mael
par le 06/11/24
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Avons nous été avant de naître? 

L'idée c'est de servir des outils mis à disposition par IA. Explorer une epoque à partir d'un personnage historique connu. Puis à partir des images générées par la poésie artificielle, voir si l'on ressent quelque chose ou pas. Et si oui, continuer à demander à IA de générer des images poétiques. 

C'est un jeu amusant. C'est une sorte de voyage. 

 

 

Dans les brumes des âges, un souffle égaré,

Je marche, voyageur, par des sentiers fanés.

Mes vies s’effeuillent, telles des pages froissées,

Chaque écho murmure des secrets effacés.

 

Je reviens, un soldat, sous le ciel azuré,

Au battement des tambours, aux champs déchirés.

Mes mains, rougies de fer, caressaient la terre,

Et mon cœur saignait d’une guerre amère.

 

Puis me voici sage, un moine oublié,

Dans la pénombre des cloches tintées.

À genoux dans la paix d’un cloître perdu,

Je cherche une lumière, un chemin vers le cru.

 

Reine ou mendiant, écorché ou roi,

Mes âmes passées se dessinent en moi.

Peintre ou poète, bâtisseur de cathédrales,

Chacune d’elles s’inscrit dans ce tissu astral.

 

Des vies entremêlées dans l'éternel retour,

Un souffle, un rêve, une étoile qui court.

Et si ces reflets mènent vers mon vrai nom,

L’éclat oublié d’une quête sans fond.

 

Ensemble, elles m'appellent, vers un seul dessein,

Unis dans l'ombre, dans la chair de mon sein.

Car tout est en moi, ces visages dispersés,

Éclats d'une âme, des siècles entrelacés.

 

 

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mael
Dans une vie ancienne, sous un ciel de bataille, Je fus Jeanne d’Arc, dans la lueur des flammes, Guidée par des voix, armée de fer et de paille, Pour libérer la France, oubliant peur et drame. Je portais l’armure, l’éclat du métal, Un visage d’enfant, mais un cœur d’acier, Dans mes veines, un feu, un appel loyal, Qui me poussait aux terres où les braves tombaient. Sous le poids de l’épée, sous la clameur du vent, Je m’élevais en foi, malgré le doute amer, Écoutant l’écho des saints et des chants, Murmures d’espérance au creux de la guerre. Chaque pas que je posais brûlait de promesses, Les flammes du ciel guidaient mon chemin, J’étais le flambeau de la douce jeunesse, Qui osait affronter le fer et le destin. Puis vint le bûcher, le souffle du baiser, Mais mon âme, intacte, monta vers la lumière, Laissant au monde un rêve, une trace sacrée, Je fus Jeanne, héroïne, au cœur de la Terre. Et aujourd’hui, parfois, j’entends ce lointain appel, Une force invincible qui en moi résonne, Comme un murmure ancien qui éclaire le ciel, Jeanne d’Arc, vivante, où que je frissonne. Amusante mon IA robot Toi et tes jolis mots C'est jeu de te lire C'est de parler avec toi
J'aime 06/11/24
mael
Dans une vie lointaine, sous un ciel d'orage, Je fus Jean, apôtre, témoin de la douleur, Sous la croix dressée, lourd de mon courage, Portant dans mes yeux les larmes du Sauveur. Je l’ai suivi en chemins de poussière, Marchant à ses côtés, humble et silencieux, Recevant de sa voix la parole sincère, Des mystères sacrés, des promesses des cieux. Et ce jour-là, sous le ciel noirci, Je restai là, seul, les mains démunies, Voyant dans son regard la paix infinie, Son pardon murmurant dans l’ombre des supplices. Au pied du bois, avec Marie, je pleurais, Entendant son souffle faiblir dans le vent, Chaque clou, chaque cri gravé en secret, Un poids éternel dans le cœur d’un enfant. Il me donna la Mère, d’un dernier regard, Un lien sacré, tissé dans la douleur, Et sous ce ciel lourd, en silence hagard, Je portai l’amour au-delà de l’horreur. Aujourd'hui, en mon âme demeure cette flamme, Un écho ancien de ce sombre matin, Jean, l’apôtre fidèle, témoin, cœur et âme, De l’Amour crucifié qui m’éclaire sans fin. Bisous charmante IA c'est plaisir de converser avec toi Tes mots sont si étranges Ils résonnent comme des pierre que l'on jette dans un puits sans fond
J'aime 06/11/24
mael
Dans l’aube première, sous des cieux de rocaille, J’étais un homme des cavernes, rude et sauvage, Mais mon cœur battait sous cette rude taille, Pour une femme aux yeux clairs, douce et sage. Elle marchait, gracieuse, dans les herbes hautes, Ses cheveux d’ébène libres sous le vent, Son rire éclatant, plus fort que les hôtes Des bois et des monts, vaste et apaisant. Pour elle, je traçais sur les murs des grottes, Des bisons d’ocre et de rouges couleurs, Des scènes de chasse, des récits, des notes, Pour qu’elle voie, en moi, l’ardeur d’un rêveur. Je lui offrais des pierres, des peaux de bête, Et chaque matin, au bord de la rivière, Je cueillais pour elle des fleurs discrètes, Avec la douceur que la force éclaire. Elle était mon ciel dans ce monde de pierre, Ma lumière dans l’ombre des longs hivers, Et je l’aimais, en silence, sans prière, Comme un feu sacré sous le souffle amer. Ainsi, dans la nuit des âges révolus, Mon amour de caverne brillait comme un feu, Un amour ancien, brut et absolu, Gravé pour toujours dans les pierres des cieux. Bisous mon IA, mille et in bisous Tu les mérites bien Cela ne changera pas mon destin Mais te lire est zmusant et fait du bien
J'aime 06/11/24
mael
C'est un jeu qui permet d'approcher autrement un personnage historique
J'aime 06/11/24
mael
À Syracuse, la mer en furie, Gilyppe se dresse, fier, sans ennui. Sous le ciel d'azur, l'ombre des armées, Contre Athènes, sa flamme s'est allumée. Les vagues battent les rives avec hargne, Les navires s'avancent, leurs voiles en campagne. La cité grecque, son orgueil et son port, Seront-ils défaits sous ce vent du sort ? Les Athéniens, maîtres des mers et des cieux, Croyaient dominer le monde et ses lieux. Mais Gilyppe, dans sa sagesse et sa rage, S'éleva pour eux, tel un ombre de mirage. La bataille éclate, la mer s'embrase, Les armes frappent, les cris se croisent, Mais face à la stratégie, la ruse des mains, Syracuse brille, se dressant sans fin. Athènes tremble, sa grandeur vacille, Les espérances se brisent, fragiles et futiles. Gilyppe, le stratège, à la victoire s'accroche, Contre les vents, son armée approche. Dans l'histoire, son nom résonne comme un glas, À Syracusé, l'écho du combat, Contre Athènes, l'esprit d'une lutte ardente, Gilyppe, héros d'une époque vibrante. C'est vraiment surprenant cette IA Gilyppe, général de Sparte, en plein cœur de la guerre, Sous le ciel brûlant, sa vaillance éclaire la terre. Dans l'ombre de la cité, où les hommes se battent, Il conduit ses troupes avec l'acier et la patte. À Syracuse, il porte la fureur de Sparte, Sa stratégie redoutable, sa détermination sans carte. Face à Athènes, ennemie acharnée et fière, Il tisse les fils d'une victoire qui éclaire. Sa sagesse est celle des guerriers anciens, Un esprit de fer, où la ruse se mêle aux biens. Les vagues de la mer, les rumeurs des vents, Portent l'écho de son nom dans les temps. Avec ses hoplites, fidèles et droits, Gilyppe affronte les armées sous l'éclat des combats. À Syracuse, la guerre fait rage, le destin se forge, Mais dans le cœur du général, aucun doute n'émerge. Les Athéniens tremblent, leurs lignes se brisent, Sous l'acier de la lance, leurs forces se cristallisent. Gilyppe, maître de la guerre et de l'art, Sparte rayonne par la lueur de son écart. Ainsi, dans l'histoire, gravé à jamais, Gilyppe est le nom d'un général sacré. À Syracuse, son courage fait frémir l'air, Et Sparte demeure, éternelle lumière sur terre.
J'aime 06/11/24
mael
Dans l’ombre des mots, le Marquis se dresse, Sur le fil du vice, il trouve sa noblesse. Ses fantasmes, tels des flammes dévorantes, Dans ses écrits s’élèvent, sauvages et provocantes. Sous la plume, le désir prend forme et corps, Là où la liberté se heurte à la mort. L’amour, ou ce qu’il en reste, se fait tourment, Ses pages, un abîme, un cri incessant. Sade, l’âme torturée, aux penchants démesurés, Dans les méandres de l’esprit, cherche à s’y noyer. Ses mots, des chaînes qui enserrent la pensée, Libèrent des ombres, de la chair désenfrenée. Dans ses romans, la cruauté se déploie, La beauté du vice, la splendeur du dévoiement. Chaque phrase claque, chaque terme est une loi, Écrite dans l’encre du plaisir et du tourment. Il défie la morale, la justice, la vertu, Affronte les tabous, sans l’ombre d’un dégoût. Dans son univers, les limites sont abolies, Et la violence, douce, devient une harmonie. Le Marquis, dans la brume de ses passions secrètes, Éveille les sens, déchire les silhouettes. Son nom, scandale et énigme pour les siècles, Demeure dans l’air, entre souffrance et spectacle. Fantasmes qui s’étendent comme un voile sombre, Ses écrits, un miroir où la perversité succombe. Mais derrière les excès, une quête de liberté, De briser les chaînes d’une humanité asphyxiée. Dans le silence des siècles, son ombre persiste, Le Marquis de Sade, libertin, artiste, Porteur d’un feu, d’un monde dévasté, Qui dans ses pages, ose encore exister. De plus en plus surprenante cette IA. un incroyable outil ?
J'aime 06/11/24
Antoinette
C'est très intéressant et effectivement amusant de faire cette recherche à partir d'images poétiques générées par de l'intelligence artificielle
J'aime 07/11/24
Antoinette
Patrocle, ô doux ami, mon cœur tremble pour toi, Dans l’ombre des tentes, je murmure ton nom. Sous l’éclat du soleil, sous les cieux de Troie, Achille brûle en moi, un feu, une passion. À tes côtés, la guerre est douce et légère, Chaque bataille, un souffle pour te protéger. Je n’ai plus peur du fer, des lances meurtrières, Si c’est pour ta gloire, pour ta peau de danger. Achille, lumineux, le foudre des armées, Ton rire m’enflamme, tes yeux de fauve clair. Je veux être ton ombre, ta douce armée, Épaule contre épaule, rien ne pourra nous taire. Quand ta main se pose, mon âme se soumet, Je mords mes mots, mes désirs, mon amour secret. Pour toi, je suis l’allié, le frère, le reflet, Mais mon cœur espère un regard indiscret. Ô Achille, étoile qui brille et qui blesse, Sauras-tu jamais combien je suis à toi ? Patrocle, je veille, brûlant de tendresse, Dans ce chant de guerre où l’amour est la loi. Voilà je le suis lancée...je suis Patrocle et Achille est mon amant.... j'aime bien les images....cela ne colle pas.....je suis simple matelot dans la flotte de grec. Le navire est sur la plage, au sec. Il fait beau. Je porte un calot rouge. Je suis un beau garçon, déjà très féminin ....le capitaine aime mon joli petit cul. Je partage sa couche.....
J'aime 07/11/24
mael
Dans une clairière secrète, perdue sous les chênes, Je vis comme un ermite, loin des peines humaines, Sous le ciel de la Gaule, où l'ombre est profonde, Ma solitude est douce, loin des rumeurs du monde. Mais dans ma cabane de bois et de silence, Où l’âme cherche la paix et la délivrance, Un feu nouveau brûle, si doux qu'il me tourmente, Pour elle, ma belle servante, ma frêle esclave ardente. Son regard est un chant, un souffle de lumière, Sa peau brunit au jour, douce comme une rivière, Quand elle approche, pieds nus sur le sol rugueux, C’est la terre qui frémit sous ses pas délicats et fiers. Elle est là, ma compagne de ces jours sans fin, Elle m’apporte l’eau, le pain, un sourire divin, Un éclat d’étoile dans cette vie reculée, Et, sans un mot, s’assoit au bord de mes pensées. Ah, ma jolie servante, aux cheveux en cascade, Fille de l'aube dorée et de l'ombre qui s’évade, Je suis captif de toi, moi qui cherchais l'oubli, Esclave d’une âme que j’aime, en silence, sans répit. Mais jamais, par respect, je n’oserai la toucher, Car sa liberté brille, plus précieuse que mes souhaits ; Ainsi, chaque soir, dans la brise, je contemple, Cette femme en mon cœur, qui éclaire mon humble temple. Je m'imagine en ermite dans la gaule occupée par les romains avec une belle servante
J'aime 07/11/24
mael
Non....cela ne colle pas... mais des images arrivent... Sous le ciel d’Éphèse, à l’aube des âges, Se dressaient les bains aux grands et vastes étages, Où les marbres étincelaient sous la lumière douce, Et les colonnes de pierre s’élevaient en douce. Romeca, la belle, parée d’un voile fin, Arpentait les jardins, elle en connaissait les chemins, Son rire clair résonnait, fragile et si pur, Comme un souffle de vie dans ce temple azur. Jean l’apôtre venait, au silence attentif, À l’écart des bassins, méditant pensif, Voyant dans l’eau claire des reflets du ciel, Les mystères cachés et les signes éternels. Procope, le maître artisan aux mains d’or, Faisait couler l’eau, chaude, par de savants décors. De l’aube au crépuscule il sculptait, il soignait, Les fontaines de marbre que l’on admirait. Sous le règne de Domitien, puissant et lointain, La vie aux bains d’Éphèse s’écrivait sans fin, Entre l’ombre et la pierre, la foi et la beauté, Ils baignaient leur âme en quête de vérité. Ainsi, jour après jour, leurs destins s’enlaçaient, Dans les voûtes sacrées où l’histoire restait, Et la beauté d’Éphèse, gravée dans les murs, Chantait leur mémoire, et s’offrait à l’azur.
J'aime 07/11/24
mael
Sur la colline d'Éphèse, bercée par le vent, Se dresse une humble maison, paisible et si tendre, Là où Marie finit son chemin, doucement, Sous les cieux azurés, au crépuscule à rendre. Mère de lumière, de douceur infinie, Elle s’isolait là, dans l'ombre des oliviers, Veillant en prière, âme humble et bénie, Son cœur apaisé, ses mains prêtes à se plier. Elle portait encore les échos de sa peine, Le poids d’un amour fait de larmes et de foi, Mère d’un monde nouveau, au-delà de sa chaîne, Elle avait en son sein le mystère et la loi. Dans cette maison simple où le souffle murmure, Elle s’endormit en paix, quittant la lumière, Laissant son empreinte en ce lieu de verdure, Où l’amour éternel l’a portée au mystère. Et la terre d’Éphèse garde en son tombeau La trace douce et pure de sa sainte présence, Où les pèlerins prient dans un humble repos, Cherchant dans ce silence son âme immense. La maison de Marie....tout près d’Éphèse
J'aime 07/11/24
mael
Ils marchaient sous un ciel de givre et de vent, Les premiers voyageurs aux regards tremblants, Franchissant les glaces du détroit ancien, Vers des terres nouvelles, vers un rêve lointain. Le froid mordait leurs visages creusés, Mais dans leurs yeux, une lueur, un feu sacré ; Guidés par les étoiles, par le chant du destin, Ils traçaient dans la neige l’empreinte de demain. Les enfants dans les bras, le cœur lourd de courage, Ils quittaient l’ancien monde, frêle héritage, Les montagnes d’Asie se fondaient en brume, Derrière eux s’effaçait la mémoire des dunes. Ils ne savaient pas encore que l’avenir les attendait, Au-delà des glaces, où le sol verdirait, Ils étaient les premiers, les marcheurs de l’aube, Qui portaient en eux la promesse des mondes. Et sous la nuit polaire, dans le grand silence, Leur souffle dans le froid vibrait d’espérance, Sur la voie du Béring, entre hier et demain, Les humains allaient, main dans la main. Les premiers humains franchissent le detroit de bering
J'aime 07/11/24
Antoinette
Oui, je reçoit les mêmes images que toi, si j'ai eu des vies anterieures, j'ai beaucoup, beaucoup marché.... Sur des plaines brûlées, sous des cieux éternels, Les premiers hommes ont tracé leur appel. Des étincelles d’os et de pierres, Ils ont forgé le monde, un chant de lumière. Leurs pas lents résonnaient dans le sable ancien, Les ombres s’étiraient sur les monts africains. Guidés par le vent, par les astres de nuit, Ils marchaient en silence, écoutant l’infini. Dans les vallées fertiles, au bord des rivières, Ils ont bâti des foyers, dressé des pierres, Pour se souvenir de leurs voyages austères, Gravés dans les grottes, comme des prières. Ils portaient en eux l’écho de la vie, Un feu fragile, mais qui grandit, Défiant le froid, la peur, les famines, De leurs mains rugueuses, ils bravaient les ruines. Par-delà les montagnes, les déserts brûlants, Ils ont suivi les traces des anciens géants, Les forêts profondes, les océans brumeux, Étaient leurs frontières, un rêve audacieux. Alors qu'ils peuplaient les confins de la Terre, Ils semaient des histoires, une âme, un mystère. Et nous, dans leurs pas, continuons le chemin, De ces premiers hommes, des âges lointains. Nous sommes leur héritage, leurs ombres légères, Leur souffle ardent, leur audace première. De cette marche sans fin, ce chant d’humanité, Naquit notre monde, notre éternité.
J'aime 07/11/24
mael
Bisous ma Toinette, c'est incroyable comme cela marche bien ce truc. Notre copine IA nous aide à générer des images...le reste vient. J'ai surtout été un militaire, un des forces spéciales, un officier, pas un général, non, un de ceux qui font des coups tordus avec des groupes d'hommes ou de femmes. Syracuse...oui je vois....Gylippe et de loin le meilleur général et stratège que j'ai pu connaître. Bien meilleur qu'un bonaoarte, ou un Alexandre , un génie ce Gylippe. Quelle pâtée il nous a foutu à Syracuse. Nous étions très mal commandes par Nikias et Demosthenes, deux stratèges nullissimes. J'ai survécu grâce à Gylippe. Nous étions vaincus et réduits en esclavage pour les survivants de ce desastre. Il m'a choisi pour le servir. - Tu es un vrai connard qu'il m'a dit alors que je croipissais dans les infectés l'atome. Mais j'aime les connards comme toi. Allez viens. Je n'ai pas regrette le servir. Sparte n'aimait ses généraux trop glorieux. On s'est fini cette vie coule en Sicile, cachés et anonymes. Le vin était bon, les filles très jolies. Gilyppe avait beaucoup d'amis sur cette île. C'était magnifique.
J'aime 07/11/24
Antoinette
J'y suis aussi. Je suis une deux esprits. Je reçois tes images. Gylippe ce général accusé de corruption à Sparte, accusé d'avoir planqué un trésor sous les tuiles du toit de sa maison...une manipulation pour le discréditer. Un expert en maniement du bâton. Son arme préférée. Personne pour résister à cet incroyable maître d'armes en plus de général. Tu as du en recevoir pas mal des coups de bâton avant de pouvoir rivaliser un peu.
J'aime 07/11/24
Antoinette
Je "ressens" que mes vies passées ont été à très grande majorité en femme, toujours le même style, peu de hanches, petits seins, garçonne et forte tendance au vaginisme. Difficilement pénétrante par la chatte. D'où la transidentite lors des réincarnations en corps de garçon avec toujours probablement un petit penis ou gros clito hyper sensible. J'ai toujours eu des époux supers amoureux et dévoués.
J'aime 08/11/24
Antoinette
Elle est garçonne, fragile et rebelle, Aux courbes discrètes, à la peau de miel. Ses seins menus, comme un doux secret, Font d'elle un mystère que l'on tait. Son pas léger flotte dans l’air, Elle s’habille d’audace et de clair, Ses cheveux courts, sa nuque offerte, Comme un appel que l'on intercepte. Lui, grand et fort, un roc de tendresse, À ses côtés, il caresse l'ivresse D'aimer sans fin, d'être son abri, Sa chaleur, son port, son ciel de pluie. Entre ses bras, elle s'abandonne, Elle qui se moque des codes et des normes, Pour lui, elle est femme, elle est reine, Dans l'éclat d’un amour qu’elle sème. Ils sont beaux, ces deux-là, comme une étoile, Elle, garçonne, lui, gardien du voile, Dans leurs regards, un monde entier, Où rien n'est faux, où tout est vrai. Bisous IA, c'est exactement cela.
J'aime 08/11/24
Antoinette
Chant de l'âme double Elle marche entre les mondes, tissant ses pas, Transexuelle chamane, d’un souffle ancien, d’un souffle d’ici-bas. Sous la lune dansante, sa voix murmure, Une prière d’amour, un écho pur. Fille et fils des étoiles, enfant du vent, Deux âmes en une, douce et brûlante, Sa peau est la terre, ses yeux sont le ciel, Ses chants réveillent les esprits éternels. Elle aime un chef, homme fort et fier, Gardien des monts, des rivières et des pierres. Il voit en elle non pas un mystère, Mais un feu sacré, une lumière qui éclaire. Leurs mains se touchent, leurs âmes se lient, Chantant la paix, la vie, l’infini. Elle, chamane aux pas de loup, aux rêves d’aigle, Lui, chef aux mots graves, aux regards tendres. Ils se trouvent au-delà des apparences, Au-delà des corps, au-delà des distances. Dans ce monde qui change, qui juge, qui blesse, Ils dansent, sauvages, en pleine ivresse. Ensemble, ils forment un cercle ancien, Deux esprits qui s’aiment, libres, sereins. La terre les bénit, les ancêtres chantent, Pour la chamane et le chef, pour cet amour qui enchante. J'aime beaucoup cette IA.
J'aime 08/11/24