- Descends de la voiture et à 4 pattes, chienne !
Je viens de me garer sur un tout petit parking, près de la rivière. C'est une chaude soirée d'été.
L'endroit, peu connu des touristes, semble désert à cette heure.
J'ai fait le tour de la voiture, ouvert la portière et je t'ai, donc exhorté à sortir en saisissant ta laisse.
Tu t'exécutes et tu te retrouves à 4 pattes sur la terre battue.
- Ouvre la bouche.
Là encore pas d'hésitation. Juste le temps de te mettre un bâillon cylindrique dans la gueule. C'est plus prudent même si tu es en laisse. Et aussi et surtout, bien serré comme il l'est, il te fait saliver. D'ici peu de temps, ta salive va commencer à couler le long de ta gorge direction ton bikini noir.
- Allez ! On va se baigner un peu. Ne me fais pas ralentir s'il te plaît.
Tu hoches la tête en signe de consentement et tu me suis.
L'herbe succède à la terre battue puis, quand on approche de l'eau, tu es obligée de marcher sur un mélange de sable très grossier et de petites pierres. Pas forcément très confortable, mais tu ne te plains pas.
Je détache la laisse pour que tu puisses aller te baigner. Toujours à 4 pattes. L'eau est fraîche, mais tu sais à quel point j'aime te prendre, toute fraîche, après une journée caniculaire.
Soudain, trois jeunes hommes surgissent du bois qui jouxte la plage. Très étonnant sans voiture sur le parking.
Le premier me lance un salut. Je ne crois pas qu'il t'ait vu.
Je lui rends son salut et je m'attends à ce qu'ils continuent leur route.
Mais le second remarque ma laisse dans la main et son regard se tourne vers la rivière. Je pense qu'il espérait trouver un autre animal de compagnie, mais il semble amusé.
- C'est une jolie chienne que vous avez là ? Obéissante ?
- Elle obéit à son Maître en tout cas.
- Si vous l'appelez, elle vient ?
Je t'appelle et tu viens. Lentement et en adoptant une démarche aussi sexy que possible si j'en crois ton déhanché. Ça me conforte dans l'idée que tu n'es pas contre la situation.
- Vous pouvez la caresser, elle aime ça, dis-je alors qu'un grand sourire illumine mon visage.
C'est inattendu, mais une salope comme toi doit pouvoir servir ces jeunes gens.
Celui qui m'a parlé semble moins intimidé que les autres et se baisse pour commencer à te toucher. Il commence par passer sa main sur tes seins à travers ton maillot qu'il pétrit.
- Ne soyez pas timides !
Aussitôt dit, aussitôt fait. Les 3 jeunes hommes t'entourent et commencent à te toucher, te pétrir. L'un des trois se baisse pour coller sa queue contre ton cul et tu commences à onduler.
- On peut faire plus ?
La question me surprend.
- Qu'est-ce que vous voudriez lui faire ?
- Perso, je veux que tu lui ordonnes de me sucer. Assentiment général.
- Ok. Mais, je veux que vous la payiez pour ça. Vous avez un peu d'argent pour cette pute ?
Je les vois fouiller leurs poches sans un immense succès.
- J'ai une pièce de 2 euros.
- Ok, ça suffira. Mais elle vous suce et vous branle et vous devez exploser sur cette salope. C'est le deal.
J'ai le billet dans la main dans la seconde qui suit.
Ils se déshabillent et le premier te présente son sexe.
Tu me regardes pour être bien sûre et je te confirme de la tête que tu dois les faire jouir.
Je suis sûr que tu es complètement trempée à l'idée d'être payée. Tu sais qu'intérieurement, je me moque de cette immense salope qui suce tout ce qui se présente pour 2 euros. Même pas le prix du coca pour faire passer le goût du sperme.
Tu prends son sexe dans la main et tu commences à le sucer.
Ses deux amis viennent se placer autour de toi et tu les branles.
Tu les suces, tu les lèches, tu branles et tu alternes entre eux comme la parfaite salope que tu es.
Au bout d'un moment, je me place derrière toi et je t'empêche d'enlever ta tête quand tu le veux.
Jusqu'à ce que tu n'en puisses plus. Jusqu'à ce que tu t'étouffes presque et commences à dégouliner de salive et de crachat.
- Mais baisez cette pute comme elle mérite. Prenez sa bouche et baisez là comme la chienne en chaleur qu'elle est.
Et ils semblent, enfin, se lâcher. Quelques minutes de ce traitement, le premier se positionne en face de toi.
- Ouvre la bouche, chienne, tire la langue jusqu'à ce qu'ils aient fini et toi fous-lui en partout. Sur son visage, dans sa bouche, que ça ruisselle jusqu'à son maillot de bain, haut de maillot qui est déjà blanchi par la salive.
Et il s'exécute. Wow ça devait faire longtemps parce qu'il t'en fout vraiment partout sur le visage.
Les deux autres ne sont pas en reste et tu te retrouves complètement couverte. Entre leur sperme, la salive et les crachats, il est même difficile de te reconnaître.
- Pas bouger !
Tu restes immobile pendant que les hommes se rhabillent.
- Merci de nous avoir prêté ta chienne.
- Merci à vous d'en avoir fait une vraie pute.
Ils commencent à s'éloigner. Tu as toujours la bouche ouverte, la langue pleine de sperme sortie.
Je te crache dessus et je te dis que tu peux avaler. Lave-toi. Doigt après doigt, récupère sur ton corps et lèche. Enlève ton haut et lèche-le jusqu'à ce qu'il soit noir à nouveau.
Et avant qu'ils disparaissent, continuant leur route, je leur crie
- À demain, mais amenez cinq euros cette fois !