par le 30/10/24
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De nouveau seule, Jézabel repensa à la séance de préparation qu'elle avait subi. Par plaisir, d'une part, puisque l'effet du vaccin était toujours bien vivace et il lui fallait désormais bien pu pour connaître les orgasmes les plus forts de sa vie. Par introspection également, car Jézabel avait été littéralement transformée. D'être jolie jeune femme, elle était devenue une chienne, une jouet sexuel à destination de tous pour qui le pratique prime sur l'esthétique.

L'injection du vaccin avait fait très peur à Jézabel. S'il avait un côté rassurant, la piqûre avait été la chose la plus douloureuse qu'elle ait vécu, pénétrant dans toute sa longueur son clitoris naturellement si sensible. Mais depuis .... Waouh ce sont des sensations uniques. Ils ont été obligés d'attacher Jézabel dans son lit car l'envie de se toucher de redécouvrir ces plaisirs à la fois si simples et si complexes était trop forte. Pour être sûr à 100%, ils l'ont également perfusés pour ses repas, et mis une couche pour ses besoins. Ca, c'était le summum de l'hmiliation pour Jézabel, ce qui lui a fait vraiment comprendre qu'elle n'était plus qu'une méthode de maintien de l'ordre par le sexe.

Elle repensa également à ces anneaux. Lourd, épais, grossiers. Elles les trouva fort laid dans un premier temps. Mais elle commeçait à s'habituer à voir ses tétons et sa vulve ainsi orné. Elle n'en comprenait pas l'intérêt, encore moins des anneaux sur le clitoris et son nez, mais après tout, on lui avait fait comprendre que son avis comptait bien pu. Voire que si elle avait le malheur d'exprimer son avis, ils feraient l'inverse juste pour lui retirer ce dernier reliquat d'humanité. Elle repensa à la douleur d'être percée, sans anesthésie, sur ses zones les plus intimes. La douleur ... avec le vaccin c'est cependant vite dit. Chaque piercing lui avait fait connaître un orgasme plus puisant que le précédent. Elle ne se l'expliquait pas, certes elle avait toujours eu un petit côté maso, mais à ce point là, elle en se reconnaissait déjà plus. Après seulement quelques heures de détention, "ça promet", se dit-elle, "quoique s'il s'agit de jouir comme ça tous les jours, ça vaut le coup" ...

Mais le plus marquant vu son épilation. Intégrale. Vraiment intégrale. Elle se rappelait encore les vibrations de la tondeuse sur sa tête, qui la traversaient jusque son bas ventre. Elle se rappelait voir les mèches de cheveux tomber une à une au sol, l'allégeant de leur poid pour ne lui laisser quec celui de la sexualité. Elle se rappelait encore le frottement de la lame de rasoir sur son crâne désormais imberbe. Elle avait pleuré pendant ce rasage. Il lui avaient même retirés les sourcils ! Perdre ses cheveux, c'était perdre sa féminité. Perdre sa féminité, c'était perdre sa raison d'être. Il ne restait, selon elle, d'elle qu'un corps. Et pourtant, qu'est-ce que cela l'avait excité. Vraiment. Cette déshumanisation avait quelque chose de plaisant au final ; fini les responsabilités, fini les tracas du quotidien, il lui suffirait de satisfaire des hommes, des dizaines d'hommes au quotidien. "On a connu pire se dit elle". En tout cas, c'est ce qu'elle avait compris.

Ils avaient poussés le vice à lui épiler le maillot à la pince à épiler. Chaque poil entrainait une douleur, qui entrainait un plaisir intense. Chaque poil retiré l'avait fait mouiller davantage, mené à la jouissance, sous les rires du médecin qui avait bien compris qu'il faisait face à un specimin bien particulier. Il se faisait plaisir, et en un sens il lui faisait plaisir également.

Mais le moment le plus difficile mentalement à été de jeter tout au feu. La clef de son lourd collier de fer. Ses papiers d'identité, et médicaux. Son passé. Qu'adviendrait-il d'elle ? Que lui réservait-on ? Pourquoi lui retirer son identité et son passé ? Elle a certes été condamné, mais à 20 ans de réclusion criminelle, pas à perpétuité, elle devrait donc sortir ! Elle ne comprenait pas, elle était en colère. Elle avait peur aussi. Peur de ce qu'ils feront d'elles. Peur de ne jamais sortir. Peur de pas finir ces 20 années.

Mais elle s'était vu dans le miroir. Chauve. Lisse. Percée. Avec son collier. Pour la féliciter de sa "réceptivité", le médecin l'avait un petit peu maquillée les yeux et la bouche. De manière un peu extravagante bien sûr, pour la renforcer dans son rôle, mais il avait fait ça bien. Et elle se trouvait belle ainsi. Presque fière d'être ce qu'ils avaient fait d'elle.

Attachée sur son lit, la réalité avait rattrapé Jézabel. Une fois la nuit passée, le Directeur avait ouvert la porte :

" ta première semaine débute. tu es à disposition de tout le personnel.Ils peuvent faire ce qu'ils veulent de toi".

Le médecin avait eu raison quelques jours plus tôt, bien rares étaient ceux à appeler Jézabel par son prénom.

La plupart se contentaient d'une insulte ou simplement ne l'appelait pas.

Cette première semaine a été un doux enfer pour elle.

L'effet du vaccin était encore à son maximum. Elle était toujours excitée comme jamais elle n'aurait pu l'imaginer.

Cette amplification lui faisait découvrir que certaines choses l'excitait.

Une insulte, une humiliation, et elle partait dans un nouvel orgasme.

"150 surveillants, cela fait tout de même beaucoup, se dit-elle avant que cela ne démarre, surtout en une semaine".

Elle calcule. Elle se fera prendre en moyenne 22 fois par jour. 8 fois, s'ils viennent toujours par trois pour la prendre par chacun de ses trous.

Avec son excitation hors norme, cela ne poserait aucune difficulté ... 

Ces chiffres l'effrayaient. Ils l'effrayait d'autant plus qu'elle savait que ça pourrait être plus, si certains voulaient revenir dans son lit.

Pour prévenir toute difficulté, la prison avait maintenu la perfusion pour éviter toute difficulté liée aux repas.

"C'est par précaution, tu pourras toujours boire du sperme et bouffer de la bite" lui avait dit le médecin dans un moment d'élégance dont lui seul à le secret.

Jézabel, apprécia sa prose habituelle, ravala sa fierté, et ignora son excitation ravivée.

Mais il n'avait pas tord, elle allait prendre plus en une semaine que n'importe qui en une vie.

"- tu auras juste à faire ton travail et à obéir aveuglément aux surveillants, répondit le médecin. De toute façon, si tu rechignes, nous le saurons, dit-il en montrant une caméra

- Je suis filmée, Monsieur ?

- Bien sûr, salope. Tu n'imagines quand même pas que notre expérimentation ne sera pas évaluée. L'intégralité du Conseil des Moeurs et du Conseil des Ministres a un accès en direct et en différé à chacun de tes exploits. Ca leur permet de vérifier le bon déroulé de ton dressage, ou de revisionner un passage qu'ils aiment particulièrement. Ils vont pouvoir constater qu'en moins de quelques heures, tu es devenue la pute de toute la prison, et qu'en plus tu y prends ton plus grand plaisir"

Jézabel rougit de honte et se cacha derrière ses cheveux. Enfin, elle essaya. La réalité la rattrapa de nouveau : elle n'avait plus de cheveux ...

"- Répète le, sale chienne, cria le médecin, tout content de son nouveau pouvoir.

- Je suis la pute de cette prison, et j'y prends mon plus grand plaisir, Monsieur" répondis Jézabel plus honteuse et excitée que jamais.

Elle avait toujours aimé les mots sales. Mais là, c'était différent. Ce n'était pas du jeu. Elle était vraiment devenue la pute de la prison. On le lui avait bien fait comprendre. Elle allait le vivre incessament sous peu. Sans les effets du vaccin, elle aurait probablement été incapable de le dire. Mais là son excitation était telle en sachant ce qui l'attendait qu'elle pouvait difficilement le nier. Elle sentait ses orifices se dilater, s'ouvrir de plus en plus, avide d'être comblés. Et depuis ces mots des plus avilissants, elle sentait que cela s'accentuait encore davantage.

Ce fut là le début d'une semaine de baise non stop pour Jézabel. Et ce fut pire qu'elle ne l'imaginait. Les surveillants, frustrés par les nouvelles lois, ne cessaient de revenir. Rapidement, ils comprirent qu'ils devaient venir par groupe de trois pour optimiser et profiter davantage.

Au cours de cette semaine, Jézabel n'eut pas un instant de répit. Pas un repas. Pas un moment de sommeil. Elle voulu manger,  boire, dormir, mais sa déshumanisation l'en empêchait. La perfusion gérait ses repas, l'excitation bloquait son sommeil, les fantasmes des uns et des autres pallait l'absence de toilettes.

Elle constata rapidement que le vaccin ne touchait pas que sa chatte, mais également son cul et sa bouche, l'excitation d'être pénétrée par chacun de ses orifice était décuplée. Grâce au vaccin, ses orifices s'ouvraient d'eux mêmes, quelle que soit la taille ou le nombre de membre qui la pénétrait. Elle finit béante et couverte de sperme, et tout aussi humiliée qu'heureuse.

Car malgré l'humiliation, le vaccin fit de cela une semaine d'orgasme ininterrompus. Mentalement et corporellement, elle était épuisée. Epuisée par ces orgasmes. Epuisée du manque de sommeil. Epuisée du sexe en continu. Elle se sentait humiliée, avilie, voulait juste prendre une douche pour retirer ces couches de spermes séchées qui couvraient son épiderme. Elle espérait que son corps se refermerait après autant de vas et viens en elle.

Mais elle était heureuse. Heureuse de ces orgasmes, de ce plaisir, du plaisir de ces hommes. Elle ne savait comment se situer par rapport à elle-même, à ses contradictions. Elle ne s'interrogeait plus sur la suite, tant la fatigue et l'euphorie neutralisaient toute capacité de projection.

Elle l'ignorait, mais le médecin s'était inquiété pour elle :

"- Vous pensez qu'elle tiendra le coup, Monsieur le Directeur ? Les chiennes supportent habituellement mal cette excitation, alors, même si celle-ci est hors norme, avec toute cette stimulation ...

- Ne vous inquiétez pas Docteur, faites confiance à la chienne qu'elle est. Elle y trouvera bien davantage son compte qu'elle ne l'imagine, et son corps encaissera. Et de toute façon, ce sont les ordres du Gouvernement. Donc faites votre travail et assurez-vous que tout se passe bien"

Le Directeur avait eu raison, une fois de plus. Le Docteur n'eût pas besoin d'intervenir. Jézabel supporta le traitement et la stimulation. La démonstration du succès de l'expérience était pour le moment sans appel et la réussite du Directeur, flamboyante.

Mais cela ne faisait qu'une semaine que Jézabel étaient détenue. Son parcours était encore long et ses questionnements n'en étaient qu'à leurs débuts ...

6 personnes aiment ça.
sylvie35
Un vaccin "sûr et efficace" 1f600.png
J'aime 31/10/24
j'aime beaucoup.... puisque demande de "conseil-appréciation" , je crois qu'un peu de "pédale douce" pourrait etre mis au niveau "science-fiction- , en détaillant scènes avec par exemple décor de la cellule , passer à "l'ecuelle" pour arreter la perf... "raconter" les "viols" en détails accompagnés du ressenti adéquat d'"elle" si le récit doit durer, et je le souhaite , ne pas se précipiter dans le scénario, prendre son temps pour détailler...surtout sur le ressenti...pour nous faire attendre la suite a nous lecteurs tout en pouvant imaginer les scénes....1f60e.png1f60a.png1f60a.png1f60e.png
J'aime 31/10/24
soumis8968
Vivement la suite
J'aime 31/10/24
Abel1976
J'ai adoré vivement la suite
J'aime 06/11/24