mia michael
par le Il y a 15 heure(s)
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     Je suis triste que Monsieur Edgard s’en aille, j’avais un allié.

     Yao dit à Azra :

     — Ce soir, après le repas, notre maître reçoit des… importateurs importants. Le Maître veut que les odalisques soient nues et propres. Tu dois t’en occuper.

     Azra m’aime bien… ça va aller.

     On est 12 odalisques, venant de toute l’Europe, comme je l’ai dit : depuis deux Danoises aux cheveux blonds jusqu’à des Espagnoles aux cheveux et à la chatte très noirs. Les esclaves de Topkapi nous lavent, puis elles nous coiffent, nous maquillent et nous parfument. Je suis surprise de sentir le jasmin.

     Monsieur Edgard n’est plus là pour le moment, il est remplacé par un couple discret en vêtement d’époque. 

     Azra, ma sirène africaine, ne sera pas proposée aux invités, donc elle n’a pas dû se laver. Elle est « nature », quand elle est près de moi, son odeur me fait décoller du sol. Elle est dure avec nous, mais je crois qu’elle m’aime bien. 

     En fin d’après-midi, les commerçants arrivent et ils sont conviés à la table du Sultan. Nous, on est de « service » avec les desserts et les alcools. 

     On arrive, belles, nues, parfumées et différentes. L’homme que j’avais pris pour le Sultan et en fait le grand Vizir. Le Sultan doit être comme je l’imaginais un gros homme avec une barbe bien teillée, mais avec des petits yeux noirs brillants de cruauté. Si, si ça existe, je pourrais vous en citer, si j'osais. 

     Le grand Vizir dit :

     — Chers invités, le Sultan est très satisfait de nos relations et avec les alcools, il vous propose des odalisques venant de différents pays d’Europe. Elles sont propres et dressées à vous obéir.

     J’ai déjà été surprise par l’aspect du Sultan, mais je le suis plus encore par l'aspect des huit invités. Il y a deux femmes et six hommes. Je pensais que ce seraient des négociants riches et bien habillés à la mode du 18e siècle, mais ça intéresserait qui ? Par contre, une bande de pirates dégoûtants, voilà qui est intéressant. Même les deux femmes sont plutôt belles, mais grosses et une des deux a même un sein qui s’est échappé de son corsage crasseux. 

     Ah, si je pouvais aller me réfugier entre les jambes d’Azra, ma sirène ! Oui, ma sirène a de très jolies jambes noires, fermes et luisantes de sueur. C’est une nouvelle race de sirène. 

     Hélas, comme les autres odalisques, je dois satisfaire la lie de la société de l’époque. On sent bon mais plus pour longtemps. 

     J’ignorais que les pirates revendaient des biens et des filles à Topkapi et sans doute aux nations occidentales. Un gros pirate me désigne du doigt et gueule :

     — Toi, aux pieds !

     NON, je ne veux pas ! Il pue ! Yao me dit :

     — Envie de te faire réchauffer les fesses, Fanny ?

     En fait, non… Je vais devant le pirate et il sort son sexe de ses chausses dégoûtantes. Le sexe est très sale et il n’est pas circoncis. Il ne faut surtout pas que je vomisse sur la bite du pirate. Je ne décris pas la vue et l’odeur. Je fais un énorme effort et je survis, malgré la puanteur qui émane de ce sexe. Je me jette à l’eau, c’est une image, ce sexe n’est jamais lavé et pourtant je le mets dans ma bouche, il faut que je le lave. Mon estomac est équipé pour gérer des viandes un peu avariées. Ce que je fais plaît au pirate. Il me dit même :

     — Tu suces trop bien, petite putain, je vais peut-être t’acheter au Sultan.

     Merde, je lèche trop bien ! Je sens qu’on me regarde, je lève les yeux et je vois que c’est Azra. Elle me fait discrètement non de la tête. Évidemment, j’appartiens à Madame Fiu qui doit faire partie d’une triade chinoise ou d’un consortium asiatique.

Je suce mon pirate qui est aussi sale qu’un rat d’égout, mais nettement moins sympathique. Il se met justement à couiner comme un rat et il m’envoie son poison par saccades… j’avale. Adieu monde cruel ! Non, le sperme ne tue pas, même si celui qui jouit dans ma bouche pue. Le sperme est sain. Enfin, j’espère. 

     Un autre pirate est à quatre pattes au-dessus de la petite Irlandaise rousse qui lui tète la bite. Il me montre du doigt, manque de perdre l’équilibre et gueule :

     — Toi, viens me lécher le cul ! 

     J’ai trop envie de lui dire : « Jamais ». J’entends un fouet claquer et je suis prête à faire beaucoup pour éviter de laisser abîmer ma plus grande qualité : mon cul. Y compris lécher le cul flasque et boutonneux d’un vagabond qui joue au pirate.

     Le fouet claque à nouveau, je fonce langue la première entre les fesses du pirate. Depuis quelques mois, j’ai été obligée de faire ça : lécher des culs tellement sales qu’ils feraient dégobiller le rat d’égout de tout à l’heure. J’avoue : celui-ci est sale, mais moins que ce que je craignais.

     Je suis photographiée et filmée par le couple de photographes et les spectateurs. Au plus c’est humiliant, au plus ils aiment. 

     Le gros porc, dont je lèche le cul, jouit dans la bouche de la petite odalisque rousse qui est en dessous de lui. 

     Tout cela est trop dégoûtant, je vais me mettre à pleurer ! L’IA de Madame Fiu en a conscience et il m’envoie la plus belle des pirates femelles. D’accord, elle est grosse et pas très propre, mais elle me prend sur ses genoux et m’embrasse sur la bouche, puis elle me dit :

     — Une odalisque dégoûtée, c’est pas normal, ça. Tu te doutes que les pirates n’ont pas d’eau douce pour se laver. Je ne suis pas lavée souvent non plus.

     Elle m’embrasse sur la bouche, oh ! mon Dieu, j’avais oublié que ça existait, les baisers. J’aime les hommes bien sûr, mais je préfère un peu les femmes. Question de peau, d’odeur… Futur lecteur imaginaire du futur, je lècherais volontiers ta bite, mais j’aimerais mieux lécher la chatte de ta jolie épouse. J’imagine que les IA sont des femmes et qu’on puisse les lécher, elles tomberaient amoureuses de moi et…

     — Aiiie !

     Ma pirate m’a pincé le bout d’un sein et elle me dit :

     — Concentre-toi sur moi, petite, sinon je sens que Maître Yao va te balafrer les fesses avec son fouet.

     Je réponds :

     — Pardon, Maîtresse, je cherchais ce qui pourrait vous faire plaisir.

     Elle rit et me dit :

     — Menteuse… Bon, je m’appelle Rose, montre moi comment tu lèches ta maîtresse en commençant par les pieds.

     Je l’aide à enlever ses hautes bottes, trouées… Ses pieds sont nus dans ces bottes et ils sentent les pieds et le vieux cuir. Ça n’a rien à voir avec le cul sale d’un pirate. 

Rose ne sent pas la rose, bien sûr, mais ses odeurs me plairaient beaucoup si elles étaient moins fortes. L’odeur de ses pieds est un mélange de sueur et de vieux cuir. Je suis… mitigée entre l’excitation et quand même un peu de dégoût. J’ai l’impression que tout le monde me regarde, même l’IA, là-haut dans le ciel. Alors, je… je les embrasse et je les lèche. Je suis également mitigée du côté de mon nez, genre « c’est quand même très sale ! » Du côté de ma chatte… elle mouille comme toujours et enfin du côté de mon cerveau… euh… il imagine toutes les horreurs qui pourraient m’arriver, comme toujours. Ah ! Il a quelque chose à dire :

     — Mais pas du tout, petite conne. J’aime te voir ramper et lécher des pieds qui sentent délicieusement mauvais.

     Pardon pour lui, il est fou. Je continue : j’embrasse les pieds de Rose, je les lèche, je suce ses orteils. Le pirate avec un bandeau dit :

     — Elle fait la petite bouche pour lécher une bite qui sent un peu, mais regardez la lécher les pieds de Rose.

     Rose répond :

     — Ta gueule, fils de pute.

     Oui, ce sont des pirates, hein, ils sont pas polis. Un autre pirate dit :

     — On adore voir cette petite langue nettoyer tes orteils, Rose.

     Ça les fait rire. Ils pourraient pas fermer leurs gueules ? Ben oui, je ne suis pas polie non plus, c’est la fréquentation des pirates. Je remonte des pieds de Rose jusqu’à la touffe de poils de son sexe. Sa chatte sent fort, bien sûr, la marée basse par grande chaleur comme celle d’Azra ma sirène et aussi un peu le marché aux poissons à la fin de la même journée, toujours ensoleillée. Ce sont des odeurs qui me rappellent celles de ma sirène et j’aime ça. Je l’aide à enlever sa robe, en dessous elle a des formes opulentes.

 

 

 

     Le pirate Barbe Noire, pas le vrai mais un pirate qui a une barbe noire, dit :

     — On va faire un petit jeu, à celui qui se retient le plus longtemps. 

     Des pirates qui jouent !!! Bah ! Pourquoi pas ? Tout est prévu parce que des esclaves mâles apportent six fauteuils. Les femmes ne jouent pas ? Il faut dire qu’au 18e siècle, l’égalité des sexes n’existait vraiment pas. Les pirates s’y installent et ils sortent leurs sexes de leurs hardes. Sans commentaires. 

     Yao arrive, un fouet à la main. Il nous place devant un pirate. Moi, je me retrouve à genoux entre les jambes d’un pirate grand et mince et qui a un visage très spécial. Son voisin lui dit :

     — Tu as la plus belle suceuse, Tête de Mort.

     C’est vrai, qu’il ressemble à une tête de mort. Dans un tout vieux western, j’ai vu un acteur qui avait le même genre de visage. Ses joues sont creuses, ses yeux bleu très pâle sont fort enfoncés dans les orbites, tandis que son nez et ses mâchoires sont très saillants. Il voit ma peur et me dit :

     — Je ne te plais pas ? Je suis vivant, tu sais.

     Il rit… d’un rire de… squelette ! Je réponds :

     — Je suis à votre service, Maître, et très heureuse de sucer votre sexe.

     C’est pas vrai, il me fait peur et ils sont tous dégoûtants, je veux rentrer chez ma maman et mon papa… bou, hou...

     Hélas, je vais devoir sucer Tête de Mort. La mort me terrorise, mais lui, il est bien vivant et qui sait, peut-être plus gentil que les autres. Il a l’air très sûr de lui. Son sexe se dresse bien vivant, plus propre ou disons moins sale que les autres. Je dégage le gland en repoussant la peau avec mes lèvres. Il me caresse la nuque de sa main gauche, oui, bon, gauche ou droite, ça n’a pas d’importance, mais je suis précise. Il me dit de sa voix rauque :

     — Commence par me lécher les couilles.

     Yao fait claquer son fouet et nous dit :

     — La dernière à faire jouir son invité prendra une raclée.

     Nouveau claquement de fouet. Je me dépêche de lécher les couilles de Tête de Mort. De sa voix caverneuse, il me dit :

     — T’en fais pas, tu me plais, tu ne seras pas la dernière.

     Son odeur et son goût ne sont pas désagréables. À part le problème qu’il me fait peur, il me plaît plus que les autres. 

     J’ai dit squelette, mais c’est surtout son visage avec ses joues creuses et ses yeux enfoncés dans les orbites qui le font ressembler à une tête de mort. Son sexe, lui, pète la santé. Pour amadouer la mort, je le suce comme un veau tète sa mère qui est rentrée très tard d’une soirée. Ça suce bien un pis, un veau, moi je suce bien une bite. Il ne sent ni ne goûte la mort, mais pas le savon non plus. Il faut dire qu’il n’y a pas de salle de bain sur les navires des pirates.

     Le couple de photographes a remplacé Monsieur Edgard et... qu’est-ce que je raconte, moi, il faut que Tête de Mort jouisse, sinon je serai fouettée. Ma bouche va et vient sur son sexe et de la main, je caresse et je serre un peu ses couilles. Ensuite je glisse un doigt dans son anus. Même les hétéros aiment ça. Tête de Mort gémit un tout petit peu. Message bien reçu, j’enfonce un deuxième doigt dans son anus. 

     Quand on a un costaud avec un fouet derrière soi, on devient très, très efficace dans l’art de faire jouir un homme. J’entends un pirate gueuler :

     — Ah putain de salope, tiens, tiens et tiens !

     Le message est clair : un des hommes jouit en envoyant des saccades de sperme dégueulasse dans la gorge d’une pauvre fille.

     Là, je reçois un nouveau coup de fouet en travers des fesses. Je crie sur le sexe qui est dans ma bouche :

     — Aiiiieee !!!

     Il faut que je suce énergiquement et que mes doigts l’enculent plus vite. Qu’est-ce que tu attends, Tête de Mort ? J’arrive à faire trois choses en même temps : sucer son gland, presser ses couilles et l’enculer avec deux doigts. J’accélère le mouvement. Chères lectrices du futur, essayez de faire ça à votre mari, vos amants ou vos domestiques et… Tête de Mort rugit :

     — Putain de petite salope, tu suces comme une reine !

     Oh mon Dieu, c’est du miel qui coule dans mes oreilles. En même temps, il m’envoie des saccades de semence, que j’avale. Son sperme est très abondant et il a un goût très fort, je dois prendre sur moi pour tout avaler.

     Je dois faire une pauvre tête dégoûtée. Tête de Mort me caresse le joue en disant :

     — Ce n’est pas la première fois que tu avales ?

     — Non maître, je vous prie de m’excuser.     

     — On a mangé des asperges, ça donne un goût à la pisse et au sperme. Tu as fini deuxième, c’est bien. Je vais peut-être te faire un cadeau quand tous les hommes auront joui.

     Je le regarde avec de grands yeux. Le pirate Tête de Mort va me faire un cadeau ?

Je ne refuse jamais un cadeau. Ce sera quoi ? La vie éternelle ou alors la disparition de tous les dirigeants néfastes de la surface de la Terre ? Je l’ai bien sucé, il me donnera à Azra, ma sirène, et il nous protégera.

     Je rêve… N’oublie pas qu’on te filme, Fanny, et que tout le monde te regarde. La fille qui a été la dernière à faire jouir son partenaire crie et supplie Yao d’arrêter de la fouetter. C’est le sort de la perdante.

À suivre.

Merci à Bruce Morgan pour le super dessin.

Vous pouvez voir ses dessins sur nos blogs gratuits :

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