisir, c'est à dire beaucoup, à piloter un prototype au Mans qu'à conduire un vieux tracteur, ou à piloter un avion. J'aime les belles trajectoires, les plus efficaces. Je m'ennuie sur la route actuelle, c'est dangereux.
36- Le BDSM déteindrait-il sur moi ? Bien que « spécialiste » (?) de la fessée, que j'administre désormais avec une regrettable parcimonie, mais toujours avec une grande passion, je suis attiré depuis peu par d'autres envies, d'autres curiosités qui ne m'avaient pas encore effleuré l'esprit, comme de gifler une soumise en la regardant droit dans les yeux, par exemple. On ne finit jamais d'apprendre.
Rappel des règles :
Ceci est le jeu du portrait québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Rich »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »,
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ).
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
42 vues
Par : tissia
1 Mon prénom, c'est Laetitia mais tout le monde que je connais m'appelle tiss d'aussi loin que je me souvienne.
2 Je suis une grande fan de Tim Burton, J’adore tous ses films sans exception.
3 Je collectionne aussi les livres de Stephen king, je ne désespère pas d'un jour tous les avoir.
4 Je pense que j'ai passé la moitié de ma scolarité au coin ou dans le couloir a cause de de mon insolence et de mes bavardage et maintenant j'en pâti.
5 J'adore la pluie, j'aime la regarder quand je suis au chaud chez moi, j'aime l'écouter tomber et sentir les odeurs qu'elle fait ressortir dans la nature.
6 Je ne supporte plus la violence , qu'elle soit physique ou verbale, j'interviens toujours quand j'en suis témoin, en général, j'arrive à me faire entendre et apaiser les tensions, mais ça m'a valu des bobos plus ou moins gros.
7 J'ai une grande sœur handicapée, elle a subi beaucoup de brimades et de violences de la part des autres quand on étaient petites, je me suis battue tellement de fois à ses côtés avec des personnes bien plus grandes et bien plus fortes que nous qu'aujourd'hui j'ai peur de personne.
8 Je déteste parler au téléphone, ça me gêne énormément et je dois me faire violence pour ça.
9 J'ai beaucoup de mal à déléguer j'essaie de faire tout toute seule car je n'aime pas qu'on pense que je suis pas capable, même quand c'est le cas.
10 J’entends quand mon fils pleure et je sent quand il a mal même si je ne suis pas avec lui.
11 J’essaye de grandir et de ne plus croire aux le croque mitaine mais je dors toujours avec la lumière et avec avec mon doudou dans les bras.
12 J'ai souffert de terreur nocturne et de somnambulisme jusqu'à ce que j'accouche de mon fils,aujourd’hui je continue à parler pendant mon sommeil.
13 Je dis beaucoup, beaucoup trop de gros mots quand je suis en colère et ça m'arrive souvent.
14 J'ai honte de mes parents et je ne les présente aux gens que si je suis certaine que je peux avoir confiance en eux.
15 J'adore l'aventure, j'ai fait plusieurs Road Trip "pouce et sac à dos" quand j étais plus jeune seule ou a plusieurs, ça m'a permis de vivre des histoire folles et faire des rencontre improbable.
16 J'obtiens toujours ce que je veux, du moins quand je le veux vraiment.
17 J'ai fait du théâtre pendant plus de dix ans, C'était une grande passion mais je n'ai plus de temps pour ça, l’adrénaline quand on rentre sur scène, me manque
18 Je ne crois pas à la fatalité je pense que quand on s'en donne les moyens tout le monde est capable de faire tout ce qu'il veut.
19 Je suis incapable de parler trop longtemps de notre enfance à mes sœurs et moi sans me mettre dans une colère noire.
20 Je rie quand je suis gênée ou que je ressens une émotion trop forte; quand j étais plus jeune on aller à l'église le dimanche, et chaque dimanche je riais sans
pouvoir me contrôler jusqu'au moment ou le prête me gronder avec son micro devant tous les paroissiens et la seulement je me calmai .
21 Les compliments me mettent mal à l'aise, je minimise toujours ce pourquoi on me complimente.
22 J'ai un besoin maladif de toujours tout comprendre, je suis une personne hyper curieuse.
23 Je suis très empathique, je pleure souvent sur le malheur des autres même si je les connais absolument pas, je suis aussi l'avocat du pauvre,je ne supporte pas qu'une personne soit seule et mise a l’écart
24 Je suis fascinée par les endroits abandonnés, les lieux remplis d’histoire, de détails, d’objets qui donne l'impression que le temps c'est arrêté.
25 J'ai la phobie de clown et des oiseaux quand il volent ou battent des ailes.
26 J'aime le risque, j'aime avoir peur, c'est des sensations qui m'excitent enormement.
27 Je n'aie pas peur de la douleur.
28 J'ai aussi sucé mes doigts pour m'endormir jusqu’à l'âge de 16 ans, je me suis rendu compte il y a quelque temps avec tristesse que mon palais avait perdus la forme qui me le permettait.
29 Quand il fait très froid, j'adore m'ensevelir nue sous une montagne de couverture pour m'endormir
30 J'aime voir dans les yeux de l'autre, ce moment où il vrille, ou je sais que même si j'essaie je n'aurai plus aucun contrôle sur la situation...le fauve qui se prépare à sauter sur sa proie.
31 Quand on fait une soirée ou un séjour avec moi il faut s'attendre à ce que tout devienne du grand n'importe quoi.
32 J'ai un grand besoin d'être recardée pour me sentir bien et ça va au-delà du contexte BDSM.
33 J'ai aussi un besoin constant de défier l'autoriser et là encore ça dépasse le contexte du BDSM.
34 Jaime le rose, j'en aie partout dans ma déco, mes vêtements mes accessoires, il faut qu'au minimum au moins un élément le soit
35 Au collège quand mes copines regardées les plus sportifs et les garçons les plus populaires moi j étais subjuguée par leurs pères.
36 Plus tard j'ai couché avec le père d'une amie d'enfance, qui avais 30 ans de plus que moi,j'ai honte de la trahison que j'ai faite à mon amie et à sa femme mais je ne regrette aucuns de nos moment volés.
37 Je suis révoltée quand je pense que les mauvais parents ne se rendent pas compte qui sont les auteurs du déclin de la nature humaine.
38 J'aime les gens qui en ont rien à foutre des conventions, les atypiques, les hors des normes...
39 Je ne laisse jamais tomber quand je sais que j'ai raison je suis très entêtée.
40 Quand j étais petite et que je faisais des bêtises j'accusai les autres a ma place et comme j'ai un visage qui inspire confiance ça marcher quasiment a coup sur!
885 vues
Par : Lady Dae
C’est l’histoire d’une rencontre.
Quelques mots griffonnés sans destinataires.
Une justesse d’esprit, une finesse et une maturité dans les propos.
Le rêve de celle qui saurait saisir son essence, de désillusions en désillusions à rester dans son antre, loin de tous.
La perte de celui qu’elle croyait sien à en perdre un temps son âme, à voir son sourire disparaitre, repliée loin du monde et de tous ceux qui auraient pu la réconforter.
Qui aurait pu parier sur une telle rencontre ? Aucun des deux… sans nul doute.
Isolée, les pulsions grandissant de nouveau sans pouvoir les satisfaire, elle s’est simplement jetée dans la lecture de ces histoires différentes en guise de pis-aller. Elle découvrit bien davantage, un quelque chose de différent, une réelle envie de vivre, partager, de se rencontrer. Elle décida de poser ses valises et de se dévoiler un peu. Ses premiers mots tirés du passé comme pour l’en exorciser séduisirent. Elle en perdit son anonymat. Lui qui la vit arriver, resta en retrait, poli et prudent.
Le temps passa, quelques mots griffonnés échangés la rendirent curieuse.
Elle lut et lut encore ses mots. Il buvait déjà ses écrits sans oser trop lui avouer.
La sincérité de ses mots lui plut ainsi que sa sensibilité. Elle aimait tellement les textes qui offraient les émotions de celui qui prenait la plume.
Finalement, ils se rencontrèrent. L’observant, elle vit un être empli d’espoir de pouvoir s’offrir, conscient de ce qui aurait pu le faire renvoyer. Son émotion palpable, il n’osait émettre le moindre son de crainte de provoquer son déplaisir et le retour chez lui. Elle fut touchée de son émotion, elle le garda. Elle le testa évidemment et prit plaisir à le faire. Elle le malmena doucement. Pourtant, il ne se départit pas de son sourire et de cette lumière dans les yeux. Il la regardait comme elle aimait qu’il le fasse, lançant quelques petites phrases dans l’espoir de la faire rire de quelques taquineries. Elle gardait encore ses pensées pour elle, encore confuses. Pouvait-il être celui qu’elle cherchait ? Elle ne le savait pas encore. Il saisit pourtant son regard rieur et son expression joueuse. Ils s’apprivoisaient simplement, se découvraient.
Et puis, il y eut une étincelle, visible aux yeux de ceux qui les entouraient ce week-end là, l’impatience de se voir, de se toucher, de s’entendre. Elle ne pouvait nier avoir désiré son arrivée. Il ne put s’empêcher de se poser tout prêt d’elle. Une complicité s’était déjà installée. Profitant de chaque conversation, chaque petit jeu de ses compagnons, elle sentit une sérénité s’installer. Elle était bien, se sentait revivre au milieu de tous. L’envie de se joindre aux réjouissances la gagna. Sa proie toute trouvée n’attendait que cela. Elle en profita et sentit le plaisir la gagner. Elle s’amusa des compliments que l’on fit sur lui. Elle constatait que tous espéraient le début d’une belle histoire. Elle sentait le désir de le prendre sien grandir. Elle le voulait. C’était enfin là dans son esprit. Pouvoir le posséder entièrement, lui infliger ses délicieux tourments et le laisser lui rendre ce sourire perdu. Le moment n’était pas encore venu. Elle attendit, ressentant son emprise se renforcer.
Ils se retrouvèrent. Là, il était de nouveau à ses pieds, heureux de l’être. Il attendait son bon vouloir. Elle lui caressa la joue. Lui faisant ouvrir un tiroir, il sortit le paquet qu’elle lui avait indiqué et lui présenta. Elle l’ouvrit et il découvrit le contenu. Surpris, il lui dit incrédule : « si tôt ?». Elle lui répondit : « Je n’ai pas envie d’attendre ». Elle le para du collier et finit simplement par : « Maintenant, tu peux m’appeler Maitresse »
464 vues
Par : #
Thutale, voici quelques petits secrets que je dévoile dans le cadre de ce portrait Québecois...
1- Ayant eu un père autoritaire, qui me donnait parfois des coups de martinet pour se faire comprendre, je fus une fois fascinée et intriguée par une marque légèrement boursouflée qui zébrait ma cuisse...
2- J’ai toujours aimé les scènes de flagellations dans les péplums ou westerns, je m’imaginais être à la place des femmes attachées recevant le fouet qui laissait des marques sanglantes…
3- Après une période d’adolescence rebelle et un premier mariage trop "calme", l’envie de sensations fortes est venue juste après mon divorce, il y a une bonne dizaine d’années. Cette liberté acquise, je découvrais alors des sites comme tiscali, wanadoo, ou msn qui proposaient des tchats divers (notamment des salles bdsm)et j’ai vite trouvé ça très prenant et enrichissant mettant des mots sur mes ressentis inconscients.
4- Puis, après quelques semaines de discussion sur un tchat, j'étais très excitée de devoir suivre des ordres pour rencontrer ce dominant que je trouvais charmant. Je me suis retrouvée les mains attachées en croix, les yeux bandés et des pinces aux seins...j'ai beaucoup aimé et j'en ai voulu plus...
5- Certaines de mes rencontres furent instructives… d’autres plus excessives m’ont permis de mieux définir mes limites.
6- Dans mon périple, une invitation par un dominant assez extrême m’a fait passé une soirée riche en sensations mais a laissé des traces trop importantes (les 2 fesses mauves)… une remise en question avec une pause s’est ensuite imposée.
7- C’est un peu plus tard que j’ai rencontré mon Maitre (un coup de foudre immédiat) grâce aux mêmes sites et qui a su me ramener en douceur vers des plaisirs BDSM communs en reprenant tout depuis le début.
8- En temps normal j’ai un caractère très fort à tendance dominante (merci maman..) ce qui fait que je ne me place pas d’entrée en "soumise" mais j’ai en moi un besoin d’être contrôlée et guidée pour équilibrer ma vie.
9- Je ressens une envie permanente de procurer du plaisir à l’être aimé, il est donc important pour moi que mon Maitre soit aussi mon mari. Je ne saurais mener une double vie (vanille et bdsm).
10- L’idée de dominer physiquement ne m’a jamais attiré. J’aurais trop l’impression de faire "mal" et je suis plutôt passive. Maintenant, s’il m'est demandé de le faire ce serait uniquement sous Ses ordres et Son contrôle, et ce qui me plairait le plus serait d’exciter tout en frustrant…
11- J’aime "offrir" ma soumission et mon plaisir passe par la fierté que je lis dans Son regard ou un sourire de ma bonne tenue en soirée.
12- J’aime les marques laissées par le fouet après une intense séance, mais je marque peu
13- J’adore sentir la cire chaude couler et figer ma peau jusqu’à sa délivrance au couteau…
14- Naturellement, je suis plus attirée par les pratiques SM que D/s, mais par amour et pour un certain équilibre dans notre relation, petit à petit j’apprends à bien me tenir en situation D/s.
15- J’aime beaucoup relever les défis, étant très joueuse et curieuse, mais il faut que cela respecte l’approbation de mon Maître qui connaît mes limites physiques et morales. Il arrive parfois que je souhaite aller plus loin que ce que je ne peux supporter.
16- L’absence de pratiques pendant une dizaine d’années pour raisons familiales, nous a permis de reprendre petit à petit nos jeux oubliés mais terriblement excitants, renforçant notre relation de couple.
17- Je suis plus endurante sous le fouet d’autres dominant(e)s, mais j’ai besoin d’être constamment sous Son regard et de sentir Sa présence.
18- C’est au pied du mur que l’on s’élève le mieux et c’est grâce aux épreuves de la vie que l’on se sent vivant et que l’expérience se développe.
19- Les cordes m’effraient et m’attirent en même temps. J’admire les suspensions, toutefois réaliste, je sais que je ne pourrais être aussi gracieuse que les personnes que je vois suspendues.
20- Pour vivre bien, il faut souvent accepter de se remettre en question et redéfinir nos priorités.
21- Je ne suis pas attirée par les femmes et pourtant j’ai vécu quelques expériences qui m’ont laissé de très bons souvenirs.
22- J’adore mes fesses et mes seins, et j’ai réussi à vaincre pas mal de complexes en prenant plaisir dans l’exhibition.
23- On ne peut pas changer le passé, mais on peut en faire une force pour s’améliorer dans l’avenir.
24- D’un naturel optimiste et toujours reconnaissante (quoiqu’on en dise), je suis parfois naïve et peut paraître manipulatrice alors que je ne cherche qu’à être appréciée de mon entourage (défaut des empathiques).
25- J’ai atteint ma limite au partage. Croyant faire plaisir (encore et toujours), je me suis brulé les ailes et je m’en mords encore les doigts…
26- Ce que j’ai raté dans ma vie, je le referais encore mais en mieux réfléchi.
27- Ce que j’aime dans le BDSM c’est qu’il y a tant de pratiques à découvrir de la plus soft à la plus hard, que l’on ne peut que s’épanouir et laisser exprimer nos sensations les plus intenses... Rencontrer, partager, discuter, apprendre et jouer avec d’autres adeptes sont aussi des moments exaltants… Cependant, on garde à l’esprit que tout doit être fait avec respect, sécurité, confiance et dialogue…
28- Ne jamais dire jamais, je découvre jour après jour que certaines choses qui me rebutaient commencent à me faire de l’effet.
Rappel des règles :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife et se développe sur BDSM.fr.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors :
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour saphyr »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »,
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ).
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça
696 vues
Par : Lily
25 choses sur moi pour Daybe...
1. Je suis gauchère.
2. Je suis une vraie blonde.
3. J'ai deux nationalités.
4. J'ai eu la rougeole deux fois.
5. Je porte des lunettes depuis l'âge de 16 ans. Pfff...
6. Je n'aime pas mes fesses. Bon, en même temps, je ne les ai pas sous le nez en permanence. Sauf, peut-être, quand j'ai la tête qui tourne ^^
7. Je suis une survivante. Accident, coma. J'ai eu une chance inouïe, avec une perte partielle de l'audition comme unique séquelle.
8. Même avant l'accident, j'ai toujours été plutôt une heureuse nature.
9. Je fais le métier que j'ai choisi mais, si c'était à refaire, je serais ébéniste.
10. Après avoir vu Alien, j'ai été amoureuse de Sigourney Weaver pendant des années.
11. Je pourrais écouter les Concertos Brandebourgeois en boucle.
12. J'ai 10 versions du Canon de Pachelbel. J'adore.
13. J'aime le disco et la pop, y compris électronique et alternative, et je ne supporte pas le hard rock. J'assume pleinement.
14. J'adore bricoler et je prends grand soin de mes outils.
15. Je cuisine très très sommairement, mais je déteste les plats cuisinés industriels.
16. Je n'aime pas les alcools forts, mais j'ai un faible pour le vin (surtout blanc) et le champagne. Peu, mais de qualité.
17. J'aurais aimé connaître Léonard de Vinci, Marie Curie et Nikola Tesla.
18. J'invente tout le temps des mots, ça m'amuse beaucoup.
19. Je suis accro à la course à pied et je cours au réveil. Au total, je fais 40 à 60 km par semaine, toute l'année et par tous les temps.
20. Je ne peux courir qu'en musique et je commence toujours par Sonnentanz (Klangkarussell). Ce morceau est dans toutes mes playlists.
21. Au repos, mon cœur bat à 40 bpm. Oui docteur, je vais bien.
22. En mode vanille et sex friends, c'est moi qui porte le gode-ceinture.
23. J'ai découvert le bdsm à 19 ans. Sauf que je ne savais pas que c'était du bdsm. Elle non plus, au demeurant.
24. Je suis brat (quel scoop), mais je ne défie pas ma Domina : le rapport de force, c'est pas mon truc.
25. Je ne suis pas masochiste, je n'aime pas la douleur pour la douleur. Mais j'aime énormément l'offrir à ma Domina si je vois le kif dans ses yeux.
RAPPEL DES REGLES DU JEU :
Ceci est le jeu du portrait québécois.
Si vous cliquez sur "j'aime", je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors :
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné ;
2) me dédicacer le titre de la manière suivante "x choses sur moi pour Lily" ;
3) le publier dans la section "articles" ;
4) me le faire savoir.
Vous devez indiquer la même règle du jeu avec le texte et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur "j'aime" pour votre texte.
104 vues
Par : analpasbete
Bon...ça rigole plus;
-j'aime l'humour. Autant d'esprit que burlesque.
-J'aime la musique. Toutes les musiques si c'est joué avec tripe.
-Je suis abscons des fois dans ce que je veux exprimer.
-Je suis rapide, peut-être trop des fois, à percevoir une personne.
-Je me moque beaucoup de moi-même.
-J'adore une bonne pizza et les pâtes.
-Je m'interesse à l'Autre, à ce qu'il ressent.
-J'aime mettre en liens des évènements, des idées, les gens.
-Il y a beaucoup de gratitude en moi.
-J'ai horreur de la vénalité, c'est à dire, le mélange de l'argent avec l'irrespect.
-Je suis mystique, sans excès.
-J'aime les films, j'en ai besoin, et pas les series (evidement il y a toujours une exception).
-Je suis ému par la beauté. Ça peut être une nuque, une cheville ou un arbre. Ou une Jaguar XJK.
-J'aime la lumière et cet air magique à respirer en Corse.
-Je suis orgueilleux (mais je me soigne).
-Je n'aime pas voyager désormais mais j'aime voir mes amis là ou ils vivent donc je voyage.
-Je n'aime pas le tourisme.
-Je crois en l'éducation et en la patience pour ce faire.
-J'aime le sport (pas bizness). Bien que je ne pratique plus, je fais en sorte dans chacuns de mes gestes de sentir la fluidité, le bon mouvement. L'économie et une efficacité.
-J'ai une grande attirance pour la médecine. Toutes les médecines.
-Je ne fais pas de hyérarchie entre ce qui compose...heu...l'univers, tout ça.
-Je ne crois pas plus en dieu que lui croie en moi ce qui nous fait un point commun.
-J'aimerais contribuer à un bien être envers une personne, plusieurs, l'humanité.
-Je ne comprends pas comment fonctionne ma mémoire.
-Un jour j'ai compris qu'un mensonge en disait plus que nombre de plates vérités.
-J'adore P. Desproges et me demande comment sa fulgurance et son irrévérence pourraient s'exprimer aujourd'hui.
-J'ai une sainte horreur des journalistes qui ne disent rien et sollicitent sans cesse et en vain leurs interlocuteurs.
-J'aime le cul.
-Je ne suis pas un queutard.
-Je suis romantique et Rome Antique.
-Je suis succeptible mais arrive à en rire peu après.
-Je ne peux me sentir impuissant face à une douleur. Et des fois je l'ai été.
-J'ai horreur de la grandiloquence et de la flagornerie.
-Je trouve que le mot mur sur les réseaux sociaux est bien trouvé tant ce que je peux lire sur ces dit-murs ressemble pour moi à des traces d'urines que des incontinants de l'érotisme ne peuvent s'empêcher de laisser.
-J'aimerais être femme, ressentir ce qu'elle ressent.
-Je suis triste de constater que j'effrais une femme la nuit ou dans une situation anodine. C'est malheureusement une réalité.
-Je suis d'une grande pudeur.
-Je parle aux enfants d'égal à égal et me ravie de vivre ce que ça produit.
-Je cherche une économie pour vivre plus intelligement.
-La cigarette électronique représente pour moi un des passages vers une nouvelle époque.
Done!...
780 vues
Par : analogique
Zéro, ou la tentation du néant.
J’ai toujours rêvé d’avoir un flingue.
Pas pour me supprimer mais plutôt pour en avoir la possibilité, en soupeser le poids et le poli au creux de la paume. Un zéro potentiel, quoi…
Un, ou le contraire de l’autre.
J’aime dormir seul, j’aime me réveiller seul, j’aime décider seul de ce que je vais faire de ma journée. Ma solitude est sans doute ce que j’ai de plus précieux. Mais j’ai bien conscience que c’est parce que j’ai une vie sociale que je peux me payer le luxe de l’énoncer en ces termes.
Deux, ou le problème de la dualité.
En moi coexistent un monstre d’égoïsme et d’arrogance et un monstre de générosité et d’humilité. La plupart des gens qui me côtoient se contentent de voir tantôt l’un ou tantôt l’autre, sans se rendre compte que les deux sont inséparables. Je suis la réunion de toute mes contradictions.
Trois, l’art du trio.
Dans la musique comme dans l’alcôve, j’aime bien les trios. C’est le point d’équilibre d’une collectivité qui laisse de la place à l’expression des individualités qui la composent.
Dans une assemblée de plus de trois personnes, j’ai tendance à penser que l’intérêt qu’on peut porter aux humains est généralement inversement proportionnel à leur nombre.
Je songe déjà à sauter le quatre, ou la tyrannie du carré.
Je n’aime pas les carrés, je préfère caresser des courbes, mais je concède que les parties carrées peuvent arrondir les angles.
Je n’aime pas les mesures binaires à quatre temps, parce qu’elles sont en position hégémonique dans la musique occidentale. Par conséquent je m’emploie à en jouer et à en entendre le moins souvent possible.
Cinq.
C’est actuellement le nombre de femmes qui se disent ouvertement amoureuses de moi. Deux au moins espèrent vivre avec moi une relation exclusive. C’est beaucoup trop pour moi, et cela les condamne à être malheureuses. L’excès d’amour est aussi problématique que sa carence. Sans affects, la vie serait décidément plus simple. Mais sans doute aussi bien plus ennuyeuse, il faut l'admettre.
Six.
Voilà un chiffre qui ne m’inspire rien du tout.
Si, à y bien réfléchir, c’est la première énigme du nombre d’œufs dans la boite destinée à leur commercialisation. Pourquoi six? Je me pose parfois de drôles de questions.
Sept.
J’ai probablement beaucoup plus que sept amis. D’ailleurs je ne veux surtout pas entreprendre de les dénombrer: cela m’obligerait à faire des choix, à les mettre dans des cases, à les y inclure ou à les en exclure. Il m’est beaucoup plus agréable de penser qu’il y a un nombre indéterminé de personnes avec qui j’ai des relations indéterminées mais globalement sympathiques et parfois sexuelles.
Huit.
C’est le nombre de bit dans un octet dans le système binaire, que je m’efforce ne pas partager avec mon ordinateur. C’est ce refus du système binaire qui motive ma décision de ne jamais me positionner en terme de «j’aime» ou «je n’aime pas», raison pour laquelle je n’ai aucune raison de participer à ce jeu du portrait québécois autrement que par cette proposition spontanée, puisque jamais je ne dirai que «j’aime», même si je lis souvent avec intérêt.
Neuf. Quoi de?
Je m’autorise volontiers les glissements de sens.
Rien ne me glace autant qu’un logement neuf, qu’une voiture neuve, qu’un instrument neuf. J’aime la patine des choses qui ont vécu. C’est vrai aussi pour les gens; je m’acoquine souvent plus facilement avec ceux qui sont un peu cabossés.
Dix.
Je déteste le rapport que beaucoup entretiennent à l’endroit des chiffres ronds: cette manière de fêter les décennies, les centenaires, en perdant complètement de vue que cela n’a de sens que dans le système décimal, dont l’adoption est le plus arbitraire des choix humains.
Onze.
En référence au point précédent, je confesse que par esprit de contradiction un peu puéril, je suis enclin à développer une affection particulière pour les nombres premiers.
Douze.
La facilité conduirait à dire que c’est là la deuxième énigme de la boite d’œufs. Il m’arrive de ne pas reculer devant la facilité.
Treize.
En années, c’est l’âge où j’ai commencé à caresser les seins de Soraya. Elle avait dix-sept ans et ne semblait pas moins émue que moi. Il y a peut-être des affinités particulières entre les nombres premiers successifs?
Quatorze.
J’ai tendance à fuir les habitudes sociales de la période dite «des fêtes». Je préfère débrancher mon téléphone, m’enfermer chez moi avec des réserves de pâtes et de riz et attendre que ça passe pour remettre le nez dehors. L’affluence des foules dans les magasins me déprime. Mais indépendamment de la date retenue pour le faire, je peux concevoir qu’on se souhaite la bonne année parce que c’est un truc cosmique: une année, c’est un tour de manège autour du soleil. J’en profite pour vous souhaiter que la prochaine rotation vous soit délicieuse.
Quinze.
Ça y est, je commence à me lasser de la linéarité des chiffres énoncés les uns derrière les autres. C’est déjà étonnant que je sois parvenu jusque là. Je vais dorénavant en sauter quelques-uns. Et puis je trouve ça plus éloquent de laisser des trous et des zones d’ombre, ça laisse marcher l’imagination…
Dix-sept.
Aujourd’hui nous sommes le dix-sept janvier et j’ai une amie qui projette d’aller à la soirée «girl-power» avec moi… Ça peut être intéressant, et en même temps je ne suis pas sûr de m’y sentir très à ma place. Nous verrons bien: c'est dans plusieurs heures et tout peut arriver... Ou pas.
Dix-neuf.
Je n’aime pas trop parler de moi à la première personne, pas plus qu’en général je n’aime lire ou écouter des gens qui parlent d’eux à la première personne. Sans doute parce que je suis persuadé que quoi qu’on dise, on ne fait jamais que parler de soi, alors autant tenter de le faire avec un peu d’élégance et quelques détours. J’aime bien lire ce qu’écrivent les contributeurs de ce forum parce que j’ai cependant une insatiable curiosité des autres.
Oui, parce que pour moi, bdsm.fr est avant tout un forum. D’ailleurs, je ne lis presque jamais la rubrique «articles», trop souvent nombriliste à mon goût, et je crois bien que c’est la première fois que j’y publie quelque chose. Autrement dit, c’est un «dit-neuf»; oui, j’admets que c’est un peu tiré par les poils.
Vingt-trois.
Pourquoi le dire au début ou à la fin? C’est le jeu du portrait québécois, importé ici par Wondersalope qui a eu là une idée foutrement sympathique parce qu’il y a des gens qui écrivent des chouettes choses à leur sujet, et qui en plus se débrouillent pour être agréables à lire.
Vingt-neuf.
Pour une raison mnémotechnique très personnelle sur laquelle je ne m’étendrai pas, me fait penser au jeudi noir de la crise éponyme.
Trente-et-un.
Je n’aime pas me mettre sur le mien, j’ai l’impression d’être dans un déguisement qui ne me va pas. Je garde et porte mes fringues très longtemps. D’ailleurs je mets encore parfois des choses que j’avais déjà au lycée.
Trente-sept.
Impossible de me rappeler avec précision si, enfant, j’érotisais la prise de température rectale. Mais à y bien réfléchir, je crois que oui...
Quarante-et-un.
C’est le nombre exact d’ampoules électriques qu’il y a dans l’endroit où je vis. Mais elles ne sont pas toutes en état de marche parce qu’il m’arrive de négliger de les remplacer, parfois pendant plusieurs années.
Quarante-trois.
C’est le dernier nombre de bougies que j’aurais pu souffler si je me prêtais au jeu des cérémonies familiales avec leur protocole. Mais je fuis tous les protocoles et me soustrais à ces obligations: pour mon anniversaire, je me débrouille toujours pour laisser mon téléphone éteint. C’est une fête secrète, entre moi et moi, mais une fête tout de même: j’aime bien vieillir, et j’ai même tendance à penser que je me bonifie avec l’âge.
Quarante-sept.
Voici qu’approche la cinquantaine… de points, quand bien même il restera des trous noirs. Il est donc grand temps d’arrêter là la logorrhée. Bien le bonsoir.
1000 vues
Par : Lady Dae
Petite morsure
A mon regard, tu t’es offert, pieds et points liés comme le dit si bien l’expression.
Tu es donc là devant moi, attentant mon désir, ma volonté, confiant, au mépris de la raison ou de la prudence. Tu ne crains pas l’inconnue qui est devant toi. De ma main, j’ouvre le sac de satin rouge que je tiens pour saisir l’outil de mon plaisir. S’il est bien une chose dont je raffole, c’est d’apposer de petites morsures sur le corps d’un homme avec ce que je tiens entre mes mains. Ce délicat pinceau de ma volonté sur ta peau qui laisse de si excitantes marques. Je le caresse du manche qui permet ma prise jusqu’à son extrémité si mordante, ce petit rectangle de cuir qui s’imprègne si facilement dans ta peau.
Dans tes yeux, je lis le désir, le plaisir, l’attente mais aussi l’appréhension sans doute de ce futur contact. T’attachant les poignets, les chevilles, tu te retrouves à ma merci, les fesses nues, offertes. Je me grise de cet instant qui précède l’impact, percevant dans mon ventre les papillons d’excitation. Armant mon bras, je laisse filer le fusain qui fend l’air d’un sifflement jusqu’à ressentir l’impact dans mon poignet. Le frémissement de tes fesses se joignant au claquement sec de cette cravache qui te mord enfin provoque en moi une onde de plaisir. Rééditant le geste, un deuxième « schlack » sonore engendre un petit mouvement de recul de ta part. Je m’en délecte.
Puis, j’enchaîne encore et encore, sous les regards attentifs des curieux autour de nous. Mes paupières mi closes, je ronronne intérieurement de tes soubresauts. Je sens mon plaisir s’accroitre à mesure que ta douleur grandit. Mon instrument qui te caresse l’esprit, dessine ces petites morsures que j’aime tant voir sur ta peau, qui rougit de timidité d’avoir rencontrée une telle dame. Une deuxième lady rejoint la première pour un nouveau ballet ambidextre. Les coups s’accélèrent afin d’infliger mes plus plaisants tourments, lorsqu’un coup porté plus fort que les autres provoque un gémissement. Je récidive encore et encore. Tantôt fouettant, tantôt marquant, tantôt caressant, et reprenant cette ronde de sensations qui t’ensorcèle.
Mes sens enflammés, je choisis cet instant pour me parer de cet autre pinceau. Manié latéralement, il fouette en laissant des zébrures très peu espacées sur tes flancs. Je continue en descendant sur tes cuisses puis remonte sur tes épaules. Le sifflement du stick qui te mord et tes gémissements sous les impacts génèrent cette humidité entre mes cuisses. Une vague puissante de plaisir monte en moi alors que j’abats ma baguette imprimant le tempo de notre concerto sous les yeux envieux des spectateurs.
La symphonie se fait plus rapide. Je te mords de plus en plus fort. Tu halètes.
Prêt à rendre les armes... Je poursuis…
Ma voix…
Telle un couperet,
tranchante,
te murmure
tout la puissance de ma volonté.
Sous mon emprise,
tu es en cet instant mien,
la partition de mon concerto,
la toile de ce portrait.
Si douces petites morsures, si délicats plaisirs …
460 vues