L’Appel de la Soumission
La décision était prise. Après des mois d’introspection, de fantasmes refoulés et d’hésitations, je m’étais résolu à franchir une étape qui changerait ma vie. Un simple message sur Signal avait suffi à initier ce qui deviendrait une aventure extraordinaire.
Le maître avec qui je communiquais était direct, clair et sûr de lui. Chaque mot de ses messages me faisait frémir. Il n’y avait aucune place pour l’incertitude. C’était une opportunité unique : un rôle que j’avais toujours rêvé d’endosser, mais que je n’avais jamais osé vivre pleinement.
"Prépare-toi mentalement et physiquement. Notre première rencontre sera décisive."
Ces mots résonnaient en boucle dans ma tête. Je savais que cette première session de préparation allait poser les bases de ce qui m’attendait. Mon excitation était palpable, mêlée à une peur douce et délicieuse qui renforçait mon désir de soumission.
La veille de notre rencontre, j’avais passé des heures à m’assurer que tout était parfait. Mon corps était rasé avec précision, chaque centimètre de peau lisse et prêt pour l’exploration. J’avais suivi à la lettre ses consignes : insérer un petit plug anal pour m’habituer à la sensation et m’assurer qu’il serait facile à remplacer lorsqu’il le souhaiterait.
Ma tenue était sobre, comme il l’avait exigé. Un pantalon noir et un simple t-shirt, sans sous-vêtements, pour faciliter le moment où je devrais me déshabiller. Rien ne devait entraver ma transition vers mon rôle de chienne soumise.
Le matin venu, je m’étais levé tôt, l’estomac noué par l’anticipation. Chaque geste semblait prendre une importance démesurée. J’avais relu ses messages encore et encore, m’imprégnant de ses attentes et de son autorité.
La gare de Lausanne était animée ce jour-là. Le contraste entre le monde ordinaire qui m’entourait et ce que j’étais sur le point de vivre ne faisait qu’intensifier mon excitation. Je l’attendais près du point de rendez-vous convenu, les yeux baissés, cherchant à calmer ma respiration.
Quand il arriva, tout devint réel. Sa présence imposante et son assurance me coupèrent le souffle. Il ne perdit pas de temps avec des formalités inutiles.
- "Monte."
Sa voix était ferme, autoritaire, et je m’exécutai sans poser de question. À peine la portière refermée, je sentis que tout allait changer.
"Déshabille-toi."
L’ordre tomba comme une évidence. Mes mains tremblaient légèrement alors que je retirais mon t-shirt, puis mon pantalon. Chaque mouvement semblait ralentir le temps. Lorsque je fus entièrement nu, je pliai mes vêtements avec soin et les posai sur le siège. Je m’agenouillai, baissant les yeux, attendant sa prochaine directive.
Il ouvrit le coffre, révélant une cage métallique parfaitement dimensionnée. Petite mais suffisamment spacieuse pour me contenir à quatre pattes, elle symbolisait ma transition.
- "Entre."
Je rampai à l’intérieur sans hésiter. La froideur du métal contre ma peau nue fut un choc, mais elle renforça mon abandon. Une fois à l’intérieur, il tendit un plug vibrant. Je l’acceptai en silence, l’insérant lentement tout en sentant son regard perçant sur moi.
Il ajusta ensuite un collier autour de mon cou, serrant juste assez pour que je sente sa présence à chaque mouvement. Puis il sortit une cagoule, noire et lisse, qu’il plaça sur ma tête. Le plug buccal intégré força ma bouche à rester ouverte, un symbole de ma disponibilité constante.
Le claquement de la porte de la cage résonna comme une déclaration : je n’étais plus qu’un objet, entièrement soumis à sa volonté.
Alors qu’il prenait place derrière le volant, il activa le plug vibrant. Les premières secousses furent douces, presque caressantes, mais elles s’intensifièrent rapidement. Mon corps réagit instinctivement, des gémissements étouffés s’échappant de ma bouche maintenue ouverte par le plug.
Le trajet semblait durer une éternité. Chaque vibration, chaque secousse de la route amplifiaient ma soumission. Dans la cage, je me concentrais sur ma respiration, inhalant le poppers placé à portée de ma main.
- "Ne pense pas. Abandonne-toi."
Ses mots, prononcés d’un ton calme mais impératif, me guidaient dans cet état de lâcher-prise total.
Lorsque le véhicule s’arrêta, je sentis une montée d’adrénaline. Il ouvrit la cage et attacha une laisse à mon collier. Je rampai hors du coffre, le gravier froid sous mes genoux intensifiant la sensation de ma vulnérabilité.
Il tira doucement sur la laisse, me guidant vers le chalet qui deviendrait le théâtre de ma transformation. À chaque pas, je sentais la tension de la laisse autour de mon cou, un rappel constant de sa domination.
L’intérieur du chalet était spacieux mais minimaliste. Chaque pièce semblait avoir été pensée pour notre aventure. Il me guida à quatre pattes, m’arrêtant parfois pour ajuster un accessoire ou corriger ma posture.
- "Ici, tu n’es rien d’autre qu’une chienne. Tu vivras à mes pieds, tu mangeras à mes pieds, et tu satisferas tous mes désirs."
Ses mots résonnaient en moi comme une promesse.
Le chalet, immense et isolé, s’imposait comme un monde à part. Un espace déconnecté de tout, conçu pour que ma transformation en chienne soumise puisse s’accomplir dans une bulle de dévotion et de discipline. Dès que la porte se referma derrière nous, une sensation d’abandon total s’installa en moi.
Il tira doucement sur ma laisse, m’incitant à ramper à quatre pattes sur le sol en bois lisse. La sensation était brute, chaque mouvement de mes genoux et de mes paumes sur la surface nue accentuait ma vulnérabilité.
- "Avance lentement. Je veux que tu ressentes chaque pas."
Il me guida méthodiquement à travers chaque pièce, chacune semblant dédiée à un aspect spécifique de mon dressage.
Le salon
La pièce principale était équipée comme un sanctuaire de domination. Une chaise de dressage en cuir noir, équipée de sangles ajustables, trônait au centre. Non loin, une fuck machine était déjà installée, son moteur silencieux prêt à s’activer à tout moment. Sur une table basse, une collection d’accessoires brillait sous la lumière tamisée : plugs de différentes tailles, pinces à tétons, stimulateurs électriques et une cagoule de chien à la finition impeccable.
Nous entrâmes ensuite dans sa chambre. Le lit, large et imposant, était surélevé, et à ses pieds, un matelas plus petit avait été disposé sur le sol.
- "C’est ici que tu dormiras. Attaché, bien sûr. Ton collier sera relié à cette chaîne, et je ne veux pas te voir bouger pendant la nuit."
La pièce suivante était la salle de bain. Une douche à jets multiples occupait un coin, tandis qu’une table roulante chargée de lavements et de lubrifiants était disposée à côté. Une chaise de douche en métal, équipée de sangles pour les poignets et les chevilles, complétait l’installation.
- "Tu seras propre en tout temps. Chaque lavage sera une étape de ton dressage, où tu apprendras que ton corps ne t’appartient plus."
Une fois le tour du chalet terminé, il me ramena au salon. Il décrocha ma laisse mais garda le contrôle avec son regard perçant.
- "Reste ici. Je vais chercher de quoi te nourrir."
Il revint quelques minutes plus tard avec une gamelle en acier, qu’il posa au sol devant moi. À l’intérieur, un mélange de riz et de légumes, soigneusement préparé mais servi comme à un animal. Une seconde gamelle, remplie d’eau, fut placée juste à côté.
- "À genoux. Ne touche pas avec tes mains."
Je m’inclinai lentement, ma bouche ouverte par réflexe, le plug buccal de ma cagoule amplifiant ma soumission. Je plongeai mon visage dans la gamelle, mangeant et buvant en silence, tandis qu’il observait chaque geste, une lueur de satisfaction dans ses yeux.
- "Tu apprends vite. Maintenant, aboie pour me remercier."
Mon premier aboiement fut maladroit, mais il tira doucement sur mon collier pour m’encourager.
- "Encore."
Le deuxième fut plus affirmé. Une main sur ma tête, il caressa mes cheveux en guise de récompense.
Après le repas, il me guida vers la chaise de dressage. Mes mouvements étaient lents, mes genoux déjà légèrement endoloris par le sol dur. Une fois à la chaise, il m’ordonna de m’installer.
- "Allonge-toi. Les mains derrière la tête."
Chaque sangle fut ajustée avec une précision chirurgicale. Mes poignets, mes chevilles, et même ma taille étaient immobilisés. Je ne pouvais plus bouger, soumis entièrement à son contrôle.
Il retira le plug que je portais depuis notre départ et sortit un modèle plus large. Il prit son temps, lubrifiant abondamment le nouvel accessoire avant de l’introduire. La sensation de l’étirement fut intense, mais je savais que la douleur faisait partie du processus.
Une fois le plug en place, il activa la fuck machine. Le premier mouvement fut lent, presque caressant, mais le rythme s’accéléra rapidement, chaque va-et-vient m’entraînant dans un état d’abandon total. Pendant ce temps, il s’installa dans le fauteuil, un verre à la main, observant chaque réaction de mon corps.
- "Respire. Laisse-toi aller."
Les minutes semblaient s’étirer alors que la machine continuait son travail implacable. Mon corps tremblait légèrement, des gémissements incontrôlés s’échappant de ma bouche maintenue ouverte par le plug buccal. Il ne disait rien, mais son regard pesant suffisait à me rappeler que je n’étais plus qu’un objet entre ses mains.
Après la séance, il détacha les sangles et me guida à nouveau à quatre pattes jusqu’à la chambre. Je rampai jusqu’au matelas qui m’était destiné, sentant la fatigue envahir mon corps.
- "Allonge-toi."
Une chaîne fixée au mur fut attachée à mon collier, limitant mes mouvements. Avant de quitter la pièce, il s’assura que mes poignets étaient liés par des menottes souples, suffisamment serrées pour me maintenir en place sans entraver mon sommeil.
- "Bonne nuit. Réfléchis à ce que tu dois devenir."
Lorsqu’il éteignit les lumières, je restai allongé, mon esprit tourbillonnant entre l’excitation et l’épuisement. Chaque muscle de mon corps semblait crier à la fois douleur et satisfaction. Mais malgré tout, une pensée persistante régnait dans mon esprit : je voulais plus.
Le réveil ne se fit pas au son d’un réveil traditionnel. C’est la tension de la chaîne reliée à mon collier qui me tira doucement de mon sommeil. Il se tenait debout à côté de moi, imposant, me dominant déjà par sa simple présence.
- "Debout, chienne."
Sa voix était calme, mais autoritaire. Je tentai de me redresser rapidement, ma chaîne tirant légèrement sur mon collier, me rappelant mon état. Mes poignets toujours menottés compliquaient mes mouvements, mais cela faisait partie du processus. Je rampai jusqu’à lui, la tête baissée, attendant son premier ordre de la journée.
La première tâche de la journée était claire : je devais être prêt à satisfaire ses attentes, propre et immaculé. Il me guida à quatre pattes vers la salle de bain, attachant ma laisse à un anneau fixé près de la douche.
- "À genoux. Tu vas apprendre que même l’hygiène est un acte de soumission."
Il prit un kit de lavement déjà prêt et me fit me pencher en avant. La procédure était lente, méthodique, chaque étape accompagnée de commentaires :
- "Relâche-toi. Apprends à accepter."
Le liquide pénétra lentement, et je devais le retenir jusqu’à ce qu’il m’autorise à le libérer. Il observa chaque réaction de mon corps, ajustant son ton pour alterner entre encouragements et corrections.
Une fois le lavement terminé, il dirigea le jet de la douche sur moi, nettoyant mon corps avec soin. Mais ce soin n’était pas de la tendresse : c’était une réclamation de mon être, chaque centimètre de peau lui appartenant.
Il me sécha rapidement, m’ordonnant ensuite de m’agenouiller devant le miroir de la salle de bain. Avec précision, il appliqua un lubrifiant sur mes mains et me guida pour insérer un plug anal de taille moyenne, en me regardant dans les yeux.
De retour au salon, il posa une gamelle d’eau et une autre contenant un mélange de fruits et de céréales. Je savais déjà ce qui m’attendait. Je rampai vers la gamelle, baissant ma tête pour manger directement avec ma bouche.
- "Prends ton temps. Une chienne ne se précipite pas."
Ses mots étaient à la fois une consigne et un rappel de mon rôle. Chaque bouchée que je prenais était une déclaration silencieuse : je n’étais plus qu’un animal soumis à sa volonté. Une fois le repas terminé, il tira légèrement sur ma laisse pour que je le regarde dans les yeux.
- "Aboie pour me remercier."
Je laissai échapper un aboiement, un peu plus assuré que la veille. Il caressa ma tête en guise de récompense.
Le matin fut consacré à une série d’exercices d’obéissance et de discipline. Il me guida à l’extérieur, dans une petite cour derrière le chalet, toujours à quatre pattes. Le gravier froid sous mes genoux ajoutait une dimension physique à chaque mouvement, renforçant ma soumission.
Les ordres de base
- "Rampe."
- "Arrête-toi."
- "Roule."
Chaque ordre était accompagné d’une récompense ou d’une correction selon la précision de mon exécution. Lorsqu’il me félicitait, il caressait ma tête ou m’offrait une pause pour boire dans une gamelle. Lorsqu’il me corrigeait, il utilisait un fouet léger pour frapper mes cuisses ou un stimulateur électrique pour m’infliger une petite décharge.
La marche en laisse
Il attacha une laisse plus longue à mon collier et me fit marcher autour de la cour, ajustant mon rythme pour qu’il corresponde parfaitement au sien. À chaque déviation, il tirait doucement, me forçant à retrouver ma place.
De retour à l’intérieur, il me conduisit vers la chaise de dressage. Cette fois, il ajouta un bandeau sur mes yeux, me privant de ma vision pour accentuer mes autres sens.
Il activa la fuck machine, mais avec un rythme plus rapide que la veille. Les va-et-vient étaient presque brutaux, m’arrachant des gémissements incontrôlables. Pendant ce temps, il utilisa des pinces pour stimuler mes tétons, alternant entre des pressions légères et des pincements plus intenses.
- "Tu dois apprendre à accepter le plaisir et la douleur comme une seule et même chose."
Il plaça ensuite un stimulateur électrique sur mes cuisses, déclenchant de petites impulsions au rythme de la machine. Chaque sensation semblait s’amplifier, mon corps répondant à ses moindres manipulations.
Après une heure de stimulation intense, il désactiva la machine et détacha mes attaches. Mon corps tremblait légèrement, mais je savais que le repos ne durerait pas.
De retour dans le salon, il posa une nouvelle gamelle, cette fois avec un mélange de légumes cuits. Le rituel était le même : je devais manger lentement, sans utiliser mes mains, sous son regard attentif.
L’après-midi marqua une étape importante : l’introduction de son premier invité. Un homme imposant, vêtu simplement, entra dans le chalet avec une assurance égale à la sienne.
- "Voici ta première leçon d’interaction avec mes partenaires."
Je fus présenté à lui comme une chienne, rampant jusqu’à ses pieds, ma tête baissée en signe de respect. Il posa une main sur ma tête, explorant mon collier et tirant légèrement sur ma laisse pour tester ma docilité.
Les heures suivantes furent consacrées à satisfaire les attentes des deux hommes, alternant entre stimulation orale et anale, sous leur supervision. Chaque geste était accompagné de commentaires et de corrections, m’entraînant à devenir une extension parfaite de leurs désirs.
Le troisième jour au chalet marqua un tournant dans mon expérience. Si les premières journées avaient été consacrées à établir les bases de mon rôle et à renforcer ma soumission, ce nouveau chapitre de mon dressage allait explorer de nouvelles limites. L’arrivée de plusieurs partenaires, les nouvelles techniques de stimulation et l’intensification des séances allaient sceller ma transformation.
Le matin débuta comme les précédents. Attaché au pied du lit, je sentis la chaîne reliée à mon collier se tendre légèrement. Il se tenait au-dessus de moi, imposant et déjà prêt à me guider dans une nouvelle journée de soumission.
- "Debout, chienne."
Je rampai hors de ma couche, la tête baissée, sentant déjà l’excitation et l’appréhension monter en moi. Guidé par sa laisse, je me dirigeai vers la salle de bain pour commencer le rituel d’hygiène.
Il me positionna au-dessus de la chaise de douche en métal, attachant mes poignets et chevilles pour m’immobiliser. Le rituel était devenu presque automatique : un lavement précis et méthodique, suivi d’un rinçage complet. Cette fois, cependant, il introduisit une nouvelle étape.
- "Je vais ajouter une stimulation pendant ta préparation. Tu apprendras à associer chaque étape de ton dressage à une forme de plaisir."
Il plaça un plug vibrant, plus large que les jours précédents, avant de déclencher une série d’impulsions électriques sur mes cuisses et mes tétons. Pendant que l’eau chaude coulait sur mon corps, les vibrations et les impulsions m’entraînaient dans un état de soumission encore plus profond.
De retour dans le salon, je remarquai que deux nouveaux hommes étaient déjà installés. Le premier, celui qui était arrivé la veille, se tenait debout, les bras croisés, observant chaque mouvement avec un sourire satisfait. Le second, plus jeune mais tout aussi confiant, était assis sur le fauteuil, me scrutant attentivement.
- "Ta journée commence sous leurs yeux. Montre-leur que tu sais te comporter comme une vraie chienne."
Il posa une gamelle remplie d’un mélange de protéines et de légumes au sol. Je rampai vers elle, baissant la tête pour manger sans utiliser mes mains. Chaque bouchée était lente et contrôlée, ma posture surveillée attentivement par les trois hommes.
- "Maintenant, aboie pour les remercier."
Je laissai échapper un aboiement, plus naturel qu’avant. Les hommes échangèrent un regard complice, et le plus jeune caressa ma tête, comme pour récompenser mon obéissance.
Après le repas, ils décidèrent d’introduire une nouvelle forme de dressage. Placé sur la chaise de dressage, mes poignets et chevilles furent attachés fermement. Le maître principal se plaça derrière moi, ajustant la fuck machine pour qu’elle atteigne un rythme plus rapide que d’habitude.
- "Cette fois, tu seras stimulé à la fois par la machine et par nos instructions."
Pendant que la machine travaillait implacablement, les deux autres hommes prirent place autour de moi, chacun exigeant mon attention orale. Le rythme était intense, mon corps contraint de répondre simultanément à plusieurs stimulations.
- "Concentre-toi. Une vraie chienne sait satisfaire plusieurs maîtres à la fois."
Leurs voix guidaient mes mouvements, alternant entre encouragements et corrections. Chaque déviation ou ralentissement était immédiatement sanctionné par une impulsion électrique ou une traction sur mon collier.
Après deux heures de stimulation continue, ils me laissèrent me reposer brièvement. Attaché au sol par une laisse courte, je restai allongé sur le côté, écoutant leurs discussions. Ils parlaient de moi comme d’un objet, évaluant mes performances et planifiant les prochaines étapes de mon dressage.
- "Il apprend vite. Mais il faut encore renforcer sa capacité à endurer des séances plus longues."
- "Nous pourrions introduire une stimulation simultanée par trois zones demain. Qu’en penses-tu ?"
Leur conversation, bien que détachée, renforçait mon rôle. Je n’étais plus qu’un sujet d’expérimentation, un instrument de leur plaisir.
La soirée marqua un moment clé : la première interaction collective. Trois autres partenaires arrivèrent en début de soirée, portant le nombre total à six hommes présents. Chacun semblait expérimenté, confiant dans son rôle, et prêt à participer à ma transformation.
Ils décidèrent de commencer par une démonstration publique de ma soumission. Placé au centre du salon, je fus attaché à un harnais suspendu, mes bras et jambes écartés, exposant mon corps à tous.
- "Tu vas être utilisé par chacun d’eux, un par un. Montre-leur que tu es à la hauteur."
Chacun prit son tour, utilisant mon corps selon ses envies, tandis que les autres observaient ou donnaient des instructions. Les moments où je n’étais pas directement stimulé étaient remplis par des massages ou des caresses pour m’assurer que mon excitation restait constante.
La soirée dura plusieurs heures, chaque homme trouvant une manière unique d’interagir avec moi. Lorsque tout fut terminé, mon corps était épuisé, mais mon esprit flottait dans un état de satisfaction absolue.
Avant de m’autoriser à dormir, ils décidèrent d’évaluer mes progrès. Attaché au pied du lit principal, mon collier relié à une chaîne, je devais écouter leurs commentaires sans intervenir.
- "Il a fait des progrès impressionnants aujourd’hui."
- "Demain, nous pousserons ses limites encore plus loin."
Lorsque les lumières furent éteintes, je restai éveillé un moment, repensant à chaque instant de la journée. Mon corps était endolori, mais mon esprit ne désirait qu’une chose : leur plaire davantage.
Si jusqu’à présent, chaque moment avait renforcé ma soumission, ce jour-là allait pousser mes limites à un niveau que je n’avais jamais imaginé. Mon rôle n’était plus seulement d’obéir ou de satisfaire ; il s’agissait désormais de devenir l’incarnation parfaite de leurs désirs, un être dépourvu de volonté personnelle, entièrement dévoué à leur plaisir.
Comme chaque matin, je fus tiré du sommeil par une traction sur ma chaîne. Cette fois, cependant, il ne me guida pas immédiatement vers la salle de bain. À la place, il m’ordonna de m’agenouiller au centre de la chambre, les mains derrière la tête.
- "Nous allons évaluer ton corps ce matin. Tu es notre propriété, et il est important de s’assurer que chaque partie de toi est en parfait état."
Les autres hommes entrèrent progressivement dans la pièce, formant un cercle autour de moi. L’un d’eux, portant des gants, commença à inspecter ma peau, vérifiant chaque muscle, chaque courbe, chaque imperfection.
Un autre sortit un fouet fin et l’utilisa pour tester ma capacité à rester immobile malgré de légères douleurs. Les coups étaient légers, mais la précision et la constance renforçaient mon état de vulnérabilité.
- "Bon. Tu es prêt pour la prochaine étape."
-
Pour la première fois, mon rituel d’hygiène se déroula sous les yeux de tous les hommes présents. Attaché à la chaise de douche, je fus lavé et préparé méthodiquement. Le lavement était plus intense, le plug utilisé pour le retenir était d’une taille imposante, et les hommes prirent tour à tour le relais pour m’inspecter.
- "Relâche-toi. Apprends à apprécier chaque sensation."
-
Ils introduisirent un lubrifiant chauffant, augmentant la sensibilité de mon corps. Chaque jet d’eau, chaque frottement devenait une stimulation intense, me poussant encore plus loin dans cet état d’abandon total.
Après ma préparation, je fus conduit à quatre pattes vers le salon, où une nouvelle gamelle m’attendait. Cette fois, la nourriture était accompagnée d’un supplément : un liquide sucré mélangé à des stimulants légers pour maintenir mon énergie et mon excitation tout au long de la journée.
Pendant que je mangeais, ils discutaient de moi comme si je n’étais pas là, planifiant les activités de la journée.
- "Nous allons le tester sur une séance prolongée aujourd’hui. Il doit apprendre à maintenir son endurance même dans des scénarios extrêmes."
- "Ajoutons des variations de rythme pour voir comment il réagit."
La matinée fut entièrement consacrée à une séance de domination prolongée. Attaché à la chaise de dressage, les jambes écartées et les bras immobilisés, je fus soumis à une combinaison de stimulations simultanées.
-
La fuck machine : Elle était réglée sur un rythme aléatoire, alternant entre des mouvements lents et des poussées rapides. Chaque changement de cadence me forçait à m’adapter.
-
Les pinces à tétons vibrantes : Elles émettaient de légères impulsions électriques, intensifiant chaque sensation.
-
Un casque audio : Il diffusait des instructions répétitives et des affirmations sur mon rôle, renforçant ma soumission mentale.
- "Tu es à nous. Ton corps est notre propriété. Ton plaisir est celui que nous décidons."
-
Les hommes se relayaient pour observer, ajuster les réglages ou tester de nouvelles techniques. Chaque intervention ajoutait une couche de complexité à mon expérience, me forçant à repousser mes limites physiques et mentales.
Après deux heures de stimulation, ils décidèrent de me laisser récupérer. Mais même le repos était une forme de dressage. Attaché dans un harnais suspendu, je restais immobile pendant qu’ils discutaient de ma performance.
- "Il a une bonne endurance, mais il faut encore travailler sur sa capacité à répondre rapidement à des stimulations multiples."
- "Ajoutons des accessoires interactifs pour le reste de la journée."
Le reste de la journée fut consacré à l’utilisation d’accessoires connectés. Ils introduisirent un plug vibrant et des stimulateurs à distance, chacun contrôlé par leur téléphone.
- "Nous allons tester ta capacité à rester concentré même lorsque tu es stimulé de manière imprévisible."
Je fus placé au centre du salon, sans attaches cette fois, mais avec l’interdiction de bouger. À chaque vibration du plug ou impulsion sur mes tétons, je devais maintenir ma posture. Toute déviation entraînait une correction immédiate : un coup de fouet ou une traction sur mon collier.
Le point culminant de la journée arriva en soirée. Tous les hommes se réunirent pour une session collective, chacun apportant sa propre contribution à mon dressage.
-
Les rôles multiples
- Un homme se plaça derrière moi, utilisant un harnais pour me maintenir dans une position parfaite.
- Un autre me guida oralement, m’ordonnant de répondre à des stimulations spécifiques.
- Les autres se relayaient pour utiliser mon corps, explorant chaque limite avec précision.
-
Les accessoires interactifs
- Ils connectèrent mes accessoires à une application collective, permettant à plusieurs d’entre eux de contrôler simultanément les vibrations et impulsions électriques.
-
Le jeu de rôle
- Pour renforcer ma soumission, ils introduisirent un scénario où je devais "choisir" entre plusieurs ordres, chacun menant à une stimulation différente. Cette illusion de choix accentuait mon abandon, car chaque décision me ramenait à mon rôle.
Épuisé mais satisfait, je fus ramené dans la chambre. Attaché au pied du lit principal, je restais immobile, écoutant leurs commentaires sur ma performance.
- "Il s’améliore. Sa soumission devient instinctive."
- "Demain, nous allons le tester dans un environnement extérieur pour voir comment il se comporte hors de ce cadre."
i le chalet avait jusqu’ici été un sanctuaire de soumission, mon maître avait décidé qu’il était temps de tester ma capacité à maintenir mon rôle en dehors de cet espace sécurisé. Cette journée allait m’immerger dans un environnement extérieur, où de nouvelles dynamiques et des défis inattendus mettraient à l’épreuve ma soumission totale.
Comme chaque matin, je fus tiré de mon sommeil par une légère tension sur ma chaîne. Mais cette fois, son ton était différent, plus chargé d’excitation.
- "Aujourd’hui, nous sortons. Tu devras prouver que ton rôle est devenu naturel, peu importe où tu te trouves."
Attaché au pied de son lit, je me redressai lentement, le collier serré autour de mon cou me rappelant ma condition. Il me guida à la salle de bain, où le rituel d’hygiène prit une dimension encore plus méticuleuse.
Une préparation approfondie :
- Il utilisa un lavement pour garantir une propreté parfaite, le plug vibrant inséré ensuite étant cette fois plus grand et réglé sur une stimulation constante.
- Mes tétons furent recouverts de pinces discrètes mais sensibles, dissimulées sous une chemise légère qu’il m’ordonna de porter.
- Mon collier fut remplacé par un modèle plus discret, mais toujours suffisamment serré pour rappeler ma soumission.
Avant de partir, il me fit enfiler un pantalon moulant et une chemise simple, sans sous-vêtements. La sensation de mon plug, vibrant doucement à chaque mouvement, était un rappel constant de mon rôle.
Nous montâmes dans sa voiture, comme au premier jour. Cette fois, cependant, je ne fus pas placé dans une cage. Je pris place sur le siège passager, mais avec des consignes strictes :
- "Tu ne parles pas. Tu ne regardes pas autour de toi. Tu te concentres uniquement sur ta condition."
Pendant le trajet, il activa le plug vibrant, jouant avec les réglages pour tester ma réaction. Je m’efforçais de rester immobile, mes mains posées sur mes cuisses, les yeux baissés. Chaque vibration, chaque impulsion électrique envoyée à mes tétons à travers les pinces, était un rappel de son contrôle absolu.
Le véhicule s’arrêta dans une clairière isolée, bordée par une forêt dense. C’était un lieu calme, mais pas entièrement privé. Quelques promeneurs passaient au loin, et le simple fait de savoir que je pouvais être vu ajoutait une tension excitante à la situation.
- "Descends."
Je sortis de la voiture, ressentant immédiatement la fraîcheur de l’air contre ma peau. Il attacha une laisse discrète à mon collier, m’ordonnant de le suivre à pied. Chaque pas était une épreuve, le plug vibrant s’intensifiant légèrement avec mes mouvements, et la tension de la laisse me rappelant que je n’avais aucun contrôle sur mes actions.
Il choisit une zone légèrement boisée pour commencer la séance. Là, il donna ses premiers ordres :
- "À genoux. Rampe jusqu’à cet arbre."
- "Arrête-toi. Ouvre la bouche."
Chaque instruction devait être exécutée immédiatement et parfaitement. Le moindre retard ou hésitation entraînait une correction : une traction ferme sur la laisse ou une augmentation soudaine des vibrations du plug.
Un défi supplémentaire :
Pour compliquer l’exercice, il introduisit une série d’accessoires portatifs :
- Une télécommande pour contrôler les vibrations du plug à distance.
- Un anneau placé sur mon pénis, émettant de légers chocs électriques à chaque erreur.
Ces outils transformèrent la séance en un jeu de contrôle total, où chaque mouvement de mon corps était dicté par ses moindres caprices.
Après une heure de dressage dans la clairière, il me conduisit vers un sentier plus fréquenté. Cette partie de la journée fut marquée par des interactions subtiles mais intenses avec des inconnus.
Exemples :
- Il me fit m’agenouiller discrètement lorsque quelqu’un passait, simulant une pause innocente mais clairement intentionnelle.
- À un moment donné, il engagea une conversation avec un promeneur, tout en activant les vibrations de mon plug pour tester ma capacité à rester impassible.
Ces moments étaient à la fois humiliants et excitants, renforçant ma dévotion et ma capacité à rester dans mon rôle, peu importe les circonstances.
De retour au chalet, il me guida directement au salon, où il détacha ma laisse et m’ordonna de me mettre à genoux.
- "Aujourd’hui, tu as prouvé que tu peux maintenir ton rôle en dehors de cet espace. Mais il y a encore des aspects à améliorer."
Il commença une évaluation détaillée de ma performance, pointant mes erreurs et félicitant mes progrès. Cette session de débriefing, bien que verbale, était un exercice mental intense, me forçant à analyser chaque instant de la journée sous son prisme.
Pour conclure la journée, il introduisit une nouvelle séance de domination physique. Attaché à la chaise de dressage, mes poignets et chevilles immobilisés, je fus soumis à une combinaison de :
- Stimulation mécanique : La fuck machine fut réglée sur un rythme aléatoire, poussant mon corps à ses limites.
- Interventions multiples : Deux de ses partenaires présents utilisèrent simultanément ma bouche et mes mains, exigeant une synchronisation parfaite entre les stimulations.
Cette séance dura plusieurs heures, jusqu’à ce que mon corps et mon esprit atteignent un état de soumission absolue.
Avant de me laisser dormir, il prononça ces mots :
- "Tu as franchi une étape aujourd’hui. Mais il reste encore des défis à surmonter."
Attaché au pied de son lit, mon esprit flottait entre l’épuisement et la satisfaction. Chaque muscle de mon corps était endolori, mais mon esprit était clair : je voulais aller encore plus loin.
Avant de me laisser dormir, il prononça ces mots :
- "Tu as franchi une étape aujourd’hui. Mais il reste encore des défis à surmonter."
Attaché au pied de son lit, mon esprit flottait entre l’épuisement et la satisfaction. Chaque muscle de mon corps était endolori, mais mon esprit était clair : je voulais aller encore plus loin.
Le matin se leva sur un chalet baigné de silence. Contrairement aux jours précédents, il n’y eut ni traction sur ma chaîne ni voix pour m’ordonner de me lever. Je restai immobile, éveillé, à attendre. L’attente elle-même était une forme de discipline.
Au bout d’un moment, il entra, accompagné de deux de ses partenaires. Leur présence imposante emplissait la pièce d’une énergie différente.
- "Aujourd’hui est ton dernier jour ici. Tu as montré que tu pouvais obéir, mais maintenant, tu dois prouver que tu es devenu ce que nous attendons de toi."
La journée débuta par une préparation symbolique. Guidé à quatre pattes jusqu’à la salle de bain, je fus placé dans la douche et attaché au siège métallique. Cette fois, le lavement ne se limita pas à une simple procédure d’hygiène : il fut accompagné d’un jeu sensoriel.
-
Le contrôle par les accessoires
- Un plug vibrant fut inséré, connecté à une télécommande que chacun pouvait manipuler.
- Des électrodes placées sur mes cuisses émettaient de légers chocs, alternant entre plaisir et douleur.
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La purification mentale
Pendant que mon corps était préparé, il me fit répéter des phrases :- "Je ne suis rien sans vous."
- "Mon corps est votre propriété."
Chaque mot prononcé renforçait ma soumission, me plongeant dans un état de transe où seule leur satisfaction comptait.
Après la purification, je fus conduit au salon, où une gamelle spéciale avait été préparée. Contrairement aux repas simples des jours précédents, celui-ci était élaboré et symbolique. Chaque bouchée représentait un pas de plus vers ma transformation complète.
- "Mange lentement. Aujourd’hui, tu ne fais plus que survivre : tu existes pour nous."
À la fin du repas, je dus remercier chaque homme individuellement, me prosternant devant eux, aboyant doucement en signe de gratitude.
Le point culminant de la journée fut une séance collective, où tous les hommes présents utilisèrent mon corps selon leurs envies.
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L’installation
Attaché à une structure en forme de croix, mes bras et jambes écartés, je fus exposé et vulnérable. Une cagoule recouvrait ma tête, ne laissant que ma bouche et mes orifices accessibles. -
Les rôles multiples
- Certains se relayaient pour utiliser la fuck machine, contrôlant son rythme et sa profondeur.
- D’autres me guidaient oralement, m’ordonnant de répondre à leurs désirs.
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Un jeu d’endurance
Ils introduisirent un jeu où chaque erreur ou hésitation de ma part entraînait une correction immédiate : une légère claque, une impulsion électrique ou une intensification des vibrations.
La séance dura des heures. Chaque seconde renforçait mon rôle, me plongeant plus profondément dans un état où ma seule existence dépendait de leur plaisir.
Lorsque tout fut terminé, je fus détaché et conduit au centre de la pièce. À genoux, le corps fatigué mais l’esprit clair, j’attendis leur verdict.
- "Tu as montré que tu pouvais obéir. Mais as-tu vraiment compris ce que cela signifie ?"
Ils m’ordonnèrent de répéter, encore et encore, des phrases affirmant ma dévotion. Chaque répétition était une preuve supplémentaire de ma transformation.
Le soir venu, il me guida une dernière fois à quatre pattes jusqu’à la voiture. Cette fois, il n’y avait plus de cage. Je montai à bord, toujours nu, mais cette fois avec un sentiment différent : un sentiment d’appartenance totale.
Pendant le trajet de retour, il désactiva les accessoires. Le silence dans la voiture était lourd, mais pas inconfortable. J’avais accompli ce que j’étais venu chercher.
Arrivé à Lausanne, il s’arrêta dans un lieu discret. Avant de me permettre de sortir, il me regarda droit dans les yeux, une main ferme sur mon collier.
- "Tu es devenu ce que tu voulais être. Mais souviens-toi, cela ne s’arrête jamais. Ce rôle est désormais le tien, peu importe où tu vas."
Je descendis de la voiture, reprenant mes vêtements avec une étrange sérénité. Ce que j’avais vécu au chalet resterait gravé en moi, non pas comme un souvenir, mais comme une identité.