mael
par le 12/08/24
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Mary suit la progression des troupes d'élite du général en chef Syrskyi sur ses écrans. 4 satellites américains suivent cela avec une précision phénoménale. Une intelligence artificielle analyse toutes les images,  toutes les conversations, toutes les informations avec une puissance de calcul qui dépasse l'entendement. Les missiles et obus tombent au mètre près pour détruire les positions russes. Ces derniers ne sont pas en reste pour répliquer. Une opération de la dernière chance. Le front est en train de s'effondrer plus au sud. Cela fait penser à l'offensive allemande dans les Ardennes, fin 1944. Le général Syrskyi veut refaire le coup de l'offensive du Tet au Vietnam en 1968, créer un choc psychologique. Pas certain que cela marche avec les russes qui sont très résilients.  C'est même fort peu probable et cela risque de tourner au desastre en cas d'échec. Les meilleures troupes auront été brûlées en vain. 

Mary en est ainsi dans ses réflexions devant ses écrans dans son bunker ultra sécurisé de la CIA dans la banlieue de Kiev. Elle se croit à  l'abri et fume comme à son habitude un gros havane. C'est son seul défaut.  Une addiction complète à la nicotine des feuilles de tabac pur. 

Elle n'a rien entendu, rien vu venir. Aucune alarme ne s'est déclenchée.  Une main puissante lui ferme d'un coup la bouche et l'autre l'immobilise avec une clé qui lui fait très mal à l'épaule. 

-Bouge pas ma cocotte. Je vais t'enculer et cela va te faire jouir. 

Mary a tout de suite reconnu la voix du général Valéri.  Comment ce monstre sanguinaire a-t-il fait pour arriver jusqu'à elle? Tout à coup elle a très peur. Une asiatique lourdement armée la regarde de façon bizarre, comme un serpent qui regarde une souris. C'est tout un commando de la milice Stalin qui vient de neutraliser  son bunker ultra sécurisé, comme de rien, sans même tirer un coup de feu. Tous ses gardes ont du être éliminés à la main ou au couteau. Elle est seule face à des tueurs sans états d'âme, des monstres froids. 

Valeri la plaque sur son bureau et remonte sa jupe.  Elle n'a pas mis de culotte ce matin. Il découvre un fessier somptueux.  Il encule Mary d'un coup de rein violent. Cette dernière hurle de douleur. C'est la première fois qu'elle se fait prendre par l'anus. Son Elon n'aime pas passer par la. C'est terrible cette douleur.   Cela lui vrille le cerveau. Valeri s'en fout. Il la pistone à présent  sans le moindre ménagement. Mary sent son anus se détendre et la douleur se dissiper. C'est con, mais elle commence à mouiller de la chatte.

- Tu vois que cela te plaît, grosse salope. Et  en même temps qu'il la viole par le cul,  il lui frappe les fesses de plus en plus fort. Mary s'est mise à bramer devant la tueuse asiatique avec un fin rictus de dégoût sur les lèvres.  Cette vision déclenche le premier orgasmes de Mary. Violent, soudain, incontrôlable. Elle se tetanise et tremble. Elle jouit par le cul et sa chatte ruisselle à présent. Son clito dressé pointe à travers les poils soyeux de sa chatte trempée de cyprine. 

-Tu vois que t'aime cela,  ma jolie. T'as un gros cul de rêve. Putain que c'est bon.

Et Mary est repartie à bramer et à jouir, encore et encore. Lorsque Valeri à vidé son sperme en elle,  une vague de plaisir et de chaleur l'a inondée. Mais ce n'était pas fini. Tout le commando a voulu venir l'engrosser dans son splendide gros cul. C'est pas tous les jours que l'on baise une chef d'agence de la CIA.  Et pour finir, les fesses ruisselantes de sperme, Mary a du à quatre pattes bouffer la chatte de l'asiatique et lui sucer le clito pour lui donner un orgasme. Une lesbienne, cette tueuse asiatique. 

-Bon, les prestations faites,  sers nous un whisky avant qu'on reparte et rallume ton havane, on a à discuter tous les deux. 

Une souris entre les griffes d'une bande de gros matous et d'une chatte dominante aux griffes acérées. Mary s'est mise à obéir.  Une tournante dans son bunker. Comment a t'elle pu être aussi nulle pour sa propre sécurité et celle de ses hommes ou femmes face à ces tueurs et soudards de la milice Stalin. 

Mary s'est mise à table, brisée par le viol collectif qu'elle a du subir et où,  honte suprême, elle a joui en cascade. 

- Bon on sait ce que l'on veut savoir. Tu vas faire la sieste à présent.  Quand tu te réveilleras nous serons déjà très loin, en train de siroter une vodka glacée, dans notre base en Russie. Alors relax, ma cocotte et fait pas chier, sinon la prochaine fois nous viendrons pour t'empaler au dessus d'un missile de 120 mm.  

Et Mary est partie dans les pommes. Personne n'avait touché à sa chatte. L'honneur était sauf. Elon pourra toujours la prendre par là pour lui faire un enfant. Un viol par les fesses, cela ne compte pas. Ses dernières pensées avant le plongeon dans un long sommeil. 

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Antoinette
Le baromètre c'est BHL. Là ou il va, c'est un desastre assuré.
J'aime 12/08/24
Antoinette
BHL avec le général Syrskyi.
J'aime 12/08/24
mael
C'est fort juste. On peut encore voir le desastre BHL,-Sarkozy en Lybie. Les prétendus philosophes va t'en guerre avec que de belles paroles sont les pires .
J'aime 12/08/24
Antoinette
Existe t'il un risque d'usage de l'arme nucléaire tactique ? Sur le sol russe, c'est prévu dans leur doctrine militaire.
J'aime 12/08/24
mael
Écrire des fictions à partir de personnages ou d'événements réels.....rien de nouveau sous le soleil.
J'aime 13/08/24
Demonlover
Appréciez donc la fantaisie du récit sans forcément vouloir rattacher ce texte à une actualité quelconque, la vérité, c'est que peut importe ce qu'on pense Quand aux actes guerriers et meurtriers qui sont perpétrés, c'est toujours ainsi en temps de guerre et : Dites vous bien 1 nous n'y pouvons rien... 2 nous ne sommes pas concernés (pourquoi vouloir systématiquement se mêler des guerres qui ont lieu dans des pays étrangers?) 3 quand au pire, s'il arrive, nous n'y pourrons rien non plus , et nous n'aurons pas véritablement le temps de nous en apercevoir Et si l'on y réfléchit bien, la terre vivra bien mieux sans l'être humain pour la dégrader, la détruire alors carpe diem.
J'aime 15/08/24 Edité
mael
@Demonlover. C'est exactement cela. Une fiction doit rester une fiction, c'est sans prétention. Son but est de générer des images mentales avec des mots. Ce n'est pas la réalité, il n'existe aucun message à l'intérieur, juste une liberté d'imaginer une histoire et de la raconter.
J'aime 15/08/24
mael
La deuxième bataille de Koursk a un côté amusant question stratégie. Les russes étaient au courant de l'attaque et ils se sont retirés avant. Pourquoi ? Pour attirer les meilleures troupes ukrainiennes dans une "victoire" pour rien. Pendant cela , l'avancée plus au sud continue et le front ukrainien manque de troupes. Cette augmentation de la ligne de front fragilise l'Ukraine et coup double pour les russes, ils ne sont pas les agresseurs. Cela va ressouder encore plus la Russie contre l'occident. Un effet inverse de celui de l'offensive du Tet en 1968. Syrskyi à t'il commis une erreur stratégique majeure qui ça lui coûter la guerre ? Rires. Avec notre BHL comme conseiller, c'était des conneries assurées.
J'aime 16/08/24