MarquisDeJade

Bonjour Lilas, Sur le premier point, qui n'est pas le sujet de ce fil, je ne suis pas d'accord avec vous et je me sens pas très avantagé, ni que la société soit si stéréotypée et avantageuse pour l'homme blanc normal, mais bon, comme je l'ai dit ce n'est pas le sujet ici. Je vous remercie de la suite de votre témoignage. Juste pour faire un peu le tri, je pense que suivant le cas, nous pouvons ou non, vouloir, ou avoir le désir ou la nécessité de montrer le mode de relation que nous avons; - En public, supposé ne pas nous connaitre (en ville...) - Avec des proches, ami(e)s qui sont ouverts ou vanilles - En Famille, parents... - Travail Et pour revenir au sujet de vie commune ou même vie tout court, nous pouvons vouloir être en permanence dans un rôle ou seulement dans l'intimité, ou même parfois peut-être intervertir les rôles ?

En même temps, le sujet que j'ai mis, vie commune BDSM, est quelque part aussi le sujet vie commune de couple homosexuel ou autre, transgenre... même si dans le cadre transgenre la question se pose sans vie commune, c'est à dire de toutes sexualités différentes des standards. C'est à dire est-ce que on montre aux autres ou non et jusqu'à qu'elles limites... Ce qui va avec et qui est bien dit par FemmeFemelleEsclave ou la relation me semble en fait "normale" c'est à dire standard en dehors du strict intime. Ce n'est pas mon cas ou j'utilise le vouvoiement y compris d'ex soumise devenues amies et devant ma famille, par exemple un Noël devant ma mère, frère, enfants... Chacun voit à sa façon, ce qui m'intéresse et je l'espère du forum, n'est pas la revendication ici, crier sur les forums BDSM ou autre, mais plus la réalité, la vie que l'on a en tant que Dominant(e), Soumis(e)... Non pas, non plus pour dire que ceux qui n'assument pas de montrer ce qu'ils sont en public sont nuls, du genre si tu sodomises pas en public et devant tes gamins c'est que t'assumes pas (genre compétition lamentable = cf se soigner), mais plus, les raisons, comment être bien avec soi, avec l'autre et dans la société. En corollaire, bien sûr, de nombreuses personnes, vont en apparence avoir une vie "bien", marié(e)s, enfants... et vont en cachette tromper pour réaliser leurs pulsions. Et donc le sujet est aussi qu'est ce qui fait le choix d'aller vers une relation différente. Bien à vous

Bonjour, Je crois que vous vous trompez sur mes propos ou plutôt qu’intentionnellement vous voulez y voir de l'homophobie. Bref, j'ai pris cet exemple, car très concrètement, j'ai eu la garde de ma fille et en couple, donc D/s, libertin. Clairement ce n'est parce que nous sommes libertin que l'on va partouzer devant nos enfants, alors pouvez crier que c'est du 1950, m’enfin, pour moi c'est hors de question, ni même sans être libertin baiser directement devant les enfants, en le montrant volontairement. Donc ma fille n'étant pas totalement idiote, nous voyait sortir discrètement dans des tenues bizarroïde et à un moment m'a posé des questions, dans le genre "Papa c'est n'importe quoi ce que vous faites, ce n'est pas normal", genre en colère contre moi... J'ai donc cherché comment expliquer, dans la société actuelle, ne vous en déplaise, l'homosexualité est moralement admise, beaucoup moins d'être un homme blanc, Dominant, libertin "usant et abusant sexuellement de la femme ou des femmes..." (Voir les sujets féminismes ici même) J'ai alors dit à ma fille, si j'étais homosexuel, j'aurais un compagnon à la maison, qui vivrait avec nous, je ne le suis pas, mais j'ai une sexualité différente avec xxx, ma compagne. C'est la notre, tu auras toi plus tard celle que tu veux toi. Point. Que les personnes homosexuelles (pas vous Phenix car dans la haine) m'excusent d'avoir utilisé cet argument, mais je ne savais comment faire, pour expliquer mon droit à avoir ma sexualité masculine hétéro, genré et multiple.

Bonjour Salomé, Merci de votre témoignage, pas facile de dire, en effet. Chez moi, un noël, ma mère, mon frère, ma fille et une amie, qui m'a été soumise, mais ne l'était plus, seule pour noël. Mon frère a été énervé qu'elle me vouvoie, elle lui a dit que c'était moi, je connais bien mon amie, ex soumise, très intelligente, ex aussi directrice de prison d'hommes, en réel... (Car la relation d'amitié est au delà d'un simple plan, d'un simple jeu) J'ai juste souri à mon frère, et j'ai dit, oui, j'aime le vouvoiement. Ma fille sachant depuis bien plus longtemps, ma mère moins, mais bien calmée. 50 nuances de grey reste des fantasmes, ce qu'ont besoin ceux qui sont vraiment en relation avec nous est de savoir qui nous sommes de la réalité de nos liens y compris avec eux, alors il faut dire, pas les détails, évidemment, mais dire je suis, j'ai une sexualité différente, je ne vais pas te dire laquelle, car c'est mon intimité avec celui, celle que j'aime, avec ceux ou celles que j'aime.... Après; ou avant; Ce peut être juste un fantasme, un jeu d'un moment, et là autant ne pas dire.

Bonjour Goler896, Je vous donne ma façon de voir ou d'être sur la visibilité du mode de relation vis à vis de la société. Pour bien comprendre la situation j'utilise une analogie celle d'un couple homosexuel. Vous vivez en couple homosexuel, en plus vous avez votre enfant à charge, difficile de lui cacher, après possible de cacher à sa famille, mais bon. A ses ami(e)s possible aussi, mais quel intérêt si relation réellement d'amitié. Ensuite au travail, la c'est un choix, pour moi, ils n'ont pas besoin de savoir, comme les impôts ou autre. Il ne s'agit pas de montrer ses marques ou d'être en tenue, collier et laisse en famille ou devant son enfant, non, évidemment que non, comme un couple homosexuel ou lesbien ne va pas faire de démonstration ultra-visible devant ses proches. Mais à un moment, avec les mots, dire, s'expliquer, en disant j'ai, nous avons une sexualité différente, cela me semble nécessaire, je répète si relation durable, vie commune, pas aller dire à toute sa famille et ses enfants, qu'on à fait un soir un plan à 3 ou qu'on à reçu ou donné un fessée. J'ai du dire par exemple à ma fille qui vivait avec moi, car ma compagne vivait avec nous, les enfants ne sont pas aveugles, et il vaut mieux dire, si la question est posée que de laisser le silence. En conclusion, si ce sont juste des fantasmes, des envies passagères, alors autant ne rien montrer et cacher, ce qui de toute façon est caché, car peu de réel, surtout des fantasmes, dans ce cas autant écrire par exemple ses fantasmes. Si par contre, ce pas que des fantasmes mais aussi une réalité de relation alors autant dire, en respectant le fait que les autres, même s'ils peuvent avoir ces fantasmes, n'aient pas ces choix de vie, donc vous n'allez pas être en laisse devant votre famille par exemple. Sur les jeux en public, public inconnu, c'est un autre sujet.

Bonjour, Tout le monde à le droit de répondre, cela peut aussi s'adresser aux couples Maîtresse/soumis ou couples homosexuel(le)s. Votre couple me semble trouver un équilibre qui vous convient. J'ai eu et j'ai le désir d'une relation qui va plus loin, y compris avec le vouvoiement devant les proches, ce que j'ai l'habitude de faire en fait, je suis resté ami avec des ex compagne et nous continuons à nous vouvoyer devant nos amis, famille... Je serais plutôt vie commune, toujours dans mode D/s, ce qui n'empêche pas des discutions franches, un partage des tâches quotidiennes, même si ce partage se fait selon des choix imposés. Il est donc question d'imposer, pas sur tout les sujets, par exemple pas sur le travail ou la vie sociale, mais d'imposer bien-sûr sur l'intimité, mais aussi sur les façons d'être ensemble, que la soumise prenne soin d'elle... Sur l'argent, chacun à sa façon de voir, je n'aime pas l'idée de profiter de l'autre, cependant j'aime cadrer ma soumise, surveiller ses dépenses personnelles, ses achats. J'aurais aussi tendance à régler les sorties. Ma pratique sur l'argent est globalement un partage en fonction des moyens de chacun et cela en vérifiant les comptes de ma soumise.

Bonjour Oquello et merci de votre réponse. Ma façon de faire diffère un peu, bien sûr, sur l'engagement c'est un réel engagement ce qui n'est pas évident, l'engagement dans la relation n'étant pas vraiment courant de nos jours. Ma soumise ou même esclave par certains côtés n'est pas ma copine mais ma compagne et la franchise est de mise de sa part comme de la mienne, de même mon rôle est aussi de la soutenir dans la difficulté, de nous soutenir ensemble dans les mauvais moments. Mon objectif vis à vis de ma soumise est de la rendre heureuse et ce parfois malgré elle-même. J'aime qu'il y ait des règles au quotidien, qu'il y ait un état d'esprit dans la relation ou ma compagne est mon objet de plaisir, cela va à l'inverse de certains féminismes qui prône que la femme n'est pas un objet, cependant c'est aussi la liberté de la femme que de choisir d'être objet de plaisir ou non. Comme vous sur les décisions de vie commune, il doit y avoir discussion, concertation et parfois compromis si cela sort du champs du mode de relation D/s. Bien à vous

Hors sujet, Patron, du fil...

Un pensée complémentaire avant le taf. Vous vous imaginez des jeunes mecs avec des pancartes "Suce ma bite pas les ressources de la planète" avec les médias qui s'en empare pour parlez de la libération de la parole des garçons et de leurs prise de conscience écologiste. Bref, le ridicule ne tue pas!

Ouaif, j'ai comme un doute sur l’intérêt profond d'un clito géant, au dessus de notre dame à peut être renommer en notre non-genre , car en dehors des gamines de 15ans éco-féministe du genre "bouffe ma chatte pas la planète" d'après les réactions de sur ce fil, les femmes n'ont absolument pas besoin des hommes, devrait-je dire, "des pauv' choupinets aux burnes pleines". Peut-être un doigt d'honneur en femmage à ces juste féministes serait-il plus approprié qu'un symbole phallique ?

Mais est ce que c'était un renard ou une renarde ? Quand au souci de vidange d'Edoné, certes, certes, mais à l'inverse lorsque la vidange est impossible ça fini par encrasser et noircir le cerveaux. Je précise que la vidange est toujours possible pour un homme que ce soit à l'aide de sa main ou simplement en dormant, par contre pour une femme l'aide d'un autre est le plus souvent indispensable...