*** Avertissement
Il s’agit d’un texte que j’avais initialement écrit pour le plaisir de mon Maître et qu’il m’a finalement ordonné de rendre public, après l’avoir édulcoré et débarrassé de passages trop hards ou trop personnels (néanmoins il reste quelques passages susceptibles de heurter les esprits hypersensibles, psychorigides, ou formatés par une idéologie, auquel cas il est sans doute préférable de passer votre chemin).
Je vous souhaite une bonne lecture et j’espère que ce petit texte vous plaira comme il a plu à mon Maître. Dans tous les cas, rappelez-vous qu’une fiction n’est rien d’autre qu’une fiction, un récit sans prétention dans lequel l’auteur(e) laisse libre cours à son imagination.
*** Episode 1 : Le procès
Je revivais en rêve la première rencontre avec mon Maître lorsque l’allumage automatique de la télévision me sortit de ma torpeur. Des images aériennes de grande qualité montraient d’immenses poteaux, bien plus hauts que nos éoliennes, juchant un sommet himalayen. Je fus saisie par la beauté de ces images qui tranchaient avec les murs grisâtres de ma cellule. L’allumage intempestif de la télévision, à des heures aléatoires, fait partie du programme de rééducation citoyenne auquel je n’ai eu d’autre choix que de me soumettre.
Mon procès avait été expéditif. J’ignore qui m’a dénoncée, mais ensuite les choses sont allées très vite. Des preuves accablantes montraient que j’avais entretenu pendant de nombreuses années une relation Maître/esclave illégale, jusqu’à la malheureuse disparition de mon Maître l’année passée. Non pas qu’une relation Maître/esclave fût illégale en soi – nous sommes en démocratie – mais depuis la loi du 5 mai 2025, aucune relation de couple, aucune relation sexuelle, de quelque nature que ce soit, n’est autorisée sans l’obtention préalable du pass délivré par la Bill&Alvértos Fucking Corporation. Cette société tentaculaire, ainsi nommée en hommage à deux milliardaires bienfaiteurs de l’humanité qui sauvèrent le monde d’une redoutable pandémie au début de la décennie, dispose du monopole de la validation des couples et des relations sexuelles. Chaque mois, Eurytion, la puissante Intelligence Artificielle de la BAFC, prend en compte des milliards de caractéristiques génétiques, morphologiques et psychologiques pour réaliser le meilleur appariement possible entre les prétendants à une union, et leur délivrer le précieux « fucking pass », qui donne le droit de baiser en toute légalité avec le partenaire désigné par l’IA. Toutes les orientations sexuelles sont possibles – il n’y a pas de discrimination en démocratie.
Même les couples déjà formés ont dû se soumettre à cette formalité depuis la promulgation de la loi, ceci pour le bien de l’humanité. L’intelligence artificielle est très bienveillante : lorsque le couple est préexistant et dispose d’un bon solde de crédit social, le pass est généralement attribué sans obligation pour les deux partenaires de se soumettre à un réappariement.
Les démarches pour prétendre à l’obtention du fucking pass coûtent 6 mois de salaire moyen – il faut bien rémunérer la haute technologie – mais cela en vaut vraiment la peine car, comme l’a expliqué le Docteur Tedros, nouveau directeur exécutif de la BAFC, c’est ensuite la certitude d’un avenir radieux, en harmonie au sein du couple et de la société, et c’est surtout la satisfaction de respecter la loi. Bonus ultime, 120 points de crédit social sont attribués le jour même de la délivrance du fucking pass. C’est un cadeau très apprécié.
Je fus déclarée « ennemie de la démocratie, raciste et fasciste ». Bien que je ne compris pas le rapport avec ma faute, le procureur semblait très sûr de lui, et tous les journalistes qui couvraient l’évènement ont vanté l’excellence de sa plaidoirie, alors c’est sûrement vrai.
Dès l’annonce ma sentence, je dus me dévêtir entièrement car les ennemies de la démocratie ne sont pas autorisées à porter des vêtements, et je fus conduite nue à mon lieu d’incarcération sous l’œil des caméras. La retransmission de ce type de procès était devenue monnaie courante depuis la formation de la suprême alliance démocratique. L’humiliation publique sert d’exemple pour faire réfléchir ceux qui seraient tentés par des comportements anti-démocratiques, et, cerise sur le gâteau, fait une audience monstre qui rapporte un pactole en contrats publicitaires à la filiale « Information& Entertainment » de la BAFC.
Alors que le drone de la télévision s’approchait de l’un des pylônes, on commençait à distinguer la petite plateforme convexe qui le surplombait, associée à une structure qui ressemblait à un perchoir. Plusieurs anneaux et crochets y étaient judicieusement disposés. Puis la caméra pivota rapidement et l’on put apercevoir au loin le vol majestueux du grand chrysaor cendré, un oiseau à l’envergure impressionnante qui vivait dans les cimes himalayennes, espèce nouvelle apparue lors de l’accident nucléaire de 2022. Résultat de mutations accélérées, l’oiseau puissant et véloce migra rapidement vers les montagnes Tibétaines, dont le climat correspondait mieux à sa nouvelle physiologie.
La retransmission fut interrompue pour relater, images à l’appui, le succès d’une opération militaire éclair en Asie centrale. Les meutes de drones de la suprême alliance, les « Freedom Spikes », puissamment armés, constituent le fer de lance de l’avancée de la démocratie dans le monde. « Peints aux couleurs de la liberté, ils représentent pour les populations encore sous le joug de la tyrannie, le formidable espoir d’un avenir meilleur » commentait, avec enthousiasme, le journaliste. Puis un petit intermède rappela comment l’humanité avait pris le chemin du meilleur des mondes lorsque les dirigeants Occidentaux et Chinois, devant l’évidence sans cesse croissante de la convergence de leurs modèles sociaux, décidèrent de mettre fin à un antagonisme qui n’avait plus lieu d’être et d’œuvrer de concert pour former la suprême alliance démocratique, une puissante fédération aux objectifs progressistes. Le siège du pouvoir central a été localisé à Pékin, berceau de la démocratie moderne.
*** Episode 2 : La préparation
C’est alors que la porte de ma cellule s’ouvrit et qu’un gardien, sourire aux lèvres, vint m’en extraire. Les gardiens faisaient des pieds et des mains pour être affectés au bâtiment Est, dans lequel les ennemies de la démocratie sont incarcérées, nues en permanence. Je fus conduite de salle en salle, pour des examens médicaux approfondis. Bien qu’interminables, les examens n’avaient rien de pénible, et pourtant, de temps à autre, j’entendais les hurlements de prisonnières qui m’avaient précédée, ce qui n’était guère rassurant. Arrivée dans la dernière salle, je fus solidement attachée en position gynéco, pour la mise en conformité de ma chatte. Ce fut à mon tour de hurler. Pourtant je savais que cette opération était indispensable et qu’il en allait de mon intérêt et peut-être même de ma survie.
Bien que pratiquée sans anesthésie, la mise en conformité réglementaire des chattes est réalisée avec le plus grand soin par du personnel expérimenté. Après l’élimination de tout le superflu et une épilation définitive accélérée – telle que permise par les progrès de la technologie – les grandes lèvres sont soigneusement cousues après avoir été scarifiées au point de contact. Elles fusionneront solidement, laissant juste une minuscule ouverture pour les besoins naturels, et les fils seront retirés lorsque l’assemblage sera jugé suffisamment solide.
L’opération terminée, je n’avais plus de larmes ni de salive tellement j’ai hurlé, pleuré et bavé. Je pensais être reconduite dans ma cellule à l’issue de ma mise en conformité, mais c’est dans une grande pièce commune que je fus conduite. Cinq cages y étaient disposées et après m’avoir introduit un plug anal, le gardien me fit entrer dans l’une des deux encore libres. C’est là que je passai les jours suivants, le temps que ma chatte cicatrise. L’espace restreint permettait peu de mouvements et l’inconfort était pesant. Les sorties de cage étaient rares, mais à chaque fois vécues comme un moment de bref bonheur. Le temps est long quand on n’a rien à faire et interdiction de communiquer avec ses voisines sous peine de punition. Bien que je ne pus les interroger, je vis que leurs chattes également avaient été mises en conformité, ne laissant plus guère de doute sur le fait que nos destins étaient à présent liés. Le protocole était toujours le même : introduction d’un plug anal à l’entrée en cage, retrait à la sortie. A mesure que le temps passait les diamètres augmentaient. C’était franchement désagréable mais je savais que cette dilatation contribuerait à ma sécurité dans un proche avenir, alors je mettais toujours la meilleure bonne volonté pour faciliter mon introduction.
Depuis le début de la décennie, l’état de santé d’une grande partie de la population s’est peu à peu dégradé. Certains scientifiques ont mis cela sur le compte de l’accident nucléaire, d’autres sur le compte de la pandémie du début de décennie. Quelques uns, minoritaires, ont évoqué une autre cause, mais ils ont été rapidement internés en hôpital psychiatrique et on n’en entend plus parler. Fort heureusement, le chrysaor cendré nous apporte de grands espoirs pour répondre efficacement à ce fléau.
Les jours, peut être les semaines, ont passé, lentement, très lentement. Je sus que le grand jour était arrivé lorsque j’entendis le brouhaha des journalistes, qui allaient à présent nous suivre pas à pas. Extraites de nos cages, sous l’œil des caméras qui ne se gênaient pas pour faire des gros plans sur nos chattes lisses et définitivement fermées, et les commentaires des journalistes qui expliquaient pourquoi nous avions été préparées ainsi, nous fûmes conduites par hélicoptère jusqu’à un bâtiment situé au pied des pylônes.
Depuis trois jours nous n’étions plus nourries – cela faisait partie du protocole de sécurité. Arrivées dans le bâtiment, nous dûmes néanmoins, par mesure de précaution, subir plusieurs lavements profonds pour garantir que nous étions totalement vides à l’intérieur. Suite à quoi nos anus furent copieusement lubrifiés. Le médecin chef, en charge du programme scientifique, ne tenait à prendre aucun risque. Il en allait de sa responsabilité.
Les pylônes ont été érigés l’année dernière. Ils ont d’abord servi de lieu de supplice pour les condamnés. Attachés nus en haut des pylônes, ils devenaient la proie facile du grand chrysaor cendré, qui les déchiquetait et se nourrissait de leurs chairs. Retransmis en direct par les caméras de la filiale Information&Entertainment de la BAFC, ces évènements firent des records d’audience. Ce spectacle, qui aurait pu paraître choquant il y a seulement une dizaine d’années, était à présent très apprécié et regardé en famille et entre amis. Les mentalités ont beaucoup évolué en peu d’années. Les journalistes ont efficacement sensibilisé les citoyens aux dangers que représentent ceux qui s’écartent du droit chemin en mettant en doute la réalité du progrès social apporté par la suprême alliance et attisé la haine envers ceux qui ne respectent pas scrupuleusement les lois relatives aux multiples pass qui cadrent à présent la vie sociale, pour le bien commun. La très grande majorité de la population considère que les suppliciés méritent amplement leur sort.
Le mois dernier, le monde entier a été témoin en direct d’un évènement inattendu. Pour la première fois, une femme, Ysideulte, faisait partie des suppliciés. Auparavant les femmes étaient dispensées de ce supplice cruel, mais la police du net ayant découvert qu’Ysideulte diffusait sur un réseau crypté clandestin des informations tombant sous le coup de la loi anti fake news, sa dangerosité pour la démocratie a été jugée suffisamment grave pour qu’elle subisse, elle aussi, le supplice.
Contrairement à toute attente, le grand chrysaor l’a enveloppée de ses ailes dans un mouvement protecteur, et l’a ainsi choyée et réchauffée pendant de longue minutes, avant de lui pénétrer la chatte avec sa bite phénoménale. Chaque spectateur a pu percevoir à quel point la vigueur avec laquelle il l’a baisée traduisait l’excitation qu’elle lui procurait, et beaucoup en ont été émus jusqu’aux larmes. Par chance, malgré d’importantes blessures, Ysideulte a survécu à cet accouplement brutal. Une fois redescendue du pylône, les scientifiques ont pu faire sur elle de multiples prélèvements et découvrir les propriétés exceptionnelles des spermatozoïdes radioactifs du grand chrysaor cendré. Depuis cette découverte, les pylônes ne servent plus au supplice de condamnés, mais à des expériences scientifiques. Ysideulte a été réhabilitée, pour services rendus à la démocratie, bien malgré elle, et en son honneur le lieu a été rebaptisé « le perchoir d’Ysideulte ».
De par leurs analyses, les scientifiques ont estimé que lors de l’éjaculation, le sperme du grand chrysaor cendré est éjecté avec la pression phénoménale de 50 à 200 Newtons au cm carré. C’est ce qui a causé des blessures à la pauvre Ysideulte, comme si elle s’était mise un karcher dans la chatte. L’ironie de l’histoire est que le grand chrysaor ne voulait certainement pas lui faire de mal mais au contraire lui témoigner son affection en l’ensemençant comme il se doit.
D’après l’examen des vidéos haute résolution, l’éjaculation est précédée d’une sortie continue de sperme, à faible pression, pendant toute la durée de l’accouplement. Il a été estimé qu’au total la quantité de sperme pouvait atteindre le demi-litre, mais ce n’est qu’une estimation car Ysideulte n’en avait retenu qu’une très faible partie en elle.
Les modèles informatiques ont montré qu’une injection anale et non vaginale réduirait considérablement les risques de blessures. Sous réserve, évidemment, que la femelle ait été bien préparée, lubrifiée, et son colon parfaitement vidé, afin qu’il puisse servir de vase d’expansion et ainsi atténuer la violence de l’éjaculation. C’est la raison pour laquelle ma chatte a été fermée : s’assurer que je serai sodomisée et ainsi réduire les risques de séquelles graves. Car, oui, en tant que condamnée pour la cause la plus infâmante qui soit, j’ai été intégrée de force à ce programme scientifique, qui permettra peut être à l’humanité d’éviter l’extinction.
Les spermatozoïdes radioactifs du grand chrysaor cendré traversent sans difficulté les tissus humains et se répandent dans tout le corps. Par un mécanisme non encore élucidé, ils ont un effet réparateur sur les organismes humains affaiblis. La filiale pharmaceutique de la BAFC espère reproduire artificiellement ce mécanisme et ouvrir ainsi un formidable marché dans lequel la population humaine à la santé déclinante s’engouffrera sans hésiter.
*** Episode 3 : Sur le perchoir
Un système entièrement automatisé me hisse en haut du pylône et, arrivée à destination, des bras robotisés m’attachent solidement. Aucune intervention humaine n’est nécessaire: ce serait bien trop dangereux, mes gardiens risquant d’être déchiquetés par l’oiseau.
Malgré sa puissance bestiale, le grand chrysaor cendré est un oiseau méfiant et extrêmement intelligent. Personne n’a jamais réussi à le capturer ni à le suivre jusqu’à sa tanière. Il sait brouiller les pistes et semer les drones envoyés à sa poursuite. On a bien tenté de mettre un piège sur la plateforme, mais son instinct l’en a éloigné.
Cela fait des dizaines de minutes que je suis attachée et toujours aucun oiseau à l’horizon. Le vent est glacial sur ces sommets et je suis totalement nue, en bas pour les besoins de la sodomie, mais aussi en haut parce que les spectateurs aiment que les mamelles soient visibles et bien pendantes. Pour celles qui ont une modeste poitrine comme moi, de lourdes charges oscillantes sont suspendues aux mamelles, pour les étirer et en amplifier le mouvement. Nous devons respecter les désirs de nos téléspectateurs a déclaré le directeur de la filiale Information&Entertainement de la BAFC.
Je ne suis pas la seule. Au total 5 pylônes ont été érigés et une femelle a été attachée au sommet de chacun d’eux. C’est meilleur pour l’audience, et en général le grand chrysaor cendré a assez de ressources pour ensemencer 2 ou 3 femelles à la suite. Cela permet de multiplier les prélèvements et les analyses. Celles qui n’auront pas eu la chance d’avoir ses faveurs n’échapperont pas pour autant à leur sort car elles feront automatiquement partie du groupe suivant. Autant dire que chacune d’entre nous nourrit le secret espoir d’être plus attirante que ses voisines.
Les minutes passent, interminables, et malgré l’angoisse, je sens que je m’assoupis. L’effet du froid, probablement. Le bruit d’un puissant battement d’ailes me sort de ma torpeur, juste à temps pour voir l’oiseau fondre sur ma voisine de droite et lui témoigner son affection avant de la sodomiser sans ménagement. C’était sans conteste la plus jolie de nous cinq. L’oiseau a bon goût. Les hurlements de terreur de la pauvre fille me glacent le sang, et pourtant, désirant ardemment être la prochaine, pour que l’on en finisse, je remue les fesses du peu que mes liens me le permettent, espérant attirer le volatile. Le voilà sur moi. Malgré le stress, la douceur de ses plumes et la chaleur de son corps me procurent une sensation de réconfort.
Je crois avoir un avantage sur mes voisines : ayant vécu une relation Maître/esclave pendant plusieurs années, j’ai l’habitude d’être sodomisée sans ménagement et j’ai été dressée à la dure. J’espère, sans trop y croire, que cela rendra mon supplice plus supportable. La grosse bite du volatile me pénètre d’un coup et me ramone copieusement avec une vigueur qu’aucune fucking machine ne pourrait atteindre, m’arrachant des hurlements de terreur, qui se poursuivent par des cris d’agonie alors que l’éjaculation me déchire les entrailles. Je n’ai plus qu’une vision floue de ce qui m’entoure et je lutte pour rester consciente, me rendant néanmoins compte que le grand chrysaor cendré est toujours là et s’affaire autour de mes liens. Son puissant bec finit par en venir à bout et il m’emporte dans un mouvement si violent que je perds connaissance.
*** Epilogue
Je me suis réveillée dans un lieu qui ressemblait à une grotte, et j’ai eu un mouvement de recul lorsque j’aperçus l’oiseau près de moi, me regardant fixement. Je n’eus pas besoin de beaucoup de temps pour comprendre ce qui m’était arrivé.
Aujourd’hui, je ne sais plus exactement depuis combien de semaines ou de mois je suis là. J’aurais dû noter les jours. Le grand chrysaor cendré est très attentionné, voire affectueux, mais si je ne lui présente pas correctement mon cul dès qu’il bande, il me rappelle à l’ordre d’un coup de griffes qui me laisse marquée pendant plusieurs jours. Maintenant ça va mieux. J’ai appris à surveiller sa bite en permanence et à me mettre en position sans traîner dès les premiers signes.
S’il m’apporte quotidiennement quelques fruits collectés dans la plaine, c’est principalement par le cul qu’il me nourrit, de son sperme bienfaisant. Chaque jour j’en ressens un peu plus les effets : plus forte, l’esprit plus clair, en meilleure santé. Mon corps et mon esprit s’habituent peu à peu à ces sodomies brutales, mais je n’arrive toujours pas à réprimer mes hurlements pendant qu’il m’encule. La douleur est trop intense et la brutalité de l’accouplement trop terrifiante. J’ai appris à bien garder le sperme en moi pour profiter au maximum de ses bienfaits et j’avoue prendre du plaisir à me sentir ainsi remplie. De plus, cela a un effet réparateur sur les blessures causées par chaque sodomie et procure un lubrifiant naturel en prévision de la prochaine pénétration. L’oiseau s’est pris d’une grande affection pour moi, il me réchauffe quand il fait froid et me sodomise plusieurs fois par jour. Depuis peu, j’ai entrepris de danser pour lui chaque soir, peu avant la tombée de la nuit, et il semble apprécier, me regardant calmement et attentivement. Parfois j’ai l’impression qu’il me parle, mais peut-être est-ce mon imagination qui me joue des tours. Je crois qu’il ne visite plus les pylônes depuis qu’il a une esclave sexuelle à sa disposition 24h/24. Dommage pour le programme scientifique. Lorsqu’il part à la chasse, je m’approche du bord de sa tanière à flanc de falaise – pas trop car j’ai peur de tomber - où je peux admirer un magnifique paysage propice à la méditation. Parfois j’aurais aimé que ma chatte soit encore ouverte et fonctionnelle mais je sais que cela me ferait courir de grands dangers. Finalement je me suis faite à ma nouvelle esthétique – parfaitement lisse entre les cuisses, la fente n’étant plus qu’un lointain souvenir - et plus je me regarde, plus je me trouve jolie ainsi. La compagnie des humains me manque, même si, malgré le programme de rééducation citoyenne que j’ai subi, je suis encore un peu dubitative quant au meilleur des mondes promu par la suprême alliance démocratique. Mais je me console en me disant que mon Maître aurait aimé cette issue. Sperme, sodomie et discipline, c’est tout ce dont une femelle a besoin, se plaisait-il à dire.
[Edit] Ce n'était pas prévu initialement, mais les encouragements des lecteurs m'ont ultérieurement incitée à écrire d'autres articles - pas directement une suite de celui-ci, mais une histoire parallèle, connectée à celle-ci, une vision du même monde à travers d'autres yeux. Si cet article vous a intéressé et que vous souhaitez découvrir les autres, la liste est ici (à lire de préference dans l'ordre chronologique de publication):
https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog
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