par le Il y a 16 heure(s)
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  • Faites entrer la chienne svp !!

Les surveillants pénitentiaires font entrer J. et la mettent à genoux dans l'infirmerie de la prison

  • Bien, dis-le, médecin. Déshabille-toi en vitesse. Je vais t'expliquer ce qu'on va faire de toi. Je ne veux pas t'entendre dire un mot, je ne veux pas te voir bouger sauf si je te le demande. Compris ?

J. opine du chef et retire ses vêtements.

  • Bien, tu comprends vite. Le Directeur a raison. Quand tu sortiras de cette salle, ton toi passé n'existera plus. Je vais te préparer à devenir la pute de cette prison et à aimer ça. Je vais commencer par t'injecter un vaccin universel contre toutes les maladies sexuellement transmissibles. Il te rendra stérile aussi, ça permettra de te faire sauter à longueur de journée sans risquer une maladie ou une grossesse. Compris ?

Les yeux embués de larme, J fait oui de la tête.

  • Le bon côté, c'est que pendant une semaine, ton excitation sera multipliée de manière exponentielle. Il parait que certaines ont même joui juste en allant pisser. Le Directeur ne veut pas que tu en profites de trop, donc tu seras attachée en permanence pour ne pas te caresser. Puis pendant environ trois semaines, tu n'auras au contraire plus de sensation de plaisir. Après un mois, tout reviendra à la normale.

Le médecin sort une grande seringue, "je te préviens, je dois remonter toute la longueur de ton clitoris avec cette seringue, ce ne sera pas agréable. Mais une fois injectée, tu ne devrais pas m'en tenir rigueur"

J. se trouve attachée en croix, comme en lévitation, un saut posé au sol entre ses jambes. Le médecin commence l'injection, J. crie de douleur.

Mais le vaccin tient ses promesses, dès l'injection effectuée, J. cesse de crier. Au bout de quelques minutes, ses tétons, ses lèvres et son clitoris se gorgent de sang, se dressent, durcissent et triplent de taille.

  • Mais quelle salope, dis le médecin, on bat tout les records avec elle !

A peine ces mots prononcées que J pars dans un orgasme dantesque. Ces mots l'ont excitée. Avec le vaccin, il n'en fallait pas plus.

Rapidement, elle se retrouve avec un anneau à chaque téton, au clitoris, deux sur chaque lèvre vaginale et un entre les narines. Elle est totalement totalement épilée, son crâne est également rasée.

Durant cette transformation, J jouit de nombreuses reprises.

Pour finir, le médecin lui ferme un collier autour du coup. Un médaille pends, avec un nom. Jézabel.

  • Voilà ton nouveau nom, même si je doute que beaucoup l'utiliseront. Pour finir ta transformation, mets tes vêtements, ta fouille et la clef de ton collier dans le four là-bas.

J. hésita. Il y avait tous ses documents d'identité dans sa fouille. Face à ce temps d'hésitation, ce fut dix coups de ceinture qui s'abattirent sur ses fesses. Et un nouvel orgasme en prime.

"Décidément, ce vaccin est diablement efficace" pensa-t-elle en constatant le flot de cyprine couler le long de ses cuisses.

J. obéit, mit sa vie d'avant au feu. Le médecin lui passa les menottes pour qu'elle ne se touche pas, elle fut ramené dans sa cellule.

Jézabel était née. La chienne nue et rasée de la prison qui jouissait en permanence à cause des effets temporaires de ce vaccin et qui allait servir à assouvir les passions de tous les hommes de la prison.

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N'hésitez pas à me faire part de vos commentaires, suggestions et critiques constructives, cela peut toujours aider pour l'écriture de la suite du récit 1f60a.png
J'aime Il y a 16 heure(s)
sylvie35
Bonjour Normandom, Il n'y a malheureusement pas beaucoup d'hommes qui écrivent des fictions, et je trouve que c'est dommage car cela permet de lire des styles différents, donc je vous encourage à continuer. J'ai lu vos trois articles. L'idée est originale. Le côté fortement non-consensuel ne m'a pas gênée, puisque c'est bien l'intérêt de l'écriture que de pouvoir laisser libre cours à l'imagination. Le 2ème (intitulé "Le Bienfaiteur") est mon préféré car il y a un ressenti psychologique (interrogations, anxiété face à l'inconnu, ...) qui manque un peu dans celui-ci. Je pense que vous avez une bonne trame de départ. Pour la suite: attention à un travers que j'ai constaté dans certains écrits masculins, qui est de vouloir aller très vite en listant tout un tas de "supplices" et d'humiliations de manière mécanique, en oubliant de faire en sorte que le lecteur se sente impliqué dans l'histoire, qu'il ressente ce que J. ressent. Voilà pour mon avis, qui ne vaut sans doute pas grand chose, mais si cela peut vous être utile tant mieux. Évidemment, vous en tenez compte si vous en avez envie - c'est votre histoire. Je vous souhaite de trouver l'inspiration pour la suite.
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