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Max-Him

Homme Dominateur. Vit à Blois, Centre, France. 73 ans. est marié(e).
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 11/10/24
Il y a quelques temps, une « amie » me reprochait gentiment mes commentaires (en privé) sur ses piercings et autres tatouages. En fait je ne suis pas fan des anneaux dans le nez (ça me rappelle les taureaux de mon enfance), ni des piercings sur la langue. Ce n’est en aucune façon un jugement, mais juste une non-appétence pour ce style d’apparat.   Quant aux tatouages, ceux-ci avaient pour but de se démarquer des autres, de se singulariser en exprimant une part de soi. C’est la « banalisation » desdits tatouages qui aujourd’hui m’en éloigne. Je ne les rejette pas mais ils ne m’émeuvent ni ne m’attirent plus. C’est un constat établi par rapport à mes goûts, mes désirs, mon imaginaire.   Loin de moi l’idée de porter le moindre jugement, la moindre critique. On peut aimer le Bourgogne sans apprécier le Bordeaux, et inversement !!!  
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Par : le 09/10/24
Ils sont arrivés vers minuit. Elégants mais sobrement vêtus ; elle d’une robe longue et noire laissant les épaules nues, lui d’un costume sombre. Ils se sont assis à l’écart et ont commencé à parler à voix basse. Très proches l’un de l’autre. Il était difficile de leur donner un âge : elle, peu grande, plutôt ronde, la cinquantaine ; lui, élancé, sévère, plus de 60 ans. Ils sont restés longtemps assis, buvant, parlant toujours à voix basse, semblant ne pas se soucier des autres autours d’eux. Comme des amoureux. Comme des complices. Le temps s’écoulait dans l’entrechoc des verres, des volutes de fumée, des chuchotements. Vers deux heures, ils se sont levés et ont disparu dans la pièce voisine. J’ai attendu un peu, puis à mon tour, je suis passé dans l’autre pièce.   Elle avait quitté sa robe et conservé ses dessous ainsi que ses escarpins. Lui, affairé à l’attacher à la croix, ne s’était défait ni de son veston ni de son allure austère. Quant elle eut les mains liées, visage contre le mur, il ne parvint pas à lui attacher les chevilles. Renonçant à perdre du temps à chercher d’autres liens, il murmura simplement : "écarte bien tes pieds je te prie". Sa voix était grave, posée, impérieuse. Elle obtempéra et je l’observai : peu grande donc, poitrine avenante, hanches larges, fesses rebondies. Elle dégageait plus de charme que de beauté. Elle était là, peau blanche dans la pénombre, attendant de vivre ce à quoi ils s’étaient calmement préparés.   De ma place, debout contre le mur, je me faisais observateur muet et immobile. La cravache arriva par petites touches sur les fesses puis le dos. Les coups étaient mesurés. Calculés. Lui, du regard, estimait les réactions de sa compagne et faisait varier le rythme comme un écho aux mouvements et à la respiration de la femme. Le bruit de la cravache s’amplifiait. La peau s’échauffait et le corps ondulait. La précision. La force. La détermination.   Des petits gémissements survinrent. Il s’approcha d’elle et lui susurra quelques mots puis passa délicatement sa main sur son dos. Pfouit fouit fouit !!! Trois coups secs. Trois gémissements. A nouveau les mots doux et la caresse. Et il continua ce ballet de coups, de mots doux, de caresses apaisant le feu.   Tandis qu’elle reprenait son souffle, je le vis poser la cravache et revenir avec un martinet aux longues lanières de cuir. "Ecarte les jambes je te prie"…. Il cherchait la meilleure place pour, ni trop près ni trop loin, économiser ses gestes et assurer l’efficacité des lanières.   Doucement d’abord puis vivement ensuite, il frappa. La femme entamait des contorsions significatives. Comme une montée chromatique, l’homme dosait ses effets, fesses, dos, fesses, dos, cuisses, flans, fesses… et faisait monter les geignements. A chaque coup et cris plus marqués, il s’arrêtait, chuchotait quelques mots à l’oreille de sa "victime"… caressait les parties les plus rosissantes et reprenait la cadence.   Et cela dura. La peau devenait plus sensible, plus chaude. Les frappes étaient plus variées, prenant par surprise ce corps qui, sous les coups et les plaintes dansait et devenait liane au vent. Telle une ballerine affolée, pliée sous la tempête, elle gémissait ; et les coups devenaient série, violents, intenses.   J’étais à l’Opéra. Spectateur ému et troublé.   L’homme s’arrêta soudain, et sans un mot se tourna vers moi et me tendit le martinet tandis que le souffle haché, le dos et les fesses marqués la femme continuait d’offrir sa nudité meurtrie et sublime. D’un sourire je refusais l’offre, trop heureux de pouvoir jouir, égoïstement, de ce que l’on m’offrait sans que je ne fisse quoi que ce soit.   Alors, comme pour me faire regretter ma renonciation, l’homme fit virevolter le martinet, frappa ici, là et puis là, et ici encore avec tant de vigueur que sa compagne céda enfin, laissa aller ses gémissements devenus exhortations, et dans une communion "dramatique" nous offrit son abandon.   Il la consola, la détacha et la conduisit vers moi. "Madame" lui dis-je, "je vous remercie pour l’émotion que vous m’avez donnée". Je lui baisai la main et les abandonnai tandis qu’elle se revêtait.   Club Cris & Chuchotements 22 juin 2012 © PL Shujin Max-Him 2016      
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Par : le 03/10/24
  Je dois le dire : Martine est une "chic fille".     Je l'ai connue il y a quelques années alors que j'étais Consultant pour le Crédit Foncier. Murielle, sa conseillère BNP lui avait proposé un rendez-vous avec un spécialiste de la défiscalisation immobilière.   Sans qu'il fût besoin de dire ou faire quoi que ce soit, nous avions compris que notre relation ne se limiterait pas aux convenances professionnelles.   Une fois scellée l'opération financière, j'invitai Martine à un dîner … de clôture … place Parmentier. Elle était arrivée dans sa tenue de « Wonder woman », tailleur sobre, talons hauts, lunettes Hollywood, et chapeau Garbo.   Passé le Canard Laqué, passés les rares mots convenus, mes doigts, déjà, touchaient les siens. Dans la demi-clarté nos sourires croisés consumaient le faible espace qui nous séparait.   Table. Couverts. Thé.   Déjà la rue nous absorbait et son souffle coupait le mien.   Bien que ma maison fût à quelques mètres de là, je savais que c'était chez elle qu'il me faudrait la prendre.   Voiture, jupe remontée, ma main, déjà ; sur sa cuisse.   Martine habitait près du Pont ; de chez elle on distinguait et la Seine et l'immeuble de la Sacem. Son appartement très bourgeois et pourtant très coloré me convenait, et tandis qu'elle passait à ma portée, deux coupes à la main je m'imprégnais du lieu. Repères, marques, espace. Grandes et hautes fenêtres, voilages, lumière tamisée, une commode, quelques fauteuils, une table basse. Les coupes s'entrechoquent. Les bulles éclatent. Nos lèvres se touchent.   Sa bouche est fraîche comme un printemps. Son ventre se colle au mien. Je relève l'étroite jupe et caresse ses fesses. Rebondies. Fermes. Satinées sous mes doigts.   La veste puis le corsage nous quittent. Elle ne porte aucun sous-vêtement. Je n'ai pas eu à le lui demander pour qu'elle soit ainsi. Mais c'est ainsi qu'elle devait être. La jupe s'évapore, et elle est là, nue, incroyablement nue tant elle est belle. Jamais depuis Paule je n'ai contemplé telle perfection. Martine est grande. Brune avec des yeux gris-vert, presque pairs, un long cou et des épaules carrées. Ses seins sont étonnamment haut perchés, ronds, les mamelons assez proéminents et l'aréole joliment teintée. Son ventre est fort plat et ferme, ses hanches sont assez galbées, ses cuisses longues et musclées mais sans excès. Je la contemple, je la détaille, je jauge.   Je me souviens de cette scène et de son intensité. Je me suis écarté puis assis dans un fauteuil :   "Tournez-vous je vous prie ! Ecartez légèrement vos jambes"… La colonne vertébrale creuse un profond sillon sur son dos. Deux fossettes précèdent ses fesses curieusement rondes elles aussi pour une silhouette  pourtant sportive.   "Penchez-vous. Posez vos mains sur la table et écartez vos jambes. Encore un peu. Là, c'est bien".   Elle est restée dans cette posture, tête plus basse que le bassin,  tout le temps qu'avait nécessité ma contemplation. Je distinguais le renflement de son sexe encadré par ses cuisses, ses seins, la raie de ses fesses légèrement entrouverte. Son souffle était saccadé, et parfois, une vague la faisait onduler. De mon fauteuil j'assistais à la montée de son excitation. Sans mots. Sans gestes inutiles.   Quand j'estimai que ses bras devaient commencer à être douloureux, je lui demandai de se redresser et de s'asseoir sur la petite table, jambes largement écartées, buste cambré et tête rejetée en arrière. Je savais la position inconfortable et cela me ravissait.   Je la trouvais vraiment très belle et ma propre excitation devenait visible. Elle trembla et je sentis que son dos et ses bras la faisaient souffrir.  Son ventre était offert et son pubis arborait une toison aussi noire que ses cheveux. Se teinte t-elle là aussi ? pensais-je.   "Redressez-vous. Baissez les yeux et approchez".   J'ai posé mon bras droit sur le bras du fauteuil. Ma main en dépasse et, de mes doigts, je fais signe à Martine d'approcher. Quand elle est à portée, elle comprend que le chemin s'arrête justement à mes doigts. Il me suffit d'à peine relever l'avant bras pour que je sois dans sa moiteur. Doucement elle commence à onduler et je la sens couler tandis qu'elle geint et accélère son rythme.   Je suis heureux : je sais qu'elle va jouir ; et à coups de boutoir elle va, par ma main, chercher son plaisir dans sa fente épanouie.   Elle a crié, coulé abondamment, puis, son souffle revenu, sans un mot, elle s'est agenouillée.     Maxime   Neuilly-sur-Seine  
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Par : le 06/10/23
Je suis un peu lassé des clichés et autres tartes à la crème qui pullulent (ici et ailleurs) /   Feeling  (et pourquoi pas : Affinités, complicité, connivence, harmonie… en français on a le choix !) Plus si affinités (encore une tarte à la crème) AUTOUR  d’un verre (et pourquoi pas … DEVANT ?) Hygiène irréprochable (dommage : sale, négligé, crasseux, contagieux… c’est tellement bon !) Prise de tête (sans complication, sans se prendre le chou, simplement… là aussi on a le choix) Mort de faim (en manque, frustré, et pourquoi pas « obsédé », ça changerait un peu) Couple uni (voire fusionnel !) jamais l’un sans l’autre La qualité plutôt que la quantité Jamais l’un sans l’autre Maîtres mots Je ne mords pas Je sais ce que je veux et ce que je ne veux pas Passer de bons moments … Et tout ceci n’est pas exhaustif, bien sûr !  
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Par : le 16/03/22
C’était un appartement comme il y en avait beaucoup dans cette partie de la ville. Haussmannien, avec ses grands volumes, ses hauts plafonds. Bien qu’assez classique, la décoration présentait de ci de là, des éléments contemporains choisis avec goût et subtilité. Sylvia n’aurait su dire combien de personnes buvaient, mangeaient, riaient, s’interpellaient, mais le lieu était comme envahi par une foule anonyme et élégante. Ce qui avait retenu l’attention de Sylvia, c’était cette femme, assez grande, mince, brune, la peau mate, les yeux comme enfoncés dans leurs orbites, belle, étrange, et d’autant plus étrange que sa tenue de mousseline presque transparente laissait deviner un corps harmonieux au ventre pat, à la poitrine aérienne bien que généreuse, et qui semblait à la fois nue et vêtue. « Qui est-ce ? » demanda-t-elle à Eric. « Ah, ah ! Elle est la servante du lieu ! ». Sylvia ne comprenait pas ce que cela voulait dire et alors qu’elle allait insister auprès d’Eric pour en savoir plus, elle vit un homme aux cheveux gris, plus âgé que la plupart des invités, se diriger vers eux : « Bonsoir Eric, ravi que tu aies pu venir ! Peux-tu me présenter ton amie ? ». Eric la présenta à celui qui était donc le maître des lieux. Mais la façon dont Eric, qu’elle croyait si bien connaître, la présenta, fut si inattendue et désarmante qu’elle en demeura comme hébétée : « Je vous ai amenée Sylvia car je crois qu’elle fera l’affaire. Elle ne le sait pas encore, mais elle vous conviendra et vous tirerez beaucoup de satisfaction ». Sylvia n’avait pas eu le temps de répondre que, déjà l’homme l’avait prise par la main et l’entraînait vers le petit salon ou se trouvait la créature qui l’avait tant intriguée. Celle-ci se tenait immobile et Sylvia vit qu’elle était vraiment nue sous la mousseline, à l’exception d’une lourde ceinture métallique qui ceignait sa taille. L’homme qui tenait toujours Sylvia par la main s’arrêta devant la jolie brune qui baissa les yeux et qui, sans que l’homme eut prononcé le moindre mot, écarta les jambes et releva la robe au dessus de son pubis décoré d’un étroit triangle de poils qui paraissaient tressés tant la toison semblait compacte. La main de l’homme s’avança et Sylvia, effarée et subjuguée, vit les doigts prendre possession du ventre et imprimer un mouvement que la belle brune accompagnait de ses hanches… Cependant, de son autre main, il tenait toujours celle de Sylvia, pétrifiée. Pétrifiée et bouleversée, pétrifiée et terrorisée par un sentiment qui venait de l’envahir : Elle aurait, sans comprendre pourquoi, voulu être à la place de la « servante » car c’est ainsi (elle l’apprit par la suite) que tous l’appelaient. Bien qu’elle voulut refuser cette idée, il était évident qu’elle enviait la servante !... Eric les trouva dans cette posture, la servante ondulant sous les doigts de l’homme, Sylvia tétanisée, sa main captive. Un groupe d’hommes et de femmes l’accompagnait et, curieusement, personne ne semblait prêter attention à l’insolite de la scène ! « Alors, Max ? Comment la trouvez-vous ? » dit Eric en s’adressant à l’homme aux cheveux gris. Ce dernier, esquissant un sourire, se contenta d’attirer Sylvia contre lui et Sylvia se sentit perdue. C’est alors qu’elle comprit pourquoi Eric l’avait conduite ici et pourquoi il avait précisé : « elle vous conviendra et vous tirerez beaucoup de satisfaction »… La servante gémissait dans l’indifférence générale et Sylvia, pressée contre le maître des lieux, sentit son ventre couler et brûler. Ses jambes devenaient molles, son cœur s’affolait, sa vue se troublait. Pourquoi ne me caresse-t-il pas ? pensa-t-elle soudain, et immédiatement elle tenta de chasser cette idée et esquissa un mouvement de retrait. Max, comme s’il avait deviné sa pensée lui intima l’ordre de ne pas bouger, et Sylvia ne bougea plus. La servante avait le souffle court, des sons significatifs émanaient de sa bouche, puis elle cria, hoqueta et enfin, sans que Max lui eut dit quoi que ce soit, elle se recula, se mit à genoux et entreprit de lécher les doigts de l’homme. Sylvia, fascinée, n’osait bouger. Max se détournant de la servante fit face à Sylvia qui instinctivement baissa les yeux. De sa main encore mouillée, il entreprit de caresser les cuisses de Sylvia qui se mit à trembler. « Enlève-moi cette culotte » dit-il sur un ton impérieux et Sylvia s’exécuta sans même réfléchir. Elle ne se sentait plus perdue, elle était perdue. Max la dévisagea de ses yeux couleur mousse et son regard était si intense et pénétrant que, comme un automate elle ferma les siens et écarta légèrement les jambes, et attendit.
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