mia michael
par le 10/04/25
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Cette histoire se passe dans le futur, tous les gens sans exception sont majeurs.

Personne n’est obligé d’obéir, ils acceptent ou pas ce qu’on leur propose.

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On se demande à quoi vont servir ces bracelets, à part à nous localiser et nous contrôler… Le jour diminue et je vais bientôt voir ma sirène… ou pas. J’ai un sale pressentiment : nous étions contrôlées par des Occidentaux et ça vient de changer, nous sommes à la merci de la principale triade de Chine. Leur réputation est spéciale : ils sont cruels et « sans foi ni loi », comme on disait il y a quelques siècles. Ils sont aussi prêts à tout pour agrandir leur territoire. Ah oui, j’oubliais : ils sont aussi cruels que leurs ancêtres qui ont construit la Grande Muraille, je sens que…

Oh ! Voilà ma sirène… je cours vers elle et je l’étreins en disant :

— Je suis si contente de vous voir, Mademoiselle… Mais pourquoi avez-vous l’air... ennuyée ?

Elle me montre sa cheville du doigt. Oh ! Elle a le même bracelet plat que moi.

Elle me regarde et dit :

— Les Chinois sont les meilleurs commerçants du monde, nous serons plus ou moins bien traitées selon ce qu’on leur rapporte.

Je réponds :

— Je vais..

Elle me coupe très vite et dit :

— Il y a encore une chance, ne dis rien.

Elle s’assied pas terre puis me place sur ses cuisses. Je mets mon visage dans son cou et je le mouille parce que je pleure. Qu’est-ce qu’on attend ? Je vois quelqu’un arriver, c’est le chef de la triade qui a bu de l’alcool de rose. Il est suivi par une des jeunes femmes d’hier et un garde chinois qui ressemble à un… cyborg ! Azra me dit :

— On se met à genoux.

Le chef lui dit :

— Enlève d’abord ta robe.

Elle l’ôte très vite et il me pousse pour me coller à elle, ensuite il lève sa tunique de soie et on se retrouve en face de son pénis et ses couilles. On est passées dans une autre dimension et elle me dégoûte, mais bien. Il nous dit :

— C’est vos culs qui intéressent les hommes et les ménagères de 40 ans de beaucoup de pays. Je pense qu’ils aimeraient tous vous voir embrasser mes couilles.

Il est fou ! Complètement fou ! De plus, il a une odeur qui me dégoûte, mais malgré ça, j’ai envie d’arracher sa couille avec les dents, bien qu’elle ressemble tout à fait à une vieille figue moisie.

Azra a l’autre figue moisie en bouche, elle me fait un signe de tête. Je ne dois pas l’arracher. Le chef des Triades me dit :

— Vous vous reverrez sur l’île.

Quelle île ? Il me dit :

— Va te mettre à genoux au pied du lit, j’ai envie de baiser ta chérie. Tu veux assister à nos ébats ?

Noooonnnn !! Vous êtes un démon. Le garde me prend par une oreille et il me force à me mettre à genoux au pied du lit. Pourquoi ils font ça, pour que je réagisse ? Pour que je crie : « Ne lui faites pas de mal » ?

Je réfléchis, oui, quand un gros salopard tatoué s’apprête à violer ma sirène, je réfléchis à un moyen de la sauver. Je suppose que je devrais le supplier de ne pas lui faire de mal. Le Chinois comprend que je ne suis pas dans mon rôle. Quel rôle, tête de con ? Qu’est-ce qui me prend, je ne dis jamais ce genre de choses. On entend une voix dire :

— Elle est censée supplier. Faut les punir, mais que ça ne se voie pas. Faites-leur un lavement avec du « xtroll », à toutes les deux.

Je dis très vite :

— Mademoiselle Azra avait compris, c’est moi qui ne comprends rien.

Le gros Chinois… parle en chinois. On attend, je me colle à Azra. Je lui dis :

— Je suis tellement désolée de t’avoir emmenée dans cette situation...

Elle secoue la tête et répond tout bas :

— Tout est prévu !

C’est très difficile de comprendre leurs intentions, enfin, pour moi. Deux infirmières et des gardes entrent dans la pièce. Ce sont des infirmières de films d’horreur : des lèvres minces, des nez un peu crochus, des cheveux blancs filasses. Je me blottis contre Azra. Deux gardes nous font mettre à genoux, la tête sur le lit, les fesses en l’air. Ils ont des gants en caoutchouc et ils nous enfoncent un doigt dans le cul. Ouch… Ils les font aller et venir très rapidement dans nos anus. Je crie :

— Ça brûûûûle… !

On crie toutes les deux, on a l’anus en feu. Ce n’est pas fini ! Je jette un coup d’œil vers l’arrière, ce qui me vaut une bonne claque sur la fesse. Je crie de nouveau, mais j’ai pu voir qu’ils comptent nous enfoncer dans le derrière une canule reliée par un tuyau à un grand réservoir placé sur un tréteau. Oui, tout ça d’un coup d’œil. Ils doivent fixer le tuyau sur la canule et un liquide envahit… nos intestins.

On crie toutes les deux, même Azra qui est une dure. On gonfle douloureusement, on finit par avoir l’air d’être enceinte de plusieurs mois. Ils attachent nos poignets et nous mettent debout. On a mal et on a une horrible envie de… ben, oui… chier. Les gardes et les deux infirmières effrayantes viennent caresser… brutalement nos ventres distendus. Le gros Chinois tatoué nous dit :

— Dansez et après on vous laissera aller chier.

On le regarde, moi je le tuerais si je pouvais. Comprenez-moi, j’ai trop mal et ma sirène aussi. Mais, elle obéit et danse maladroitement avec son énorme ventre. Elle me prend contre elle pour autant que nos ventres le permettent. Le Chinois dit :

— Je crois que la petite conne dont le cul est une vedette a enfin compris.

Compris, quoi ? Il dit :

— Viens me sucer la bite et avale tout, c’est la clé de votre libération.

J’ai mal, Azra aussi et je ne comprends pas ce qu’il veut. La douleur me rend spécialement stupide. NON, j’ai compris, il veut que je le suce. Je vais très péniblement me mettre à genoux devant lui, j’écarte ses jambes avec mon torse puisque mes mains sont attachées sur mes reins et, en gémissant, je mets son horrible sexe puant dans ma bouche. Mon ventre me fait si mal que j’ai une féroce envie de couper son sexe avec mes dents. Mais je pense à Azra... et à moi, alors, je le suce. Il dit :

— Ça va… venir, petite Fanny, et il faudra tout avaler !

Ma bouche est envahie par des saccades de liquide dégueulasse et j’avale. Ça va me tuer ? Les infirmières nous prennent toutes les deux par un bras et on quitte la pièce. Le trajet est vraiment très pénible. Nos ventres se balancent devant nous et on a des crampes horribles. On arrive enfin dans des toilettes. Elles nous font asseoir sur deux w.c. côte à côte. Elles enlèvent l’énorme canule en forme de 8 qu’on a dans le cul et… on crie et… on se vide ! On a toujours mal mais évacuer la saloperie qu’ils nous ont mise dans le cul, c’est le paradis. Quand on a presque tout évacué, les infirmières nous donnent à toutes les deux un comprimé. Elles nous regardent attentivement et on avale. Elles observent nos yeux. L’une d’elles dit :

— Ça y est, tu crois ?

— Oui, leurs pupilles s’agrandissent.

Elles nous détachent les poignets et nous laissent sur nos pots en disant :

— Salut les filles, on va se démaquiller, passez une bonne soirée.

On répond toutes les deux stupidement :

— Merci.

On est folles ? Non, on se sent bien. Azra me dit :

— Ce sont les pilules qu’elles nous ont données. L’histoire s’infléchit au fur et à mesure des demandes des abonnés. Je crois que…

Elle pousse un cri et frotte sa cheville qui a le bracelet. Elle me dit :

— On va manger ? On doit un peu remplir nos ventres, regarde.

C’est vrai, on vient quasi d’accoucher et on a un trop de peau. Des Chinoises nues entrent dans la pièce avec des vêtements dans les bras. Elles nous font une belle courbette, puis l’une d’elles nous dit :

— Ne le prenez pas mal, Maîtresses, mais vous sentez fort, on va vous laver.

Azra et moi on rit bêtement et elle répond :

— Bonne idée.

Je trouve aussi. Elles nous lavent soigneusement, ensuite elles nous coiffent et maquillent Azra. Moi, elles me laissent naturelle. Ensuite elles nous habillent. Azra se retrouve dans une belle robe de cocktail bleu foncé très décolletée. Tandis que moi, j’ai droit à une grande culotte, une petite robe courte, des chaussures plates et des chaussettes qui montent jusque sous les genoux. Une servante me donne une jolie poupée. Je la remercie, j’aime les poupées. L’autre servante parle à Azra, mais je n’entends pas ce qu’elles disent.

Azra me prend par la main. Elle a des chaussures à hauts talons et elle est beaucoup plus grande que moi. Je lui demande de cette façon :

— Où qu’on va ?

— On va manger et boire, ma chérie.

— Z’ai faim…

— Moi aussi.

On va dans une grande salle à manger que je n’ai jamais vue. Un homme habillé de noir, sauf une chemise blanche, s’incline et nous dit :

— Bienvenue, Madame, Mademoiselle. Dottie va vous conduire à votre table.

Dottie est une des servantes… non, on appelle autrement les filles qui servent dans les restaurants. Serveuse ? Dottie nous fait une révérence et elle nous dit :

— Veuillez me suivre.

On arrive devant une table au centre de la pièce. Deux Chinois bien habillés, à l’occidentale, sont assis. C’est difficile de différencier les Chinois, alors, disons que le plus gros fait remarquer à Azra :

— Elle est mignonne, ta petite nièce…

Azra me dit :

— Fais une révérence, ma chérie.

Tout le monde nous regarde en souriant tandis que je fais une révérence. Le gros Chinois dit à une serveuse :

— Il faudrait une chaise spéciale pour elle.

— Certainement, Monsieur.

Elle revient avec une chaise assez haute dont l’avant se rabat. La serveuse m’y installe et elle me coince en rabattant la partie de la chaise où on met la nourriture. C’est pas grave, il n’y a pas de fouet et je suis avec Azra. N’empêche que je commence à être gênée d’être traitée comme ça. Surtout quand elle me met un bavoir autour du cou. Azra a l’air surpris. Je veux demander ce que c’est pour un jeu : je dis à un des Chinois :

— On répète une…

Il me tire une oreille et pendant que je crie, la serveuse me met une grosse tétine dans la bouche, en disant :

— Tu dois te taire, sinon tu vas aller « au coin ».

Je devrais m’amuser de ce jeu de con, mais ce n’est pas le cas. Je regarde Azra avec des yeux suppliants au-dessus de ma tétine.

Les grands parlent entre eux tandis que je suce et je me tais fatalement…

On apporte le plat : du faisan. Dans la vie normale, chez mes parents, je ne mangeais pas d’animaux et je me faisais charrier par toute la famille. Ici, je ne sais pas ce que je vais faire, c’est que j’ai très faim. La serveuse vient demander à un des Chinois :

— Pardon Monsieur, est-ce que la petite demoiselle sait utiliser une cuiller ?

Le Chinois répond :

— Oui, elle se barbouille un peu mais il faut qu’elle apprenne.

Je devrais me foutre de leurs bêtises, mais non, je suis honteuse. Tandis que les grands ont une assiette avec du faisan, des pommes allumettes et des airelles, moi, je reçois une assiette de porridge bien collant. Tout le monde me regarde. Une serveuse enlève ma tétine et je mange une cuiller de porridge, berk, j’aime pas ça et… les lumières s’éteignent. Très vite, il n’y a personne d’autre que nous quatre. Les Chinois parlent en mandarin. Ils baissent leurs pantalons. Le plus petit qui s’appelle Tao, je crois, nous dit :

— C’est l’heure du dessert les filles, venez nous sucer.

Est-ce tout ça a encore un sens ? Non, vraiment pas. Le grand me désigne du doigt et je vais m’agenouiller entre ses jambes. Je tire sur la peau du prépuce, il sent fort. Je suce et en même temps, je lave son sexe.

Il me caresse la tête en disant :

— Quand j’aurai joui, tu attendras mon autorisation avant d’avaler, sinon…

C’est bon, pas besoin de menaces. On a l’habitude de devoir garder leur précieux sperme, que nous trouvons dégoûtant. Ils jouissent en grinçant. On se trouve la bouche pleine et les joues aussi gonflées que nos ventres tout à l’heure ou que des hamsters qui viennent de trouver un gros paquet de graines. Hélas, ce ne sont pas des graines mais du sperme dégueulasse qui devrait se retrouver dans un vagin, pas dans une bouche. Après quelques minutes, le grand nous dit :

— Avalez !!

Berk, je préfère 100 fois le gruau d’avoine moisi. On ne peut pas s’empêcher de faire des grimaces, qui sont filmées, bien entendu. Les Chinois nous donnent des pièces de quelques yuans et s’en vont. Ridicule !

Le gros type de la triade entre dans la pièce et nous dit :

— Pauvres petites, d’abord le ventre puis la bouche pleine…

Il rit… puis il nous dit :

— Maintenant, allez vous amuser à la nouvelle piscine. Demain sera une journée de sport.

À suivre.

Merci à Bruce Morgan pour le super dessin.

Vous pouvez voir ses dessins sur nos blogs gratuits :

https://mia-michael-et-bruce-morgan.blogspot.com/

Nos livres sont ici :

https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search

 

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