par Désiré
le Il y a 9 heure(s)
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Si je n'ai plus donné beaucoup signe de vie sur ce site, c'est que j'avais envie d'écrire. Ce que j'ai écrit, ce sont des petits syllabus de quelues pages dont vous pouvez prendre connaissance en cliquant sur le lien:
- la masturbation et ses bienfaits
D'autres documents relatifs à des séances particulières (comme le jeu de la cire chaude) sont en préparation.
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
Suggestion
Par : ludic2
Bientôt 4 ans que j'étais son soumis attitré...
La remise du collier fut un moment terriblement émouvant. Nous avons vécu des moments très forts que personnellement je n'oublierai jamais.
Aujourd'hui nos chemins se séparent. Celle qui fut mon guide sur les chemins escarpés du BDSM a décidé, pour des raisons qui lui appartiennent , de ne plus avoir de soumis attitré.
Je n'oublierai jamais les moments intenses vécus avec Elle. Avec le temps, Elle deviendra sans doute une amie pour qui j'aurai toujours énormément d'estime, d'affection et de reconnaissance. J'espère La revoir pour des rencontres occasionnelles SM ou conviviales.
Aujourd'hui donc, je redeviens sans collier mais les 5 ans 1/2 où nous avons cheminé ensemble sur les sentiers étroits et parfois vertigineux du BDSM ne disparaitront jamais de ma mémoire.
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Par : Brune et ronde
ECRIS EN UN
Je suis fatiguée, mes yeux se ferment mon esprit divague…
La marque, les marques en parallèle sur mes seins me ramènent a cette chambre d’hôtel…comme se remémorer un rêve, on ne sait plus ce qui est réel, l’ordre exact des choses, seul le ressenti est sur…
Stries violettes, sur mes vergetures, quelques points plus bleus, baignant maintenant dans un océan doré… au milieu de ma peau laiteuse…oui longtemps je m'en souviendrai, et pourtant pas, peu de douleur, je revois le geste, le mouvement de la main je ne ressent pas le coup !?
Je ne sais plus si j'ai bougé, si mon corps a vacillé.. Il n'a pas du y aller de main morte ! Mais jamais je n’aurais pensé marquer a ce point, lui non plus je pense…sa réaction le laisse penser…
Je regarde ma poitrine et repense a cette journée
Le stress, le trac, l'envie…
Le cœur qui bat la chamade a la sortie du métro, et ce trajet en voiture ou j’essaie de faire comme si de rien n’était…voit il que je panique presque ?...cet hotel introuvable…la réception, ou je passe en plein écran…je m’ecarte le laisse gérer, il semble si a l'aise, si sur de lui…j’aime ça
L’ascenseur, les portes se referment, enlève ton soutien gorge ! Ca cingle a mes oreilles ! Entre le stress, la brutalité du ton, mon énorme sac a main, je patine, je m'emmele les mains sur ces maudites attaches !! Dépêche toi ! La porte s'ouvre…de toute façons tu ne rentreras pas dans la chambre avec ! Il prend mon sac que j'avais posé pour essayer de me depatouiller de ce p….. ! De soutif, je le suis, dans le couloir une femme de ménage est sur le seuil d'une porte et mes mains enfin degrafent l'attache…j'entend du bruit derrière moi alors que je fais passer la bretelle gauche sous ma robe…elles sont deux !! Si la première n'a rien vu je ne jugerais pas pour la deuxième…mais je continu…je récupère cet incombant bout de tissus, 105D, ça ne tient pas au creux d'une main !! Je rougis, mais je souris…
Entrée dans la chambre.. Mon cœur bat vite…je pose mon soutien gorge sur la table, il me dit de me déshabiller, le ton est pressé, pressant, un peu brut, me déstabilise…j’ai l’impression d’être pataude, de mettre toujours trop de temps a réagir, il redemande, il insiste, je ne vais pas assez vite…il veut que j’enlève mon rouge a lèvre ! Surprise je me rend vers l’évier je frotte avec mes mains avec un peu d'eau, il en reste il attrape une serviette et me décape la bouche avec en demandant sur un ton dur et presque méprisant c’était nettoyé ça ? T'avait tout enlevé ? Plusieurs fois, maculant cette serviette, je balbutie...je n'avais pas osé salir une serviette je me maudis tout en m'excusant.
Est-ce a ce moment que je me retrouve a ses pieds ?
Non je crois qu'il y a eu les pinces avant, ces pinces a linge qu'il m'avait dit d’emmener et qu'encore une fois j'ai mis un temps fou a trouver quand il me les a demandé…encore une fois je me suis sentie gourde… excitation ou art de les poser, je n’ai pas eu très mal quand il les a mises..
Et me voilà a genou devant lui, empruntée encore une fois, pas sure de ce qu’il attend…
Je défais sa ceinture, son pantalon…il baisse lui-même son caleçon libérant ce sexe déjà un peu dur que j’attends.
Je l’appréhende avec ma langue ma bouche, je ferme les yeux et me concentre juste sur cette queue..
Après, après.. Ce n'est pas clair, j'ai des flashs, qui font palpiter mon ventre et mon cœur en y repensant…
La première claque sur mes fesses, déjà forte, et puis d'autres et cette sensation dans mon sexe qui réagi, face au miroir ou je n'ose regarder…j’essaie de ne pas crier, de me contenir, nous en avions parlé, je ne veux pas qu'il croit que je n’apprécie pas, que je suis une chochotte…pour autant parfois je trouve ça un peu fort, mais il demande…si ça va, si petite salope était bien venue pour ça…et je dis oui…oui maitre, ce « maitre » qui a parfois encore du mal a sortir…
A un moment il me fais regarder mon cul dans le miroir, demande si c'est assez rouge, c'est plutôt rose, mais certaines claques ont été fortes…alors je dit que je crois que c'est suffisant pour aujourd’hui, un peu plus aurait peut-être été, mais je ne veux pas l’interrompre au bout de deux claques en ayant dit qu'on continuait…je ne sais pas s'il apprécie ma réponse mais j'ai l’impression que son regard sonde le fond de mon âme.
Sommes nous passé par le lit avant la séance des seins ? Est-ce après ? Il y a eu plusieurs passages…
Sa queue entre mes seins, entre mes lèvres, au plus profond de ma bouche, de ma gorge, parfois un haut le cœur, les larmes aux yeux…
Flash ! Il tire sur mes tétons, pince fort, les tirent vers le bas, très fort, douloureux et il me pose une question, quelle questions ? Je n'arrive pas a répondre, ça va trop vite….et il tire de plus belle répétant inlassablement sa question…arretez s'il vous plait ! Et il s’arrête…m’attire sur son épaule, me laisse reprendre souffle et esprits, ce n’est pas le signal de fin, mais il a compris qu'il devait moduler un peu pour continuer…
Autre flash, ce geste incontrôlé de sa part…il n'a pas touché mon visage, je ne crois pas je n'ai pas senti, il s'est arrêté lui-même…s’excuse, me câline pour se faire pardonner ma surprise et ma peur, s'assure que je suis bien, que nous pouvons reprendre…
La séance des mamelles.. J'ai parfois reçu quelques claques, m'en suis mises aussi…mais plus sur la face du sein, le téton ou sur l’intérieur, lui avec de grands gestes sur l’extérieur de mes mamelles pendantes me donne un nouveau plaisir… c'est fort je le sens mais moins saillant que sur les fesses…mon antre coule, je crois que je souris…
Pourtant nous ne recommencerons pas, quelques temps après il regarde l'effet…c’est déjà piqué de trace violettes et bleues, peau trop vascularisée dit il, on ne le refera pas…je regarde, ha oui quand même !! Moi qui ne voulait pas de traces visibles…il me câline un peu, me dit qu'il va me donner ce qu’il faut pour soigner au mieux…
Son regard, son regard quand il me dit de me faire jouir.. Il dit de ne pas fermer les yeux, j'ose le regarder, laisser aller mon corps ma respiration…
Ce sont ses mains que je voudrais, sa queue, sa bouche s'il le souhaite, mais dame nature a gâter un peu notre premier moment…
Et puis ce regret, de ne pas avoir pu m'offrir totalement, lui donner accès à tout, j'en aurais pleuré ! Je me dis après que j’aurais du faire ceci ou cela, telle position….je voulais m'offrir sans réserve…
Une prochaine fois a-t-on dit, oui une prochaine fois être a lui sans réserve, totalement le laisser jouir de tous mes trous, de mon corps…encore sa bouche sur mes seins, ses mains qui serrent qui palpent qui prennent, une pression sur mes joues ma gorge, caresse ou prise en main ferme de mes cheveux…
Mon cœur s'emballe en y pensant, ma respiration s’accélère…
Il demande ou je veux, je dis ma bouche, moins de risques de salissure et surtout, surtout je veux connaitre son goût, vraiment, ardemment, au fond de ma gorge se répand ce miel amer…mon ventre brûle de sa jouissance.. Ne rien perdre, en douceur…
Il m'attire contre lui je me niche dans son épaule, cherchant a respirer son odeur, sa peau, il comprend mon besoin, ouvre grand sa chemise, je Hume et m'enivre
Il me parle me demande comment je vais, je suis bien !
Nous regardons les stigmates sur mes seins, il s'assure que je n'ai pas mal, après il fera un arrêt a la pharmacie pour moi…
Je me rafraîchi au lavabo, rince ma bouche, mais pas ma gorge, je veux garder un peu ce goût, je sais que l'amertume ressortira avec la première bouffée de cigarette…humm
Nous sortons de la chambre, moi un peu ailleurs, je crois qu'on a croiser quelqu'un a l’ascenseur…
Il me ramène s'assure que j'ai compris la posologie pour mes marques, badine un peu avec moi, me fait redescendre doucement…
Me dépose au métro, pile l'heure de l'appel a l'amie qui me sert de sécurité...pour elle ce ne sont que des rencontres d'une néo célibataire, sa première phrase, ça va petite cochonne ? Si tu savais ma chérie !! Oui ça va, petite cochonne, petite salope, petite soumise ravie, sur un petit nuage…
Nous avons beaucoup échangé depuis, il me dit qu'il aimerait un texte sur notre première séance, et puis il écrit : ECRIS EN UN
Oui mon maitre, puisque depuis je vous reconnait comme tel…
Le voici, peut-être un peu long, confus, mais preuve de mon don, pour mon dom
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Par : Elle.a
Lorsque je suis loin de lui, j'oblige mon soumis à entonner l'excellent "Tata Yoyo" debout devant son réfrigérateur ouvert, à l'heure la plus chaude de la journée.
Il se doit d'être en tenue d'Adam, le sexe plié à angle droit grâce à l'objet de son choix, sous le regard attentif de son berger allemand.
Il se doit bien évidemment d'être le plus droit possible, la main au képi, et le doigt sur la couture de l'absence de pantalon.
Tout ceci sous le chaperonnage de sa grand-mère qui m'envoie la photo avec le journal du jour pour preuve de son assiduité.
Je précise que je reviens dans 4 semaines.
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Par : Lady Hydre
Humour et Dérision .. La copine d'Huguette .. Encouragé par mes deux premiers succès , ne voulant pas gâcher des dons évidents , je me remis à l'ouvrage . J'appelai Huguette pour la revoir , toujours sous le charme . Elle n'était plus libre me confia-t-elle , avait déménagé , n'étais plus intéressée par le BDSM , et n'avait rien ressenti – de quelconque façon à ses dires – lors de notre rencontre . Si je n'avais su lire entre les lignes j'aurais naïvement pensé qu'elle m'évitait ou avait été déçue . Ma grande expérience de la psychologie féminine me fit heureusement deviner , que , probablement par peur de tomber follement amoureuse , elle préférait une vaine fuite . Je dis vaine , car évidemment , je ne voyais pas comment son esprit eût pu se détacher de moi . Pas plus que son corps qui devait m'appeler chaque nuit . Gentleman , je n'insistai pas , la laissant toute à la pudeur de ses sentiments . Juste avant de me raccrocher au nez ( assurément pour cause de forfait dépassé – tiens au fait c'est moi qui l'appelais … ) elle me donna le numéro d'une amie qui disait-elle pourrait être intéressée , elle ( je cite ) . Ah ces femmes , quels bijoux … Elle avait été si enthousiasmée qu'elle n'avait pu s'empêcher d'en parler à sa copine . Bon Prince je décidai de l'appeler . Evidemment cette dernière fut emballée et me donna rencart le jour même . Lorsque j'entrai dans le café , je la reconnu immédiatement . Sa paire de Rangers , son pantalon treilli très en vogue chez les femmes à cette époque me plurent immédiatement ; je devinai vite qu'il s'agissait de masquer maladroitement sa fragilité , sa féminité … Et ce ne sont pas ses cheveux hirsutes et son maquillage outrancier qui allaient me faire changer d'avis . Pas plus que ses 15 bons centimètres de plus que moi , ni ses épaules de déménageur . Je mis sur le compte du tabac ( elle écrasa son cigare dans le cendrier à mon arrivée en me dévisageant … ) sa voix grave . _ Bonjour Madame , je … _ 'sied toi ! Quelle économie de mot , et quelle concision ; j'en était admiratif ! Je saisis au vol cette invitation et pris place face à elle . _ alors c'est toi qui voulait dominer Huguette ? Force était de constater que ma réputation m'avait précédé ; je conçu une certaine gène ( humilité quand tu nous tiens ) devant ce compliment déguisé . Toujours cette subtilité du langage féminin … _ moi aussi j'aime la fessée ... lâcha-t-elle en même temps qu'un rot qui fit se retourner même les plus habitués des lieux . Elle reposa sa bière en s'essuyant sensuellement les lèvres d'un revers de la main . _ ...mais je préfère la cravache , mon pêché mignon ! J'étais sous le charme , nos goûts correspondaient à merveille . Savait-elle qu'elle était déjà perdue corps et âme ? Son regard et un signe du menton m'indiquèrent la porte des toilettes où elle avait visiblement l'intention de me suivre ; évidemment l'endroit n'était pas aussi romantique que j'aurais pu le souhaiter , mais son envie , son impatience eurent raison de ma pseudo réticence . En outre elle venait de me confier qu'elle avait tout ce qu'il fallait avec elle , dans son sac . Vraiment bien organisée cette charmante jeune femme , avoisinant les 60 , 65 ans . Elle avait certainement tout prévu la coquine . J'en étais à bénir ma bonne fortune lorsque j'entendis la voix de ma belle à travers la porte : _ j'espère que t'a remis du PQ Pierrot , sinon je m'essuie sur les murs ! Les rires gras de l'assemblée me transportaient ; elle savait y faire pour donner le change , et mine de crayon , me rejoindre . La porte s'ouvrit ; elle était encore plus grande que je ne croyais . A peine entrée elle ouvrit sans un mot la porte des WC femme et me poussa dedans . Impatience quand tu nous tiens … De son sac elle sortit une magnifique cravache noire , un modèle assez court , avec un large embout en cuir . _ Baisse ton pantalon ! J'en étais gêné ! Voulait-elle passer à une gâterie tout de suite ? C'eut été gâcher , je ne l'avais même pas encore fessée . Je fus rassuré quand elle me fit appuyer au mur , pantalon sur les talons ; dans cette pause noble j'entendis ( et surtout sentis ! ) le sifflement de la cravache s'abattre sur mon arrière train ! Elle voulait vraisemblablement vérifier son bon fonctionnement avant de me la tendre . Visiblement dans le doute , elle vérifia une bonne trentaine de fois l'outil sur la partie la plus charnue de mon individu . Etrangement , dansant d'un pied sur l'autre , j'avais de moins en moins envie de la dominer . J'espérais qu'elle ne m'en voudrait pas trop . Je sentais à son souffle court qu'elle fatiguait ; cela m'arrangeait un peu à vrai dire … Quand elle eu fini , elle claqua la porte et sorti , me laissant le soin , me précisa-t-elle de régler ses «4 bières descendues en t'attendant plus la tournée générale» qu'elle allait mettre sur mon compte . Je remontai sans hâte et avec une infinie délicatesse mon pantalon dont il me sembla soudainement que la matière était proche du gant de crin . Décidément ma carrière de dominateur se poursuivait aussi fort qu'elle avait démarré ; j'en concevais une légitime fièreté , bien décidé à ne pas m'arrêter en si bon chemin . Quand tout vous sourit dans la vie , quelle extase ... Sir S
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Par : Lady Spencer
J'ai parfois beaucoup de mal à revenir à la "vie normale" après une soirée ou un we de pratiques BDSM
Ce que j'entends par vie normale, c'est la vie quotidienne, avec des activités professionnelles, des relations "normales", les gestes de la vie de tous les jours .
Sortir le chien et la poubelle, en balancer dans le container vert et essuyer les pattes de l'autre en rentrant
En espérant ne pas s'être planté dans la suite logique des évènements
Donc, ne plus faire la vaisselle nu-e sous le tablier bleu et blanc (fort seyant d'ailleurs...sourire), ne plus graisser les fouets après le déjeuner, de plus claquer de fesses qui n'attendent que cela, et ne plus parler librement du dernier clito vibrant sous les doigts !
Entre autres sujets de conversation, bien sûr !
Pas simple, de revenir dans sa peau de Madame Tout le Monde, avec ses tracas et ses joies et de trouver cela, de nouveau, normal !
Parce que, moi, j'aime bien vivre l'intensité des retrouvailles,de nouvelles rencontres, des échanges passionnés sur la domination, la soumission, et tout ce qui tourne autour
Les "pourquoi ", les "comment" les "waouhhh", les " oh non, ça, c'est trop pour moi" ....
Et surtout cette pleine et entière liberté de parler de nos désirs, de nos fantasmes, de ces jardins secrets, de toutes les raisons qui nous conduisent à vivre différemment notre sexualité notamment sans honte ni gêne
Ou avec gêne d'ailleurs lorsque les soumis-ses avouent leurs préférences et leurs difficultés en aimant tels actes ou telles approches : ça, j'adore !!! (sourire)
Pas simple de ne pas réagir en entendant ses collègues de travail évoquer un tatouage par ex, "mal placé" ou un piercing de mamelon qui les font dire : "mais, y faut être vraiment cintrés pour se faire abimer comme ça !!! Cintrés et vicieux ! "
Je me suis déjà laissée aller à commenter un geste ou une attitude "banale" en jouant sur une situation : un technicien par exemple, se mettant à genoux pour démonter une roue de fauteuil roulant, et qui, croyant impressionner tout le monde, me dit : "ne vous habituez pas à ce que je le fasse à chaque fois "
"Et pourtant, cette position vous convient parfaitement" ai-je répondu en souriant
Donc, pas simple de reprendre sa "place" lambda dans la vie, sans tout voir via le prisme BDSM : en tous cas, pour moi, ce n'est pas toujours simple
Et vous, comment vivez-vous ces moments de retour sur terre ?
Vous avez des astuces, des trucs facilitants ?
Vous avez vécu des situations ambigues parfois ?
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Par : #
tout commence par un ordre …. un seul ordre tellement simple, mais si poignant ! je la regarde l’aire de dire « ouiiiii Maitresse «
( je devais tout préparer pour qu’elle puissent jouet de moi )
j’ai commencer par présenté tout les jouet sur les commodes, cela parait bisard mais c’est extrêmement excitent de faire sa …. préparé les jouet sans même savoir avec les quel elle va jouet sur son petit soumis.
J’allume toute les bougie dans la chambre, bougie après bougie l’éclairage se fait de plus en plus agréable, Hummmmm mon cerveau travail déjà a tout se qui pourrait arrivé.
puit j’enlève mes vêtement chose qui m’emprisonne … sans mes vêtement je me sent plus libre, pret à servir ma Maitresse ou plutôt prêt à se que elle se serves de moi comme elle le veux !!! ouiiiii a se moment la je me dit « hummmm je luis appartient !! «
je m’instale à 4 pates tel es ma place !!!
je doit l’attendre.
les chose s’accélère, mon coeur bat plus vite, j’ai des frisson, mon cerveau plane… pourquoi ?? car je sais que ma Maitresse va arrivé !!
je l’entend arrivé, je ne la regarde pas … je n’ose même pas la regardé, elle dégage une énorme prestance, une force, une intimidation !!!
elle se trouve alors assise devant moi, et même au vue de ceci je suis et je serait tout de même plus bas qu' elle !!
puit vien cette phrase qui déclenche se mouvement qui fait venir sont chien a ses pied !!! hummmmmm je l’entend encore !!!
« aller vien la « qu’elle me dit !!!!
je me retrouve attire par elle, se corps qui lui appartient s’exécute tout seul, elle commence a caressée se même corps.
j’aime telement sentir ses ongles hummmmmmm oui sa m’excite !!!
elle pose sa tête me demande de me redresser, et la moment fort !! elle me fait signe de saisir la clef, oui la clef de Sa queue !! qui se trouve en cage et me dit « enlevé la cage ! »
chose que je fait de suite …
elle dit « maintenant je vais prendre ma douche tu reste ainsi et tu ne bouge pas !!! «
wouaaaa je m’exécute bien que très difficile a résisté cette position fait mal a mes cheville, sa douche se passe bien je l’entend …
se corp qui lui appartient, lui ne peut plus pour longtemps avent de s’effondre faiblement … mai nonnnnn je veux être fort pour ma Maitresse !!!
elle fait une apparition d’une simplicité fulgurante elle me dit « Branle toi !! « hummmmm oui Maitresse.
cette fierté que je ressent !!
elle revient elle me voie … Sa queue toute dressée l’excitation monte …
j’entend « arrete de te branlé «
frustration, envie, chaleur, perte de toute notion ….. tout se bouscule dans ma tête !!!!
elle me fait signe de monté sur le lit toujours a 4 pattes bien equipé !!
bracelet menotte, bâillon boule, cagoule, rosebud dans le cul de son petit soumis.
je suis la le cul bien cambré.
et la elle me dit ….. « tu n’a pas été sage tu sais pourquoi et tu sais se qui t’attend !! «
( en effet la veille j’ai fait une bêtise qui l’a privé elle de ses envies )
gros sentiment …. par le marquage de ses fesse par la cravache se sont la les marque de ma bêtise qui seront « effacé « ouais car malgré tout au fond de moi j’ai aprit de cette erreur.
elle prend les menotte en métal celle bien solide !!! les main relié au pied me voila en position, je doit compté avec elle
CLAQUE …. 1
CLAQUE ….. haaaa 2
CLAQUE ….. 3!!!!
CLAQUE ….. hooooo 4
CLAQUE ….. 5…..
silence malgré moi me voila plongé dedans j’ai oublié de dire « merci Maitresse «
CLAQUE …… 6 ( pour l’oublie )
Merci Maitresse
hoooooooo hummmmm….
la je sent le martinée continué le travail !!!!! hummmmmm la douleur se transforme en excitation petit a petit
j’entend « tu voulait jouet avec celui la «
et la je sent son catonine fondre sur le cul de son petit soumis !!! hummmm je ne répond plus de se corp j’ai l’impression d’être l’instrument de son plaisir!!
et l’intrument ne se doute de rien mais il va bien servir !!!!!
je sent sa main sur le cul de son soumi se froid indique le lubrifiant !! elle m’enfonce des doigt !!!
la tout va très vite non pas en réel mais mon cerveau se déconnecte je suis …… je suis un pantin d’ont elle tire les ficelle !!!
elle me sent partir me demande si ça va … je répond que non plutôt moyen car j’ai la tete poser sur le coté elle me change de position … 4 pattes main toujours lié par les menottes en metal les cheville lié egallement…. je me cambre tout seul en me disent
« aller y Maitresse faites se que vous souhaitez de votre soumis « !!!!
hummmmmm quel excitation !!!
je sent la le gode en moi je ne sais pas le quel je ne penses que au SENSATION !!!! ouiiiiii les SENSATION d’avoir le cul plein !!
De sentir depuis l’interieur quelque chose touché les point de jouissance que je n’ai jamais senti !!
cette queue qui essaye d’être a la hauteur de cette même excitation …. mais impossible cette sensation nouvelle es bien plus fortes
Elle ENCULE bien fort son petit soumis elle le tien par les cheveux !!!
elle me dit « vas’y joui !!!!!! «
hum cette parole résonne en moi comme une goute qui fait débordé le vase ….
elle ENCULE son soumis plus vite, plus fort
hummmmmmm je vien !!!! je sais même plus parlez !!! je suis déconnecté de tout ceci !!!
mon corp n’est plus mien il lui appartient
ELLE CONTROLE TOUT !!!!
hummmmmm jouissance total !!!! heuuuuuu hoooooo hummmmm ouiiiiiiiiiiiiii hohohohhoooooo
elle se retire de moi …. je me sent tout legé tout chose !!!!!!
je suis perdu de la realité
mais je sais que se qui vient de se passer est simplement :
hummmmmmmm très bon.
elle le sais bien sur elle l’a lu …. interprété de se corp qui es le sien !!!!
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C’était peut-être la chose la plus idiote à faire, se donner à un pote de l’université. Nous avons un rapport simple, amical, sans mystère. L’accueil, chez lui à Lyon avait été des plus normaux. Sans mise en scène, gentil, habituel à croire qu’on allait jamais oser. Une double bise fugace comme seul contact.
L’appartement au rez de chaussée laissait entendre les bruits de la rue. Il se divisait en trois parties. Un salon de dalles blanches, assez froid, un petit coin d’eau fermé entre quatre murs et un mezzanine qui recouvrait tout, plus chaleureuse, avec des objets personnels. Rien d'un donjon travaillé.
A cause de la moquette qu’il y avait, et peut-être par effet de la hauteur, il y avait sur ce perchoir une chaleur plus tendre, comme dans une chambre d’enfant. La visite ne dura même pas une minute et il m’invita tout de suite à m’asseoir dans son petit salon.
Il disposa sur la table quatre verres dont il remplit le fond de crème fruitées différentes et termina par un vin blanc.
Je goûtais les quatre et pris celui à la pêche. On discuta un peu, puis il y eu un silence. Je ne sais pas ce que c’était pour lui, mais je commençais à ressentir une première gène. Il recommença à me parler simplement des choses de la vie courante ; puis il y eu un second silence. Il me souriait gentiment mais je ne sais pas pourquoi je baissais les yeux. Alors il m’a demandé ce que j’avais amené. Ce fut comme une délivrance et je comprenais que ce petit discours, qui devait nous réhabituer l’un à l’autre était aussi pour lui un moyen de faire monter une pression en moi. Il a repoussé sur le côté de la table les verres et les bouteilles et m’a regardé ouvrir mon sac avec attention. J’ai posé les menottes sur la table, puis le bâillon à boule, un pénis en plastique et puis j’ai hésité. C’était très étrange de me dévoiler de cette façon devant un ami. Le lui dis simplement « jai aussi ça » en posant le crochet anal sur la table. Il regarda cette brève panoplie avec sérieux, puis, en me regardant dans les yeux, il me dit « maintenant tu vas me dire vous. Tu vas m’obéir et m’appeler Maitre. » C’était un contraste fort avec l’homme que je connaissais mais son sérieux me mis en confiance. Je lui répondit « oui maître » pour la première fois.
Il alla baisser les stores et tandis que la pénombre envahissait tout, il alluma plusieurs bougies très épaisses qu’il monta en haut. L’espace, simple et presque enfantin s’était changé en un monde mystérieux. Il me demanda de retirer mes vêtements avant de venir le rejoindre avec mes outils. Je m’exécutait et ne gardait que mes bas, mon soutiens-gorge et ma culotte noire. Je les avais choisis pour l’occasion.
Il me regarda monter vers lui dans l’escalier et me fit signe d’aller sur une large couette bleue qui faisait un tapis épais et qui devait au fil de notre jeu se froisser et ajouter une sensualité visuelle simple et magnifique dans la lumière instable des bougies. Je me mis à genoux au milieu et il passa derrière moi. Il me bâillonna, en serrant plus que je n’aurais pensé. Il caressa ma peau, me baisa dans le dos et passa un cordon autour de mon cou qu’il en roula comme une écharpe et la fit pendre. Puis les menottes dans le dos. Avec douceur, il me pris contre lui pour me coucher sur l’épaule, la joue et les genoux, les fesses vers le plafond. Je sentais son regard sur moi. Ses doigt qui effleuraient les dentelles de mes derniers vêtements. Puis quelque chose, son pouce sûrement, qui passait sous l’élastique de ma culotte. « Cambre toi » me demanda-t-il et je le fis. La culotte glissa avec son pouce et découvrit cette partie de mon corps. Sa main se posa sur mon sexe, comme une coquille pour le protéger. Il m’étudiait, caressait pour sentir mon excitation et cette main, à dire vrai, m’excita plus encore. Je sentis ses doigt sur ma vulve, et bientôt leur glissement facile montrait que je commençais à juter de désir. Il le senti puisqu’il ne s’y attarda pas. Sa main remonta vers mon anus, le caressa en l’imprégnant de la liqueur qu"il avait sur les doigts. Il pressa un milieu, sans jamais entrer en moi.
Il fit le tour, se mit face à moi et me demanda si j’avais un regret. Je secouais la tête. Il dit « non maître » ; je répétais sa phrase sans pouvoir la dire à cause du baillon. Alors il posa sa bouche sur la boule. Contact indirect qui me donna une irrésistible envie de lui. Sa bouche, ses mains, quelque chose de vrai, un contact. Mais il repassa sur le côté et glissant sa main le long de mon dos, comme à son animal. Il prêtait une attention très particulière à mon anus. Il imprégnait ses doigts du jus de ma vulve pour le préparer, l’ouvrir doucement. Il commença à m’expliquer ses gestes, à me dire de cogner le sol « quand » j’aurais trop mal avec mon front.
Je sentis un doigt entrer en moi, tailler une place pour le crochet que je sentis bientôt entrer à la place du doigt, mais beaucoup plus profondément ce qui me provoqua d’abord une gène, pénible à cause du froid du métal, puis plus douce.
Il attrapa la corde autour de mon cou et la passa en symétrie sous mes bras, dans le dos, les croisant et me tissant un bustier. Il passa ensuite les ficelles derrière le baillon, m’ordonna de me cambrer plus et rattacha les deux bouts au crochet. Je ne pouvais plus bouger que des jambes et déjà je ressentais une envie de gémir de plaisir. J’avais aussi cette envie de lui, ce désir simple de la sexualité la plus innocente. Simplement sentir son sexe glisser en moi.
Je me souviens de ce désir intense car j’ai cherché dans le noir, pendant une bonne minute, à deviner s’il était en érection sous ses vêtements.
Je commençais à me tortiller, à onduler du bassin en soupirant, pour l’inviter à cet endroit.
Il y eut un claquement qui me provoqua une douleur très vive et une surprise. Il avait fouetté mes fesses avec une cravache, fort, me provoquant un sursaut qui tira sur le crochet. « ‘Ne bouge pas » disait il. Je serrai des poings de douleur, mais à peine commençais-je à m’en remettre, je commençais à désirer qu’il me frappe encore. Il recommença deux fois et je me sentis jouir à la dernière. Il remonta ma culotte par-dessus le crochet et il y eut un répit pendant lequel il vint s’asseoir par terre devant moi.
Sur la table en verre à côté il avait enroulé plusieurs choses dans une serviette. Il tira un opinel et commença, devant moi, à sculpter un morceau de gingembre. Il avait été attentif à ce qu’on s’était dit par messagerie.
Il demandait, en taillant une large pointe, si je me sentais bien. Je répondit « oui maître » sans pouvoir parler vraiment. Alors il se rapproche de moi, repoussa le bâillon sur mon cou, et tandis que je me couchais sur le côté je posais la tête sur ses cuisses. Il tailla longtemps le gingembre, temps pendant lequel il me demanda d’exprimer mes désirs. Je lui dit que j’avais envie de son sexe, de le contempler nu dans cette lumière étrange. Que je voulais lui donner du plaisir moi aussi. Je ne sais pas si j’aurais du lui confier cela. Il n’a rien répondu, mais tandis que je cherchais de la joue à tâter son érection il eut un mouvement de recul. Il me remit en position, comme sa construction, remis le bâillon et passa derrière moi. Il baissa la culotte, retira le crochet et tirant progressivement sur le cordage, enfonça le bâillon dans ma bouche. Quand il fut complètement retiré, je sentis les ficelles se desserrer. Après quelques secondes je sentis les liens se resserrer encore et le fer chaud pénétrer mon vagin. Sa main rejoua brièvement avec mon sexe pour son jus, et le sentis le gingembre entrer à la place du crochet dans mon anus préparé. Je sentis une brûlure, elle vint rapidement et s’intensifia jusqu’à être insupportable. Je cognait le sol de ma tête en serrant les poings mais il sentit que je ne voulais pas arrêter. Il joua à le retirer, le faire rentrer à nouveau. La douleur, continue, me faisait m’habituer à elle alors qu’elle semblait s’intensifier. C’est à ce moment qu’il baisa vraiment mon corps et que je sentis qu’il se passait une chose pour lui. Ses lèvres, posées sur mon dos, sur mes fesses, mes mains menottées et ses mains me caressant, témoignaient d’une forme d’amour pur pour moi, telle qu’il m’avait rendue, totalement soumise dans une douleur délicieuse.
Il me coucha sur le dos et le crochet me fit mal. Il retira ses habits pour n’être plus qu’en boxer. Il ^recommença à baiser mon corps. Sur le ventre cette fois, puis le sexe, et se coucha contre moi en me serrant à lui. Je me suis senti profondément heureuse à ce moment. La brûlure du désir, celle du gingembre, celle peut-être aussi d’une forme d’amour respectueux me prenait complètement. Il retira le bâillon à nouveau. Je voulu baiser sa bouche mais elle était trop loin. Nous sommes restés comme cela longtemps. Puis il a défait le cordage, retiré le crochet, retiré le gingembre et les menottes en dernier.
Je suis restée couchée dans ce plaisir, près de lui et en l’appelant Maître, je lui ai demandé s’il ressentait du désir pour moi et s’il voulait me prendre. Il affirma, mais semblait avoir quelques réticences. Je crois que c'était une suprise pour lui que je le veuille de cette façon. Il adapta. Je le suppliais, baisant ses genoux et ses pieds. Il me demanda alors de me déshabiller complètement et il m’observa nue avant de retirer son dernier vêtement. Je pris son sexe dans ma main, il était dur. J’ai demandé « puis-je Maître ?» et il a hoché de la tête.
La domination continuait, mais le rapport était devenu celui de la tendresse. J’ai joui très rapidement quand je l’ai reçu en moi, c’était finalement ce que j’attendais depuis des semaines. Il s’est alors mis sur le dos, allongé sur cette couette qui faisait comme les vagues d’un océan, et j’ai retiré le préservatif et pris son sexe dans ma bouche. J’en ai avalé la crème chaude.
J’étais un peu confuse quand il m’a raccompagné dans la rue. Le rapport intime avait été merveilleux. Mais peut-être n’avais-je pas su choisir entre l’absolu tendresse et la douleur gradissante. J’ai embrassé ce maître dans le cou. Je ne savais plus comment lui parler. Tu ? Vous ?
La seule chose certaine est que je n’oublierai jamais ce dimanche. Merci Delyb, maître adoré. Mille fois merci.
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Par : Abyme
Les sites vanilles de rencontres sexuelles foisonnent, et comme j'avais réalisé une petite enquête sur ce sujet précis, allons-y…
Les sites de rencontre ont un succès phénoménal depuis pratiquement les débuts d'internet au milieu des années 90. Il faut dire qu'avant c'était les petites annonces, les magazines spécialisés, ou les appels téléphoniques sur réseaux payants (passons sur la période minitel avec son "minitel rose" comme le fameux et emblématique 3615 ULLA).
Internet, en inaugurant l'ère cyber en même temps que le passage au 21e siècle et au 3e millénaire, a ouvert une boîte de Pandore inespérée pour l'industrie du sexe et ses usagers.
Comme pour l'homosexualité, le fetish, les sextoys, et plus récemment la bisexualité, les cyber-rencontres sont en train de passer du tabou à une reconnaissance avérée, voire à un certain prestige.
Meetic est le site de rencontre pour adultes le plus célèbre, mais parce qu'il joue la carte de l'amour, passant hypocritement en arrière-plan le côté sexuel, qui pourtant fait une grande partie de son gagne-pain.
Une jeune fille tout à fait respectable pourra dire sans honte qu'elle y est inscrite. Mais comme tout le monde le sait, ce site abrite une grande partie cachée de l'iceberg de gens cherchant des plans cul sans lendemain, des rencontres purement sexuelles, NSA comme disent les américains (Not Strings Attached : sans engagement).
Cette hypocrisie est d'autant plus fâcheuse qu'elle implique aussi malgré eux la minorité de ceux qui innocemment recherchent vraiment le grand amour (surtout des femmes), et tombent de haut en recevant des tonnes de messages de queutards assoiffés de stupre, qui sont en fait la majorité des inscrits.
Il y a une multitude de sites de ce genre, et c'est toujours pareil. Même si moi aussi je connais des couples formés sur des rencontres virtuelles, et même si je ne m'y suis jamais inscrit, j’ai toujours eu une réaction personnelle de rejet envers Meetic.
Les sites annonçant clairement la couleur rencontre sexuelle, en revanche, ne s'encombrent pas du politiquement correct et vont à l'essentiel directement : "inscrivez-vous dès maintenant et (commu)niquez avec une foule de partenaires sexuels potentiels dans votre région."
De plus en plus ils proposent également un tchat et la possibilité de diffuser son image par webcam, encourageant donc le cyber-sex, ainsi que la possibilité (en plus de présenter une page profil classique), d'éditer son propre blog sexuel, avec galerie de photos, vidéos et entrées de texte illimitées. Les autres membres peuvent laisser des commentaires ou témoignages lisibles par tous, et on peut faire une requête d'amitié, comme sur Facebook.
Il existe une multitude de salons de tchat, et chaque membre peut créer son propre salon. Les plus fréquentés sont bien entendu ceux visités par des femmes.
Évidemment, pour avoir toutes les options, il faut payer. L'inscription est gratuite, mais, selon les sites, au bout de quelques consultations de profils et de quelques messages, on a atteint un quota où le membre standard se retrouve dans l'impossibilité de donner suite à quoi que ce soit s'il ne paye pas un minimum.
Une tactique classique de teasing qui fonctionne bien.
Sur le plus fréquenté au monde de ces sites (entre 30 et 40 millions de membres), Adult Friend Finder, comme sur d'autres sites qui y ressemblent (plusieurs rien qu’en France, assez connus, affichent un autre titre mais sont des dérivés de AFF qui ont ainsi étendu un monopole mondial en terme de record d'inscriptions), on peut rester membre standard et donc ne faire que recevoir des messages, en ne pouvant répondre qu'à quelques-uns par semaine ; beaucoup de femmes le font car le mode opératoire est toujours le même : une femme sera sollicitée par des centaines d'hommes (ou des couples ou des femmes bi ou homo), et les hommes ne le sont pratiquement jamais, ce sont donc eux qui ont le plus intérêt à payer, et à proposer... Les femmes disposent toujours.
Dans le cadre de ce genre de site, il est évidemment interdit de donner ses coordonnées téléphoniques, adresse, mail ou Skype, en tout cas pas avant d'avoir échangé au moins deux messages chacun, sous peine de censure systématique et d'annulation du compte. Sinon évidemment le site perdrait vite de l'intérêt et des consultations.
Il existe aussi le fameux (beaucoup de pub) Adopte-un-mec qui propose une formule originale faisant son succès : les hommes s'inscrivent, et les femmes choisissent de leur ouvrir la possibilité de communiquer ou non. Les hommes ne peuvent qu'envoyer un signal par un clik (mais s'ils ne payent pas ils ne pourront rien faire, même pas lire un message). Ce site a eu l'intelligence de laisser l'utilisation gratuite pendant une période bêta de deux ans, le paiement n'étant obligatoire que depuis 2012.
La vogue de l'échangisme et de la bi-sexualité
Dans les sites libertins & échangistes, les femmes croulent également sous les messages de couples qui cherchent une femme pour un trio. Et là, l'offre et la demande est assez équilibrée. En effet, la bi-sexualité n'étant plus du tout taboue mais au contraire un plus depuis une ou deux générations, les femmes n'hésitent plus à se laisser convaincre par leur mec de s'inscrire sur ce genre de site, parfois pour essayer de réaliser ce fantasme, plus souvent pour l'assumer totalement. Parmi les femmes, seules ou en couple, les bi-sexuelles sont d'ailleurs aujourd'hui majoritaires sur les hétéros ou les lesbiennes.
Les couples cherchant des couples sont aussi très nombreux et font énormément fonctionner ce genre de site, dont certains ont été gratuits quelques temps mais désormais payants (comme Place libertine). Net Echangisme est celui qui a le plus de succès.
Les fakes
Les faux profils ne sont pas légions, mais il y en a, forcément. Le plus souvent ce sont des hommes seuls qui s'inscrivent en tant que couple, pour solliciter ou être sollicités par des femmes. Ils pourront toujours prétendre au moment fatidique que leur compagne s'est désistée, ou qu'elle va arriver ; ou alors ils s'en tiennent à une cam to cam, c'est à dire au cyber-sex par webcam & tchat.
Il y a aussi des faux profils accrocheurs qui incitent certains inscrits gratuits à devenir membres payeurs (pour pouvoir répondre, ou au moins consulter un profil). Il y a enfin les professionnelles des visio-tchats payants qui ratissent sur les sites de rencontres et se débrouillent pour renvoyer ceux qui mordent à l'hameçon sur leur propre adresse de cyber-sex.
Le BDSM
Cet article ne concerne que l’univers vanille, mais un petit paragraphe sur le BDSM quand même…
Avant qu’il ne devienne un peu à la mode avec la montée de prestige du fetish dans la photo et la pub, puis le succès de 50 nuances de Grey et consorts, le BDSM était déjà inclus mine de rien dans ce genre de sites vanille. Hitoire d’O n’avait pas autant réussi à lancer une vogue, et cela restait relativement confidentiel et marginal, voire secret.
Mais depuis, sur les sites libertins j’ai vu passer des profils hallucinants (dans le sens où ils choquent des vanilles) de couples SM ou de sub ou de dom cherchant leur alter-ego, ou juste à jouer sur le plan sexuel, y compris des prestataires à peine déguisés (car interdits évidemment). Je crois que l’atout de Fetlife ou du présent BDSM.fr et d’autres moins connus, c’est une gratuité et une spécificité respectées par des passionnés.
Le danger réside dans le galvaudage et assimilation aux sites libertins, amenés par le public attiré par l’effet mode et ne connaissant rien à cet univers qui débarque comme sur un autre site de rencontres, alors que la plupart des utilisateurs ne sont pas là forcément tous pour consulter une série d’annonces à fins de rencontre, mais aussi et surtout pour partager un esprit, via des débats et des échanges qui débouchent parfois sur des amitiés autres que sexuelles, ce qui sort totalement du créneau des sites vanille suscités, puisque non-spécifiques.
Alors une question se pose à présent : est-ce que ça marche ?
Je rappelle que parle ici des sites de rencontres sexuelles, pas de la recherche d'amour.
Pour une femme, un site de rencontres marchera presque dans tous les cas. Une femme, même sans photo, même avec une photo très très moche, et quel que soit ce qu’elle propose ou recherche, recevra des dizaines de messages par jour, donc du choix, et aurait la possibilité de se faire des mecs à n'en plus pouvoir (après il faut voir lesquels…).
Et pour les hommes ? Je dirais : oui et non, ça dépend. La plupart des hommes sont assez bourrins, mettent fièrement en avatar la photo de leurs organes génitaux en gros plan (sur sites libertins, où c’est permis), sans réaliser à quel point c'est à l'antipode du fonctionnement féminin en général, et rédigent un message qu'ils copient/collent et envoient à toutes les femmes de leur secteur, du genre »Sava ? T tro bonne sa te diré que je viene bourez ta chate et ton trou2bal avec ma grosse queu?" ; d'autres, à l'opposé, jouent la carte du poète en envoyant quelques vers, maladroits ou plagiés quelque part, en vouvoyant et flattant leur correspondante ; d'autres encore, très pragmatiques, exposent leur performances et possibilités, multiplient les propositions et s'empêtrent dans une gamme de choix quelque peu mythomane et technique. Beaucoup envoient systématiquement des requêtes d'amitié à un maximum de femmes, pour se faire déjà un "score" et attirer l'attention. Quelques-uns, plus subtils, tirent leur épingle du jeu en évitant ces écueils avec une fiche plus simple et efficace, ou par le biais de l’humour, avec photo plus mystérieuse ou artistique.
Les femmes en général préfèrent un message personnalisé, qui montre que leur profil a été lu et compris, et que l'homme est à l'aise, sûr de lui mais surtout pas trop, et naturel. Lorsqu'elles consultent le profil d'un homme, certaines privilégient les atouts physiques (le haut du panier étant le fameux cliché du "black bien monté" ), d'autres le niveau intellectuel et le potentiel de sensibilité et de sensualité.
L'humour et l'originalité est toujours un plus évidemment. Par exemple il faut éviter le fameux "sans prise de tête", ou le ringard "prêt à tout pour vous mesdames".
En effet, il est préférable de toujours garder une fraîcheur, une spontanéité et un goût pour la découverte, pour la rencontre dans toute l'acception du terme, au lieu d'enchaîner les coups comme au marché aux bestiaux.
La saturation ou à l'inverse l'addiction s'atteignent très facilement. À mon avis, il faut donc rester très très sélectif et vivre chaque expérience pleinement, sans se priver de conversation, d'humour et de tendresse, le tout entre personnes consentantes et adultes. Chaque rencontre est comme la découverte d’une nouvelle contrée, chacune est particulière et ne saurait se placer comme un nombre dans une liste ou série. C’est une des conditions (avec l’honnêteté par exemple) qui font que le libertinage peut rester une façon cool et libre de vivre sa sexualité, et non un enjeu routinier de performance et de collectionnite.
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Par : BDSM
Le candaulisme désigne la pratique qui consiste pour un homme ou pour une femme de regarder son partenaire habituel avoir une relation charnelle avec une autre personne (ou plusieurs !). Si le candaulisme a parfois les faveurs de ceux qui ont une défience sexuelle et qui préfère assister aux ébats sexuels de leur moitié, et "profiter" ainsi de leur plaisir, le candaulisme est également très apprécié comme pratique sexuelle par ceux qui n'ont aucun problème d'ordre physionomique : c'est en gros la corde de l'esprit de compétition entre le partenaire habituelle et la maîtresse ou l'amant d'un jour qui suscite l'excitation. De nombreux pratiquants du candaulisme témoignent de l'intensité inégalée de l'orgasme qu'ils ressentent dans le cadre de cette pratique.
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Par : maitregold
Il était tard ce soir du 10 mai et sur le parking où nous nous quittâmes, déjà pointé comme une envie de se revoir..
Pas de suite ...non... la dictature des agendas n'en laissaient assurément pas le moindre espoir.
Heureuse et reconnaissante de pouvoir vivre ces instants si particuliers, je vous laissais un texto quelques jours plus tard afin de vous convier à un diner après la mi juin.
En attendant la vie avait repris son quotidien.
Le souvenir sensuel de nos derniers jeux m'accompagnait parfois lorsque je m’évadais en me caressant.Me revenait également en mémoire votre dernière proposition : celle de vous en maitre de cérémonie veillant sur votre soumise alors que je me ferais saillir par différents mâles. Je dois bien vous avouer que celle ci a le don de me faire encore un peu plus fantasmer. Evidemment comme toute chose nouvelle j'appréhende ce moment où vous me proposerez cette expérience. En attendant dans ma fantasmagorie cela tend à rendre la chose plus excitante encore.
En attendant les jours se succédaient presque égaux à eux mêmes.
Et puis un jour de semaine, un mardi, contre toute attente vers 16h un texto :
- « Voilà une proposition qui devrait vous plaire : Rdv ce soir vers 22h30 / 23 h devant la mairie du 17ème, lavement fait, collier et escarpins. J'attends votre réponse... »
puis :
- « Vous allez avoir du mal à vous concentrer pour cette fin de journée »
A la lecture de ce premier sms j'avoue n'avoir pas bien compris et il me fallut plusieurs lectures, être vraiment sûre de bien lire et de comprendre la signification de ce message avant de réaliser et de pouvoir vous répondre.
Comme par un fait exprès un cours ce soir là au conservatoire était annulé, et un ami qui revenait de province avait émis l'hypothèse de nous retrouver autour d’une table d'un restaurant.
Je déclinais son invitation et décidais de vous rejoindre, mon envie de vous fut plus pressante :
- « Bonjour cher maitre Gold, je serais au rendez vous ce soir »
et de rajouter :
- « En effet, votre proposition est tout à fait indécente et toute aussi excitante... à ce soir donc »
La surprise de votre proposition eut un effet immédiat et conformément à ce que vous prédisiez dans votre deuxième texto la fin de l'après midi fut plus laborieuse et cela se concrétisa par une moiteur qui déjà avait pris possession de mon intimité.
Vous étiez alors ravi de me savoir doucement excitée.
La douche prise, le lavement fait, le collier et les escarpins rangés au fond du sac, je programmais le GPS et pris la route. La circulation ne fut pas trop dense ce soir là et j' arrivais en avance au rendez vous.
Alors que je vous attendais un homme d'une trentaine d'années m'interpellais tandis qu'il me croisait :
- « Vous êtes très belle mademoiselle... »
Plutôt flatteur pour une femme de 50 ans et de rajouter sitôt que je l’eus remercié pour son compliment :
- « je peux vous parler ? » là je dû l'éconduire poliment.
Vous arriviez peu de temps après ..et je fus heureuse de vous voir...
Évidemment le lieu je le connaissais... mais c'est toujours un réel plaisir de vous sentir près de moi...j'aime votre proximité.. votre façon d'être à moi pour ces instants là...
Point de bandeau cette fois là. Il m'a été permis de cheminer là où vous portiez mes pas pour mon initiation...je devais donc découvrir certaines salles...
Plus que la surprise de cette soirée ce que j’allais alors vivre aller me marquer.
Tout commença alors que nous étions en train de nous déshabiller. Je n'avais pas encore complètement revêtue ma chère tenue de soumise, c'est-à-dire... nue ! quand la sonnerie de la porte d’entrée du club retentit.
Nous étions jusqu'alors seuls dans ce club et un homme venait de nous y rejoindre.
Des salutations de courtoisie passées, nous nous dirigions vers nos premiers jeux... toujours la croix de St André, comme un rituel, mais cette fois vous m'attachiez les chevilles. J'étais impatiente de sentir une nouvelle fois vos caresses... vos mains reprenant possession de mes tétons déjà tendus par ce plaisir à venir...et ce moment si particulier où votre soumise Alphée renait et vous abandonne son corps ... ma récompense à cette attente et une amorce pour les jouissances à venir...
Vous m'aviez prévenu et vous aviez raison .. sans le bandeau les sensations sont différentes. Je fermais les yeux et tentais de lâcher prise, d'oublier le monde du dehors. Installée sur cette croix les yeux fermés,tandis que vos doigts caressaient mon clitoris, je percevais le grincement des pas de cet autre homme sur le parquet il nous avait rejoint et il se voulait discret. Sans doute vous regardait t'il, il me semblait qu'il allait et venait.
Premiers émois, premiers plaisirs timide...et mes pieds entravés commençaient à fatiguer.
Deuxième mobilier, une sorte de cheval d'arçon sur lequel vous m'installiez. Une jambe de chaque coté de ses flancs et une ceinture qui me plaque sur son dos. Les mains quand à elles ont gardé toute leur liberté et par souci de confort personnel je décidais de les croiser sous ma tête. Les yeux toujours clos, je tentais de faire abstraction de cet autre que je savais là .... je voulais profiter un maximum de cet instant précieux avec vous, lâcher prise et jouir pour vous, pour nous.
La croupe bien offerte et lubrifiée vous me doigtiez largement, la chatte...le cul ! Oh oui je devais assurément mouiller ...Quelques fessées en prémisse histoire de me mettre en appétit puis bientôt les lanières d'un martinet qui rebondissaient sur mes reins.
D’abord doux puis allant crescendo au fur et à mesure que vous changiez d'instrument, les morsures devenaient plus forte presque à la manière d'une lanière d'un fouet. La douleur est l'amie du plaisir je le sais. Il me faut transcender cette douleur apprendre à la transformer en un plaisir et vous vous en assuriez..en ce domaine le chemin est à peine parcouru.
C'est alors, que surprise par une douleur plus vive, je portais mes mains sur mon dos. Vous me demandiez de les retirer... je les ôtais timidement et c'est alors que cet autre homme se joignit à nous. Il s'approcha de moi et d'un geste doux et assuré me retint mes mains tandis que le martinet avait repris le chemin de mes fesses. A cet instant précis j'eus la sensation que nous étions uni par un seul et unique but...le plaisir...le mien mais aussi le votre et le sien. Il les retira, mais un instant plus tard il recommença, toujours avec cette même bienveillance et cette même douceur.
Afin de le faire participer encore un peu plus à nos jeux, et à votre demande j'imagine, ses mains vinrent claquer, sur mes fesses puis les caresser pour de nouveau les claquer. Quelques instant plus tard il s'emparait de votre martinet et se mit à en jouer habilement. A des morsures plus vive se succédaient des lanières caressantes.
Dans l’entre fait vous aviez pris sa place et c'était maintenant vos mains que je serrais. Il semblait avoir lui aussi une certaine expérience en ce domaine.
Un jeu à 4 mains inattendu unique et précieux, un instant vraiment hors du temps, où sans nous connaître nous étions habité par le plaisir et la bienveillance .. merci maitre de m'avoir permis de connaître un tel moment.
Cet homme devait alors nous laissait mais nous devions le retrouver un peu plus tard dans la soirée.
Nous reprenions nos jeux et insatisfait de n'avoir pu obtenir une jouissance aussi forte que vous l'auriez voulu, vous m’installiez sur un lit les jambes bien écartées afin de pouvoir mieux profiter de ma chatte... vos caresses furent alors un vrai régal. J'ai toujours ce regret de ne pouvoir ou de ne pas encore savoir me lâcher si facilement malgré vos doigts ou votre langue si experte. Je m'en excuse cher maitre.
Un escalier plus bas nous nous retrouvions dans ce lounge si harmonieusement décoré... de belles statues... un canapé et des fauteuils dans le plus pur style BDSM. Le souvenir de notre dernière soirée passée en ce lieu me revint en mémoire.. notamment le souvenir de cet exécrable maitre qui tentait un exercice de bondage avec sa soumise pour qui le respect ne semblait pas transpirer.
Je vous suivais alors....vous teniez la laisse de votre soumise Alphée.
Nous retrouvions cet autre homme adossé au comptoir et devant le miroir où vous m’aviez installé il nous rejoignait. Vous vous teniez derrière moi tandis qu'il se tint debout devant moi .
Il se saisit de bâtons et comme pour une tenaille il enserra mes seins.. je voyais la peau de mes seins rougir. Je résistais un petit moment surprise par son initiative mais la douleur se fit plus forte et il déposa ses instruments... première expérience de bondage... peut être... je ne sais pas vraiment.
Cet exercice passé vous m'emmeniez alors vers la pièce du fond, celle où je me souvenais avoir pour la première fois goutée à une femme. Cette soumise si douce de ce maitre si minable .
Je pris place sur ce sling, les jambes et les mains fixées sur ces chaines, je fus une nouvelle fois exposée, ouverte, offerte au regard et plus encore... ma condition de soumise était de nouveau clairement énoncée et j'adore cela.
Une fois de plus il nous avait rejoint et étions donc trois et dans cette pièce étroite..
J'étais maintenant beaucoup moins intimidé par sa présence rassurée indubitablement par ses bonnes intentions. Tandis qu'il jouait avec mes tétons, les tirant, les pinçant, vous vous étiez installé entre mes jambes écartées et aviez commencé à me lécher le clitoris..je ressentais alors une explosion de sensations..
Cet autre homme nous laissa alors définitivement et nous devions finir cette magnifique soirée à deux.
J'affectionne tout particulièrement votre langue et vos doigts experts. Maintenant complètement à vous,vous m'emmeniez vers des sommets de jouissance que je devais alors dépasser à plusieurs reprises.
Cette soirée aussi inattendue fut un réel bonheur et plus encore.
Repue par toutes ces émotions je quittais ce sling et tout doucement nous retrouvions ce lounge où nous étions maintenant complément seul.
Toujours ce moment à deux si important et bien installé sur un canapé confortable nous discutions...une sorte de transition entre ce que nous venions de vivre et un retour à la réalité de la vie du dehors.
La soirée s'achevait et il nous fallait rentrer..
Merci maitre Gold pour cette soirée magnifique, surprenante.
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