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Depuis l’antiquité, la manipulation du téton est connue pour être douloureuse, mais paradoxalement appréciée par le soumis qui « goûte » à la douleur comme un plaisir mais aussi par le dominant qui se délecte de la douleur qu’il inflige à son soumis. Le Kama Sutra, en 300 avant notre ère expliquait déjà la manière de donner des coups, de mordre et de flageller cette partie du corps, extraordinaire outil d'expériences.
Aujourd’hui, une des nombreuses variantes de l'électrostimulation érotique est le taquinement des tétons à l'aide de pinces ou tout autre instrument reliés à une pile électrique.
En tant que soumis, l’émotion que l’on ressent est due au fait d'être nu et vulnérable devant les personnes présentes pendant la séance, et plus particulièrement devant son dominant envers lequel il noue une relation particulière.
Le plaisir sexuel ressenti par la douleur, appelé “algolagnie“, est provoqué par la libération d’endorphines au moment de la souffrance.
Le visuel a une grande importance, c’est pour cette raison que le soumis, quel que soit son âge, doit soigner son apparence. Il n’est pas rare que le dominant face appel à la “vincilagnie“, c’est-à-dire au bondage, pour mieux se délecter de la structure des pectoraux et la saillie des tétons.
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Cinq ans déjà que tu nous as quitté, alors que tu étais à peine sorti de l’adolescence.
Je me souviens du moment où je te préparais à l’acte d’amour. Je ne t’ai jamais dit que je t’aimais passionnément. La douleur que je t’infligeais et à laquelle tu consentais de bonne grâce, représentait, à chaque séance, un fragment de discours amoureux, et révélait quelques clés du désir.
Les quelques mots que je m’employais toutefois à utiliser, le plus justement possible, réveillaient en toi et en moi un désir ardent. Mon langage érotique était rarement cru, parfois tendre et toujours amoureux.
Attaché, contraint, soumis, tu avais le désir d'affronter chaque jour un peu plus de douleur sur laquelle nous nous entendions avant chaque séance.
Tu me suppliais parfois d’arrêter, sans prononcer ton saveword. Alors je poursuivais bien que la douleur t'arrachait des larmes qui ruisselaient le long de tes joues.
Les pinces mordaient tes tétons et l’intensité électrique les rendait plus sensibles encore. Le fouet laissait des traces bleutées sur ton dos ou ton abdomen, et je trouvais cela beau. La vision de ta nudité m’invitait à poursuivre et l’endorphine que produisait ton corps au moment de la douleur suscitait en toi le désir de poursuivre et de recommencer.
Pendant les deux ans que nous nous sommes connus, je t’ai toujours trouvé beau et désirable. Avant de te toucher, je te regardais toujours quelques instants. Tu réclamais un baiser que je te refusais et mon attitude te faisait perdre la tête.
Oui, voilà cinq ans que tu as succombé sous les coups d’homophobes malveillants alors que tu venais me rejoindre pour la fête. C’était le 14 février, c’était ma fête et aussi mon anniversaire.
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Jadis, dans ma jeunesse, je me suis posé la question de savoir au fond, ce qu'est la sensualité. J'y ai réfléchi longuement au cours de ma vie. Au fil des ans, j'ai découvert à quel point les cinq sens peuvent être sollicités dans les moments d'intense bonheur où le maitre et le soumis s'offrent des moments de partage, avec allégresse et passion.
Lorsque nos cinq sens sont en éveil, nous prenons mieux conscience de nos désirs et nous ressentons mieux les choses lorsque nous les nommons.
Le premier regard
Imagine que toi, soumis, tu rentres dans la pièce. Une pièce entièrement blanche, lumineuse. Une chaise pour fucking trône au milieu de la pièce ornée d'anneaux pour attacher tes poignets et tes chevilles. Une table métallique se trouve dans un coin. Au mur est accrochée une croix de Saint-André et une archelle où pendent fouets, cravaches, cannes et d'autres accessoires pour t'offrir diverses minardises.
Tu est entré dans cette salle suivi de ton dominant en qui tu as entièrement confiance. Tu sais qu'il t'aime. Tu te sens beau et désirable pour ton dominant.
Le goût et le toucher
Derrière toi, ton dominant referme la porte. Vous êtes toi et lui. Il t'invite à t'asseoir, Tu es nu. Il t'attache les mains et ne peut s'empêcher d'étirer tes tétons, ce qui t'arrache un petit gémissement. Cette légère douleur, c'est un pur plaisir. Il mordille un peu le lobe de ton oreille et pour te mettre en forme, il te caresse le dos, redescend fouiller dans tes poils pubiens. J'aime bien cette forêt de poils. Il saisit très délicatement ta verge, l'étire un peu, pratique quelques vas et viens lents que tu savoures. Il saisit tes testicules vigoureusement, ce qui t'arrache un nouveau râle.
En attachant tes chevilles, il caresse tes jambes et ton entre-cuisse, ce qui te rend dingue.
Il est debout devant toi, en slip. Tu vois grossir sa bosse, tu as envie d'y goûter. Il comprend et s'approche. Ta bouche est à queques centimètres. il baisse son slip et tu attrapes sa verge que tu suces, son gland que tu lèches. C'est meilleur qu'une crème glacée.
L'odorat et l'ouïe
Ton dominant t'a bandé les yeux. Tu tentes d'écouter le moindre bruit, tu tentes de humer la moindre odeur. Le bruit d'un instrument qu'on pose sur la table. Qu'est ce que çà peut être. Il y a aussi une odeur qui n'est pas désagréable. Ce doit être une bougie parfumée.
De sa voix posée, il te dit: "çà va faire un peu mal, mais c'est pour ton bien". Sa voix t'envoûte et'apaise. Tu ne ressens pas du tout de stress car tu as confiance en lui. Même en étant délicat, les pinces qu'il met en place te mordent les tétons et, effectivement, c'est douloureux. Tu devines que bientôt, cela fera plus mal encore.
Il te rassure en laissant courir quelques instants sa main sur ta hampe, en la faisant remonter vers le gland en titillant le frein au passage.
Ca y est, tu sens l'intensité du courant de plus en plus forte. Ce qui te fait tenir malgré la douleur, c'est que tu sais qu'à ce moment ton corps fabrique de l'endorphine qui te donnera l'envie de recommencer et de goûter encore à cette douleur de bien-être.
le toucher et la vue
Si le goût et le toucher sont intimement liés, la vue et le toucher revêtent une grande importance. Ton dominant le sait. Il t'enlève le bandeau, et tu remarques qu'il a en main le fouet qu'il pose autour de ton cou. Tu ressents la texture des différentes lanières. Tu n'es pas stressé. Tu as déjà ressenti les effets du fouet sur ton corps.
Tu vois le premier coup s'abattre sur ton ventre, singlant, bruyant. Tu ressens la douleur piquante en même temps que la morsure de l'électro sur tes tétons. Mais tu n'es pas encore prêt à utiliser ton save word. Tu gémis et le dominant se délecte de tes gémissements. Il te regarde, et à ce moment, il te trouve très beau.
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J'ai également les tétons sensibles et lorsqu'ils sont travaillés par des pinces ou des doigts agiles ou des aiguilles, cela me provoque une belle érection.
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Bonjour à tous
Bonjour à tous et à toutes. Comme vous l'aurez lu en parcourant mon profil, je ne suis plus de première jeunesse. Toutefois, l'homme a trois vies: la vie publique que tout le monde connait, la vie privée partagée avec l'entourage proche, et la vie secrète qui ne peut être partagée qu'avec des personnes de onfiance et capables découter sans juger.
Après 42 ans de mariage, mon épouse ne sait toujours pas que j'aurais aimer m'inscrire dans une "sexualité chocolat", afin de fabriquer les endorphines indispensables au bonheur. Je ne lui ai jamis dit car elle n'a pas cette capacité d'écouter, de comprendre sans juger. André Malraux disait d'ailleurs que "juger, c'est de toute évidence ne pas comprendre."
Alors aujourd'hui, je vais tenter une aventure nouvelle avec tous et toutes. Même si ma préférence va vers les garçons, du moins en BDSM, je suis ouvert à la discussion avec tous et toutes.
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