Déplacer pour recadrer votre photo

Hamadryade

femme soumise. 53 ans. a une relation BDSM.
Obsédé.e Textuelle
89 membres Autres sujets
Sur ce groupe nous vous proposons de poster vos écrits, fantasmés, réels, imaginaires, crus, pudiques, longs, courts, en prose, en vers, en verlan (mais en français lisible et intelligible par pitié). Régulièrement de nouveaux thèmes vous seront offerts, vous pourrez d'ailleurs aussi en proposer vous même dans le sous groupe prévu à cet effet, et vous pourrez donc offrir à tous la lecture de vos mots, bande d'obsédé.e.s textuelles que vous êtes ;) Pas de concours, pas de gagnant, pas de perdant, pas de limite de temps. Un sous groupe par thème choisi et chacun.e participe comme et quand il ou elle le souhaite. Pour le plaisir des beaux mots et des gros mots, pour le plaisir des sens titillés, des pensées livrées, des vers offerts qui se dégustent avec les yeux et le cerveau. Laissez courir vos doigts sur les claviers, régalez nous de vos envolées littéraires.
#Body_Positivism
20 membres Autres sujets
Le #BodyPositive et ses origines Le mouvement n’est pas tout neuf, puisqu’il remonte à 1996, mais Instagram lui a donné un souffle particulier, l’a relayé et a permis à chacun•e de se l’approprier. À son origine, deux femmes, Connie Sobczak et Elizabeth Scott. Elles expliquent sur le site de leur organisation que c’est la première qui a fait du Body Positive le combat de sa vie après son trouble alimentaire quand elle était ado, et la mort de sa soeur. « Elle a fondé le Body Positive en l’honneur de sa soeur, et pour s’assurer que sa fille Carmen et les autres enfants grandiraient dans un nouveau monde — un » Elizabeth Scott est quant à elle une psychothérapeute spécialisée dans les troubles alimentaires depuis 25 ans. Les deux femmes ont conçu le mouvement Body Positive comme le Body Positivism pourrait se définir dans l’idée que tous les corps sont de bons corps . La journaliste Marie Southard Ospina explique qu’il s’agit aussi de briser l’idée selon laquelle « mince = bonne santé / gros•se = mauvaise santé », soulignant que la morphologie n’est pas un indicateur du bon fonctionnement du corps. Elle ajoute également qu’être en mauvaise santé n’enlève par ailleurs pas le droit d’aimer son corps comme il est. Le Body Positive ne rejette rien à part les injonctions, avec notamment le hashtag #ThereIsNoWrongWayToBeAWoman : il n’y a pas de mauvaise façon d’être une femme. En ce sens, il est un mouvement inclusif, puisque quiconque se définissant comme « femme » est alors inclus sous cette étiquette. Aucun « modèle » féminin n’est considéré comme supérieur à un autre. Les publications sur ce groupe seront donc modérées si elles n'en respectent pas la philosophie. Le 100% porno n'a pas non plus sa place ici. Un touche plus ou moins grande de BDSM sur les photos sera plus que bienvenue mais n'est pas non plus obligatoire. Toutes les photos, personnelles ou non, allant dans le sens de l'acceptation de soi-même sont les bienvenues. Homme, femme, gros, grosse, grand, petit, queer, de "couleur", handicapé, poilu, chauve, tatoué, etc.
###PROFIL EN SOMMEIL######PROFIL EN SOMMEIL###Ambre
absolu713705
Arcroa
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