Seigneur Yog Sothoth
par le 14/09/12
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La sonnette tinta nette.
Il eut un soubresaut, il l'attendait depuis longtemps, elle était enfin là. Qu'allait-il se passer ? Ses espoirs, ses fantasmes allaient-ils prendre corps ? Ou serait-ce une entrevue amicale et sympathique. Cela faisait quelques mois, plus d'an un tout de même qu'il se cherchait, ou plutot qu'il la cherchait. Par le net, via un messagerie instantannée, il lui avait avouer ses désirs, et elle les siens. Ils pourraient se concorder mais les circonstances n'étaient pas favorable à l'époque. Aujourd'hui, les auspices était bons.
Il alla lui ouvrir et découvrit la jeune femme, séduisante aux formes épanouie revétue d'une robe légère et d'un chemisier faussement transparent à travers lequel on devinait un soutien gorge rouge. Elle portait des chaussure à lanière, ouverte, remontées sur de court talon. Souriante, comme à son habitude, dejà il commençait à bander. Il lui fit une bise.

- Bonjour, çà va ? lui demanda t il
- Oui et toi, il fait chaud hein.
- Oui, plus que tu ne le crois ...

Elle rit de bon coeur, ayant compris l'allusion.

- Tu veux quelque chose à boire ?
- Volontier
- Jus de pomme ? un alcool doux ? du coca ?
- tu as quoi en alcool ?
- Viens par là, voilà le salon.
- Ah c'est sympa
- Met toi à l'aise. Alors, j'ai du porto, du Marsalla, du vin de noix, du cognac, du rhum, du wisky.
- un porto s'il te plait
- glaçon ?
- oui.

Elle s'assit sur un des poufs devant la table basse en osier surchargé de livres et de classeur.
Il alla prendre des glaçon, puis alla servir les alcools.

- Alors quoi de neuf ? demanda-t-il ?
- Et bien pas grand chose, la routine.
- Moi je finis d'emménager comme tu peux le voir.
- Oui dit-elle en embrassant la pièce parsemé de cartons éventrés.
- tiens, ton porto.
- merci.

Il bandait dur dans son short, et ne faisait rien pour le cacher.

- Je vois qu'on est en forme dit-elle.
- Et oui, tu me fais toujours de l'effet ...
- enleve ton short esclave, je veux la voir... dit-elle d'un ton autoritaire.

Il se figeat un instant. La regardant, jugeant, puis enleva son short. Il n'avait rien en dessus. Il était là, debout, à 50 cm de son visage, la queue dressée. Il pointa sa queue vers elle.

- Ah enfin je la vois.

Elle prit le membre et le décallota d'un geste vif.
Il trésaillit et manqua de jouir.

- Petit salaud, tu bandes dur. Tu vas obeir à ta maîtresse ?
- Oui

Elle tira doucement sur la peau pour le décaloter à fond.

- Tu diras "Oui maîtresse" ! assura-t-elle.
- Oui maîtresse.
- Bien, assis toi et écarte les jambes pour que je puisse la voir, caresse toi

Il s'exécuta, il s'assit tout en prenant son porto de la main gauche, il écarta les jambes et commenca à se masturber le noeud doucement.

- Alors comme çà tu bande pour moi ?
- Oui maîtresse, et cela fait pas mal de temps maintenant.
- Et qui le sait ?
- Il n'y a que vous maîtresse.
- C'est bien ainsi

Il s'astiquait toujours la queue lentement, comme s'il savourait le moment. Il regardait tour à tour son visage et ses seins. Il posa son porto sur la table et reprit son activité onanique mais avec sa main droite, la gauche alla retrouver ses bourses.

- Tu es eshibitionniste d'habitude ? demanda-t-elle.
- Non pas du tout.
- montre moi ton trou, met toi à genoux sur le sofa et doigte toi le cul.
- Bien maîtresse.

Il s'exécuta. Une fois en place il ressenti un vive morsure au niveau des fesses.

- Je t'ai dit de dire "Oui maîtresse".
- Oui maîtresse.

Il écarta ses fesses avec sa main gauche, mais la position n'était pas favorable a la masturbation. Il alla se tater doucement l'anus ainsi mit a jour.

- Aller fais un effort gros porc ! met toi un doigts !
- Oui maîtresse

Il se recrovilla pour pouvoir se pénéter du bout de son index.

- Faut il que je fasse tout par moi même ?

Elle lui flanqua un gifle sur les fesses.

- Aller écarte toi le cul à deux mains.
- Oui maitresse.
- tu sais que je vais t'enculer esclave.
- Oui maitresse
- Tu aimes çà te faire enculer comme un PD ?
- Oui maitresse

Elle caressa l'anus offert d'un doigts, alla tater les couilles ramassées puis elle alla attraper la bite dure.

- Ne bouge pas.
- Oui maîtresse.

Elle alla farfouiller dans son sac. et en ressortie une petite panoplie : gants en latex, lubrifiant, petit vibro, un gode-ceinture.

- Maîtresse ? pourrai-je avoir la chance de vous gouter le cul, la chatte ?
- Oui si tu es sage mon chien. D'ailleurs retourne toi. Branle toi, là je veux que tu te fasse jouir en me regardant.
- Oui maîtresse

Il se mit à genoux à ses pieds.

- Non debout.
- Oui maîtresse.

Elle se rassit denouveau sur le pouf. Il commença a se masturber. Elle pris une de ses fesses pour la pelotter et le rapprocher de son visage, il avait maintenant sa queue à quelques centimètre de sa bouche. Elle leva les yeux vers lui, lui fit un sourire. Elle posa une main sur la sienne pour arréter sa branlette et goba le gland décalotter. Elle suca le bout de sa bite goulument, avec beaucoup de salive. Puis une fois le chibre recouvert d'une épaisse mousse de salive, elle s'arréta tout en le maintenant décalotté.

- Branle-toi le gland.

il forma un anneau avec son pouce et son index et s'astiqua le bout. Il commençait a ne plus pouvoir tenir, son visage se durcissait.

- Maitresse je vais jouir... sur votre chemisier...
- Ah non, retiens toi. Arréte.

Elle lacha prise, et déboutonna son corsage. Elle désagrapha son soutien gorge et enleva rapidement sa jupe. Elle portait un tanga coordoné.

- Voilà c'est mieux ainsi. Allez recommence où tu en étais.

Elle pris un gant en latex alors qu'il recommençait sa masturbation au dessus de ses seins. De la langue elle titilla le meat du gland. Puis elle chercha le tube de lubrifiant, en étalla un peu au bout de son index. Elle glissa sa main dans le sillon de ses fesses et s'enfonça dans le cul de son esclave.

- Hummmmm
- C'est bon, un mon chien ...
- Oui maîtresse

Elle commença a lui branler le trou doucement mais fermement.

- Haaaa oui

Il écarta les les genoux s'accroupant a moitié pour lui facilité le travail...

- T'es vraiment un chien mon toutou
- Oui maîtresse, ohhhhhhhh
- Tu vas jouir sur mes seins hein ?
- Oui maîtresse, hummmmmm

Son visage se crispait.

- Allez lâche toi.
- Ohhhhhhhhhhh, hummmmmmmm, ahhhhhhhhhhh

Il jouit par saccade. Ses jets de sperme s'écarsèrent sur la poitrine et le visage de sa maîtresse.

- Salaud ... tu m'en as mis partout. Tu dois être calmé maintenant ?

Elle retira son doigt. se leva.

- Léche moi çà. Dit-elle en désignant le sperme.
- Oui maîtresse.

Il s'appliqua a lécher la moindre trace, léchant la peau avec délicatesse. il s'attarda sur le téton offert, bien qu'il n'y eut pas de trace de semence à cet endroit. Il osa même le sucer.

- A genoux chien.

Il s'exécuta. Elle lui présenta sa croupe.

- Allez léche moi le trou. Tu l'as bien mérité.
- Avec plaisir ma maîtresse.

Il baissa le tanga, écarta doucement les fesses pendant qu'elle se penchait en avant, les mains sur les genoux. Il huma les odeurs, senti la chaleur de son intimité et y plongea son visage avec bonheur. il darda sa langue, la fit plus large, saliva puis commença à masser son oeillet moelleux. il se délecta de pouvoir lui faire une feuille de rose, il adorait faire cette caresse. Sans prévenir, elle s'écarta. Puis alla sur le sofa, s'y vautra complaisament, releva ses jambes et annonca.

- Viens me brouter, mange moi le cul et la chatte.
- Avec plaisir maîtresse.

Il s'appliqua a recommencer sa caresse initiale tout en plantant son nez dans la vulve de sa dame. Il roula sa langue puis forcit l'anus pour mieux le pénétrer tout en le lubrifiant de salive.

- Tu bave comme un chien !

Sans s'arréter il darda la langue et commençà un va et viens, se retirant, poussant dedans comme s'il voulait l'enculer avec.

- Ma maîtresse aime-t-elle que je l'encule de ma langue ?
- Oui c bon vas y mon chien.

Il continua quelques secondes , puis alla dénicher le clitoris pour jouer avec. il humecta son index et lui enfonça doucement dans le rectum. Il commença à lui branler le cul. Il léchait le clitoris en cercle, l'aspirant de temps en temps.

- Tu m'exite salaud. Continu c'est bon.

Il retira son doigts et remit sa langue dans le trou légèrement élargit de son anus. Il lécha les bords puis s'insinua encore dedans, dardant plus avant la langue, léchant l'intérieur.

- Tu es un bon chien... Je viendrai me faire lécher plus souvent.
- Avec plaisir maîtresse.
- Cesse, met toi à quatres pattes au milieu du salon là.

Il prit sa place. Ella refouilla son sac et en sortit une laisse.

- Tu es un bon toutou, on va aller te promener ....

Elle saisit aussi le petit vibro. Elle s'approcha puis enfonça le gode jusqu'à la garde formée de pseudo-testicule, avant de l'activer. Elle mit le collier autour du cou de son chien. Puis tira sur la laisse.

- Aller viens médor.

Lui à quatre pattes, ils déambulèrent dans l'appartement. Avec pour seul bruit le vibro enfoncé dans son cul. Il sentait bien l'engin lui vibrer dans les entraille. A chaque pas il changeait de position. Il se délectait de la situation, relevant la tete pour admirer la croupe de sa maîtresse le devancant.

- C'est bien tu es un toutou adorable.

Elle se pencha pour retirer le gode.

- Va le laver ...
- Oui maîtresse

Lorsqu'il revint de la salle de bain, elle était là trônant sur un pouf, le gode-ceinture en place recouvert d'un préservatif.

- C'est l'heure de te faire enculer mon chien !

Elle tapota la table du salon.

- Allé, viens te coucher là, sur le dos.

Il s'installa sur la table chancellante.

- Lève les cuisses. Tu bandes encore salaud.

Elle prit une grosse noisette de lubrifiant qu'elle étala a l'anus et positionna l'engin. Elle s'enfonca doucement. Puis commença  à le baiser.

- Ohhhhh, doucement maîtresse, pitié ....
- Oui bien sur je ne veux pas casser mon jouet.
- Ahhhhhhh c'est mieux ainsi maîtresse ...
- T'aimes çà mon gros chien, hein ?
- Oui
- tu vas jouir du cul comme un PD !
- Ahhhhhhhh gémit il pour toute réponse.

Elle allait et venait dans son rectum, retirait l'engin pour mieux le remettre, il se fasait baiser comme une chienne en chaleur. Il bandait dur, et elle prit le membre en main pour le masturber.

- Je vais te faire jouir.

Il gémissait à tout va, se tortillant de plaisir, sentant l'engin lui fouiller profondément le cul, buttant contre sa prostate. Il regardait les seins de sa maîtresse baloter au rythme des bourrades. Elles se faisaient plus douces et plus appuyées, plus en profondeur. Elle lacha le membre et pris les jambes de son esclave pour les mettre sur ses épaules, elle aggripa les cuisses et lui bourra le cul accélérant le rythme. Il gémit plus fort, sa tête allait de gauche a droite, il avait les yeux fermés crispé. Il se cambra, écartant ses cuisses de ses épaules. Tout en continuant de le labourer, elle vit son membre trésautés et éjaculer de longues razades  blanchâtre jusqu'à ses pectoraux. Elle cessa de le baiser quelques instant plus tard.

- Merci maîtresse bredouilla-t-il.
- Ce n'est pas fini ... il faut te laver maintenant ... suit moi dans la salle de bain.
- Oui maitresse

Il eut du mal a se lever et tituba vers la salle d'eau. Elle était déjà dans la baignoire.

- Allez, dépèche toi gros porc.
- ...
- Allez, là met toi a genoux devant moi.

Il s'installa. Elle avait enlevé son engin, qui trainait dans le lavabo.

- Lèche moi la fente.

Il s'exécuta. Puis, elle pris sa tete doucement entre ses mains et lui plaqua le visage dans sa vulve et pissa.

- Voilà comment le nettoie les chiens de ton espèce !

Il sorti sa langue et fouilla la chatte.

- T'aimes çà en plus !

Elle lui écarta le visage et fini de pisser sur son corps...

 
 

 

 

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