C’était cet été, il faisait chaud, très chaud, et je dialoguais sur un site web avec un monsieur qui me disait aimer donner des fessées aux garçons indisciplinés quel que soit leur âge. Lui en avait 73. Il aurait largement pu être mon père. Et puis au fil de la conversation, c'est devenu plus chaud, plus intense et j'avais envie de le taquiner, alors je lui disait des "pas cap', des même pas peur, ..;" alors il s'est fâché bien sur, et il est monté en pression, me donnant l'ordre de venir chez lui pour recevoir la fessée largement méritée. Je n'avais rien à faire ce jour là et j'ai décidé de lui dire oui. Il m'a bien prévenu que une fois arrivé, je n'aurais rien à dire, rien à demander, rien faire sinon me soumettre à lui et à ses fessées, où que ce soit. J'ai dit banco et j'ai pris ma voiture. Des fesseurs j'en ai connu beaucoup, vraiment beaucoup, et en fait bien peu ont été à la hauteur de mes attentes, de mes espérances, alors je me suis dit, on verra bien. Je suis arrivé après environ une petite heure de route dans un petit village en fête, il y avait des gens sur la place, des gamins qui jouaient et crier dans les rues, un 14 juillet quoi ! A peine arrivé, je descends de voiture, vêtu d'un petit short très court façon culotte courte, en velours, et dessous une culotte blanche en coton comme exigé, le reste, tee shirt et chaussettes de tennis. Je me dirige vers sa maison et là j'entends des gamins dirent "tiens il va chez le père fouettard" ... j'en suis resté un peu surpris quand même. au petit portillon, je sonne et je vois arriver un fort gaillard d'1m90 au moins, et bien ses 100 Kg. Il est habillé en bleu de travail. il ouvre et me fait entrer sous le regard amusé des gamins. S'en apercevant le monsieur leur dit d'aller voir ailleurs sinon gare à eux. Ils déguerpissent aussitôt.A peine entré dans sa cuisine, je reçois une énorme claque sur les fesses qui me fige direct ! il me prend par le bras, me pousse vers la table de cuisine, me penche dessus et sans dire un mot commence à me flanquer une énorme fessée sur les cuisses nues et les fesses protégées par le short en velours. Une vingtaine de claque après, il s'arrête, il va se chercher une bière, s'assoie, et commence à boire directement à la canette. je ne sais pas quoi faire alors je ne bouge pas. J'attends. Il se relève enfin, viens vers moi, et d'un geste brusque me descend le short et la culotte à moitié. il regarde mes cuisses, mes fesses, puis il prend enfin la parole et me dit que ce n'est que le début, que je ne suis pas venu pour rien et que, comme je l'ai bien énervé sur le "Chat", je vais déguster grave ! Il prend une chaise, et s'assoie dessus puis e dit de venir vers lui, j'avance à petit pas, entravé par mon short sur mes chevilles, il me couche sur ses genoux et là, je prends une de ces fessée mon Dieu comme rarement j'en ai prise. Les claques n'arrêtent pas de plus en plus en plus fort. Il s'arrête enfin, je suis toujours en culotte blanche, effondré sur ses genoux, il me relève et se lève aussi, il a chaud, il ouvre grand la porte et les deux fenêtres de la cuisine, celles qui donnent sur la rue. Il revient il me courbe sur la chaise, et me fait écarter les jambes un maximum...pas facile avec le short sur les chevilles... je le vois enlever sa ceinture, je sais que c'est pour mes fesses,je tremble de peur car il 'a déjà fait très mal, mais j'ai promis de ne rien dire de ne rien faire et de me laisser faire alors je me laisse faire. j'entends des gloussements derrière moi, sans doute des gamins devant les fenêtres ouvertes ! et le premier coup tombe, sur mes cuisses, ça fait mal, ça gifle ça cingle, je cris, je gémis, je sens des larmes monter dans mes yeux. Il continue, et alors que je ne m'y attends pas, il me baisse la culotte d'un coup sec, et la fessée reprend de plus belle, les coups de ceinture me vrillent les fesses, j'entends des rires, des gens qui parlent, qui se moquent, mais je ne vois rien. Je suis là, déculotté devant des fenêtres ouvertes, recevant la fessée et je ne réagi pas. Je subis. La fessée s'arrête. je respire un grand coup et sèche ms larmes qui coulent à flots tant j'ai mal... il quitte la pièce, mais revient vite avec des baguettes de noisetier dans la main... Il me dit que je vais goûter ça et que je vais apprécier leur souplesse !!! tu parles, ça fait encore plus mal que je ne pensais... je sens comme des griffures à chaque coup reçu, je me remets à pleurer à chaudes larmes, rien ne les arrêtent et j'entends toujours des rires derrière moi...Le spectacle de mes fesses écarlates et fouettées par les verges doit être magnifique tant j'entends des "ohhh" des "ahhh".... Puis ça s'arrête. La fessée est finie, il me le dit. Il me prend par le bras et m'entraîne vers sa salle de bains, et me plante devant un grand miroir et me dit "regarde tes fesses'. Je tourne la tête et découvre le spectacle de mes fesses rouges, mais rouges !!! et mes cuisses !!! les marques de la ceinture, les marques des verges de noisetier y sont incrustées limite ça saigne tant j'en ai pris... je suis effaré de l'état de mes fesses... Il m'ordonne de me reculotter, ce que je fais non sans douleur car le coton de ma culotte me brûle, me fait mal... et le short remonté je m'aperçois avec horreur et honte qu'il ne cache pas les marques et rougeurs de mes cuisses... comment vais je partir avec tous ces gens dans les rues, ces gamins qui ont sans doute tout vu ??? J'ai honte, terriblement honte d'avoir demandé et mérité cette fessée. Les fesses me cuisent, les cuisses chauffent... Et là, le monsieur me passe la main dans les cheveux et me dit 'viens, on va aller boire un coup". Il m'entraîne avec lui, on sort de la maison, on va sur la place, là où une buvette est installée pour la journée, là où des gens boivent rient et dansent... je me sens comme un petit garçon qui vient d'être puni et que tout le monde va voir les cuisses rouges ne laissant aucun doute sur ce que le "père fouettard ' m'a fait. dans la rue, les gamins nous suivent et se moquent, je ne dois rien dire, je me tais. Arrivés à la buvette il nous commande deux bières, On est là, debout face à la buvette, on boit ensemble, la fraîcheur de la bière me fait du bien, mais des gens arrivent bientôt derrière nous, j'entends des murmures, des chuchotements, et des rires d'adultes. Un gars dit au monsieur, "eh bien celui là tu l'as pas raté ! il a du t'énerver beaucoup !" et le monsieur répond "oh mais c'est pas fini, je fais une pause mais après il y aura encore droit !". là je dis stop. et je me retourne comme pour cacher mes cuisses zébrées à la vue des gens. je vois alors des hommes, des femmes, de tous âges, et une femme me dit "vous savez, c'est pas pour rien qu'on l'appelle le père fouettard, beaucoup ici y sont passés" !!! je ne sais plus où me mettre et ça rit autours de moi, et ça se rappelle des souvenirs du père fouettard !!! Une femme, jeune, qui vouvoie le père fouettard lui demande si les fesses sont aussi rouges que les cuisses... j'y crois pas, elle veut voir !!! et tous veulent voir. Pour sur comme dit un gars, il est pas d'ici çui là !!! alors le père fouettard me tire par le bras, et dit aux adultes présents, vous voulez voir, ben venez ! ... il 'entraîne derrière la buvette, près de l'église, et là, s'étant assuré qu'il n'y avait pas d'enfants, il me baisse le short et me déculotte complètement pour exposer mes fesses. j'entends des ohhhh de surprise et une femme dit "le pauvre il a du souffrir"... je me retourne, je suis en larmes, je me sens tellement humilié par ce vieil homme, par ces gens qui me regardent.... et là le vieux me flanque deux claques sur les fesses et il me reculotte lui même; me disant que e pouvais partir. J'ai traversé le village en larmes les fesses et les cuisses brûlantes sous les quolibets des gamins "il a pris la fessée euh il a pris la fessée euh ..."
Je monte dans ma voiture, je rentre chez moi...là il me faut me garer, et revenir à pied jusqu'à l'appartement... je croise un jeune couple et j'entends des rires derrière moi.... je monte l'escalier, et je croise la dame du deuxième étage, elle se retourne, et me lance un " e bien on eu droit à sa fessée aujourd'hui ? c'est pas trop tôt, avec le bruit que vous faites et votre impolitesse il y a longtemps que je rêvais de voir ça"... je suis rentré chez moi, n'osant plus sortir !