par le 10/12/24
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Jézabel commençait à sentir les effets du vaccins se dissiper.

Elle essayait de se rappeler sa semaine de mise à disposition pour en retrouver les effets.

Après avoir été détachée, elle avait été emmenée dans une salle inconnue et avait retrouvé le Directeur qui l'inspecta sous toutes les coutures. Il l'avait trouvée à la fois belle et faisant peine à voir : couverte de sperme sur tout son corps imberbe, les trous béants d'une semaine de baise, ses épais anneaux pendant de ses tétons et ses lèvres vaginales, le crâne toujours lisse de cette épilation complète du corps.

Mais rien à faire. 

L'excitation n'était plus là.

Tous ces efforts d'imagination ne suffisait pas.

Puis soudain, le Directeur entra da sa chambre.

  • Bonjour Jézabel, dit le Directeur, je peux entrer ?
  • Bonjour Monsieur, bien sûr, lui répond Jézabel, surprise d'autant de politesse.
  • Sais-tu pourquoi je suis ici ?
  • Non Monsieur
  • Je vais démontrer le succès naissant de cette expérience. Et pour cela, je vais t'exhiber devant tout le Gouvernement.
  • Ils seront ici, Monsieur ?
  • Non, nous allons en salle de conférence. Ils seront présents uniquement par hologrammes. Mais ce n'est pas une raison pour être moins obéissante. Compris, esclave ?
  • Oui Monsieur
  • Que devrais-je faire ?
  • Tu le sauras le moment venu.

Une fois arrivé en salle de conférence, le Directeur lui demanda : 

  • L'excitation due au vaccin retombe-t-elle ?
  • Oui Monsieur, je me sens comme avant désormais, c'est presque frustrant.
  • Ah oui, et quel effet cela te fait ?
  • Je me sens chienne Monsieur. J'ai été prise par tous les trois sans discontinuer pendant une semaine, et non seulement cela m'a plu, mais cela me manque, dit Jézabel rouge de honte. Je suis visible en permanence, nue, par toute la prison, et pareil, l'excitation initiale me manque.
  • Je suis ravi de l'entendre. Mais n'espère pas que je te prenne pour te soulager. Je n'ai aucune envie de baiser une souillon pareille. Et tu es tellement dilatée depuis ta semaine de mise à disposition que tu es inutilisable.

Jézabel s'aperçu alors que le Gouvernement avait entendu la fin de leur discussion. Elle n'avait jamais été aussi honteuse de toute sa vie ; elle venait de reconnaitre sa déchéance devant le Gouvernement de sa Patrie ...

"Bienvenue, dit le Directeur. Je suppose que vous avez tous pu profiter de cette semaine au cours de laquelle la déchéance de Jézabel à dépasser toutes nos espérances. Et comme vous venez de l'entendre, cette bouffeuse de bite n'attend que de recommencer. Mais pour la suite de l'expérience, je vous propose un autre spectacle. Jézabel, allonge toi sur ce lit et branle toi.

  • Combien de temps Monsieur ?
  • Autant qu'il nous plaira. Nous discuterons des affaires courantes et toi je veux que tu essayes de jouir pour nous. tu peux utiliser tout le matériel que tu veux. Compris ?
  • Bien Monsieur"

Jézabel s'allongea sur le lit et commença à se doigter. Elle sentit pour la première fois le contact de ces lourds anneaux vaginaux avec ses doigts. Elle augmenta la cadence, continua, tenta d'ignorer le public qui l'observait.

Mais rien.

Elle ne sentais rien.

Non seulement elle se branlait devant une cinquantaine de vieux mâles peu ragoutants, mais en plus elle n'avait aucune sensation.

  • Continue, dis le Directeur.

Elle testa le vibromasseur, les godes, les plugs, rien ne fonctionnait. C'est comme si elle caressait un autre corps que le sien.

Elle vit que certains hologrammes se branlait et prenait quant à eux beaucoup de plaisir face à sa frustration. Elle tenta d'utiliser cela pour ressentir du plaisir, mais toujours rien.

  • Messieurs, dit le Directeur, voici l'avenir. Le vaccin que nous avons inoculé à cette salope a des effets secondaires. Pendant une semaine, une excitation extrême, je me disais que nous pourrions tenter d'isoler cet effet pour que nos futures soumises publiques et privées bénéficie de cette excitation d'exception en permanence. Puis, pendant environ trois semaines, une absence totale de plaisir et de sensation. J'ai pensé que nous pourrions tenter d'isoler cette effet pour punir les délinquants et criminels, ou tout rebelle à notre Juste Cause.

Le Gouvernement sembla emballé. Jézabel quant à elle, n'avait pas reçu autorisation de s'arrêter. Le Gouvernement la fit continuer, il voulait voir jusqu'où cela allait. Alors ils lui bandèrent yeux et mirent à vibromasseur sur son sexe. Pendant de nombreuses et longues minutes. Quan Jézabel en fut libérer, elle ne pu que regretter l'efficacité de ces effets secondaires. Elle n'avait rien senti, mais avait le sexe irrité à force de frottement.

  • Jézabel, dit le Directeur, qu'as-tu ressenti lors de cette masturbation d'exhibition ?
  • Rien Monsieur, le vaccin a fait son effet secondaire.
  • Certes, mais au fond de toi, que ressentais-tu ?
  • De la honte, Monsieur, de me montrer comme cela devant tout le monde. Et bizarrement, aussi une certaine satisfaction. Celle de ne pas avoir à se cacher. Celle de voir les plus hauts dignitaires de l'Etat se branler sur ma vision. Et de la frustration. De ne rien sentir. De ne pas goûter à ses queues et à ces spermes.

L'exhibition pris fin. Le Directeur emmena Jézabel à la douche et elle fut ramenée à sa chambre. 

Jézabel appréhendait la suite. Elle venait d'arriver, et déjà elle ne se reconnaissait plus. Elle était devenue addicte au sexe et à l'orgasme, se remémorant avec délectation sa semaine passée à servir de pute pour la prison.

Elle se demandait jusqu'où ils l'emmènerait, jusqu'où sa déchéance irait.

Elle venait de faire une semaine seulement sur vingt ans de détention à venir.

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