Le calme relatif du couloir contrastait avec le brouhaha du dancefloor.
Son sourire taquin ne faisait que mettre en valeur le collier de cuir lui ornant le cou, dont seuls les initiés peuvent comprendre la symbolique.
Un coup d’œil dans ma direction pour s’assurer que je la mate alors qu’elle discute avec une autre nana…. Puis elle s’éloigne.
Je la suis, pas trop près… Elle regarde derrière elle pour s’assurer de ma présence, personne ne nous calcule…. Elle se rend aux toilettes du club. Je marque un temps d’arrêt à l’extérieur puis je la suis. La dernière personne vient de sortir… Elle n’est pas là, en apparence, une seule cabine, une ombre, la porte n’est pas verrouillée…. J’ouvre
Elle est là, téméraire, audacieuse…. Et surtout à genoux, les yeux pleins de malice.
"- Et bien, ca ne se fait pas d’entrer dans des toilettes occupées !" me rétorque-t-elle, le sourire aux lèvres.
"- Tu ne peux t’en prendre qu’à toi-même, Tu n’as pas fermé la porte sale petite pute."
"- Oui, Monsieur. En effet…. Mais la vôtre !" fait-elle en se pourléchant les lèvres et en révélant un nouveau sourire narquois.
"- Ah ouais, tu veux jouer à çà ?"
"- Ouaaaaaais ! ", fait-elle en se penchant en avant en s’appuyant sur ses bras en entrouvrant la bouche et en me fixant d’un regard provocateur , « cap ou pas cap ? »
J’entre pleinement dans la cabine, et referme le loquet derrière moi, in extremis, car j’entends quelqu’un rentrer dans les toilettes. Je dézippe mon pantalon en silence, elle ne bronche pas et ses yeux suivent les miens. Je sors ma queue déjà dressée, et la regarde à mon tour sans parler, un sourire en coin. J’articule sans prononcer les mots « vas-y suces salope ! » Je lui attrape les cheveux fermement et viens ficher ma queue dans sa bouche lentement dans un profond silence et commence à lui baiser la bouche de la manière la plus discrète possible, elle se prête au jeu avec un regard complice et espiègle. Ses lèvres se referment sur moi, ses mains toujours posées au sol… elle me provoque, mais elle est en total service en même temps, et ne cesse de me fixer du regard. Je sens ses efforts de concentration pour ne pas faire de bruit. La personne présente à côté ressort des toilettes, nous sommes seuls à nouveau… j’en profite pour m’enfoncer au plus profond de sa gorge ne craignant plus les bruits ni les réflexes ; elle réagit bien, elle gère, je le vois dans ses yeux…. Je lui attrape alors la tête a deux mains pour la stabiliser et je finis de lui défoncer la bouche jusqu’à jouir rapidement dans sa gorge directement, provoquant un hoquet lorsque je me retire laissant un filet de bave et de sperme recouvrir son menton. Je l’attrape par le cou fermement mais gentiment pour « l’aider » à se relever.
"- Alors t’as bien dégusté ma chienne ? "
"- Délicieux Monsieur, comme toujours ! "
"- Tant mieux", répondis-je, en étalant sa bave sur son visage. "Parce que tu vas ressortir d’ici sans rincer autre chose que tes mains… Et tu as assez bu pour la soirée", toujours avec ce sourire en coin.
Un Mélange de surprise, de respect, de sens du défi, et de provocation lui font sourire à nouveau alors qu’elle vient souffler son haleine devant mon nez, pure provoc…
"- Comme il vous plaira Monsieur, après tout je suis Votre salope c’est vous qui décidez !"
Avec un clin d’œil taquin, elle me laisse là, ressort se laver les mains alors que d’autres personnes rentrent, elle m’adresse un regard silencieux complice, sourit, et sort des toilettes.
Je la rejoins dehors, elle va danser sur la piste. Je reste au comptoir. Elle me regarde une fois de plus, et se passe la langue sur les dents en se caressant elle-même la poitrine à travers ses habits, ne manquant pas d’attirer l’attention de quelques males en rut alentours bien chauffés…
Elle me regarde et me fait un clin d’œil genre « Et alors, vous vouliez une salope, assumez ! »…..
La nuit promet d’être longue, et sportive…
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DANDY83
Délicieux!
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12/02/25
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D’abord, il y a les Cordes, soyeuses, ou rêches, brulantes, contraignantes, à la fois dures, et douces, qui promettent serrage, maintien, soutien ou habillage.
Puis le Cuir, noir, rouge, ou toutes autres nuances. Sa texture, son odeur, sa symbolique, lien et fermeté, promesse de douleur, et de volupté, de luxure et de plaisir.
Viennent ensuite les Chaînes. Froides, métalliques, solides, incassables, elle tiennent le lien en place, assurent sa prise, symboles de fermeté, d’immuabilité, mais aussi les émissaires d’une forme de liberté.
Et tous ces éléments nourrissent le 4ème… la Chair. Malléable, douce, tendre, parfois ferme, écrin de beauté, parchemin d’émotions, tactile, lisse, et parfois moins, parfois moite et humide si nourrie des assauts des 3 premiers éléments.
Et Enfin, cet ensemble fait rayonner le Cœur… Le Cœur du lien, le Cœur des hommes des femmes unis par celui-ci. Ce 5ème élément apothéotique qui gouverne notre être, qui bat au rythme des 4 éléments qui le guident. Qui s’extasie, qui pleure, qui rit, qui saigne, qui jouit.
Le Cœur qui lâche enfin prise et s’envole dans la félicité, lorsque l’ensemble des éléments sont enfin réunis.
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Une éternité sans être venue ici, mais où donc pourrais je déclarer ma flamme? Me hante un souvenir récent et persistant de moi contre vous, votre sperme étalé entre ma poitrine et votre queue, moi enroulant discrètement mes orteils dans les brins du martinet posé au pied du lit: nous deux reprenant notre souffle.
A vous pour l'éternité restante
Angèle
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05/11/22
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Si tu cèdes à la vie, en étant à genoux,
Derrière toi tu oublies ce qu’étaient tes journées
Si mes ordres sont loi, et mes paroles sacrées
Sans peur de subir mon courroux.
Si ta peau est meurtrie, et tes seins, et tes fesses
Sous mes coups sans merci, et tout ton être acquiesce
Si ton corps tu fais mien pour modeler à ma guise
Sans fléchir, toute confiance acquise
Si tes entraves t’étreignent chaque jour qui passe
Qu’elles soient de chair, de corde, de chaine ou de cuir
Si ton corps se plie sans jamais l’envie de fuir,
Que ta bouche un soupir ne fasse
Si ta gorge ou même ton cul étanchent leur soif,
Que ton corps souillé d’or fièrement en témoigne
Qu’il demande encore plus de sentir mon empoigne
Et réclame maints crachats ou baffes
Si la salope docile que tu es aujourd’hui,
L’est moins que la belle pute que tu seras demain
Si ouverte tu t’offres, d’un geste de ma main
Que ce soit pour moi ou autrui
Si ma queue tu recherches, comme une récompense
Si ta chatte inondée devient ta délivrance
Si ton cul ouvert réclame bien des offrandes
Sans plus en faire la demande
Si enfin à ta vie tu ne trouves plus qu’un sens
Celui de bien servir en étant asservie
De te sentir être toi, quand tu obéis
Si tombent tes dernières défenses…
Alors les tracas, les doutes, l’ennui ou l’envie,
Seront à tout jamais éloignés de tes nuits
Et ce qui vaut bien mieux qu’une très longue vie sereine,
Tu seras esclave, ma chienne
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Merci Alberrrt d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.
Bonsoir ! Accepté et inscrits !
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24/12/19
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Les heures s’allongent, les jours s’étendent et alors que vient la nuit, le repos sacré, celui de l’âme, ne vient toujours pas.
J’ai quitté mon faux paradis, ce foyer soi-disant divin, habité pourtant des rires joyeux des chérubins qui me manquent parfois, je me rappelle…
J’ai quitté mon faux enfer, cet endroit soi-disant de chaleur, de souffrances, de stupre et de luxure, ce Pandemonium ou vivait autrefois cette succube Lilith qui s’en est allée, abandonnant ses propres ailes démoniaques. La retrouverai-je un jour, elle ou ses sœurs, réincarnée chez une autre…
Et J’erre, depuis, entre ciel et terre dans cette jungle où vivent les hommes et les femmes. J’erre dans ce Tartare, ce désert sans fin, sec et froid, seul et silencieux.
Je marche, car le vent souffle trop pour voler, tumultueux, semant mon parcours d’embuches et de douleurs.
Où es-tu ? Où es-tu ? Toi, qui redonneras gloire à mes ailes, calmeras ce vent, réchaufferas mon corps, étancheras ma soif, et égayeras mes oreilles ?
Et alors que les humains se lamentent, crient et pleurent que les Anges sont partis, que les cieux les ont abandonnés… L’un d’eux au moins pourtant, marche parmi eux et aimerait leur répondre que non, Nous sommes toujours là, je suis là… Mais je suis las… Ils ne voient pas, n’entendent pas, se détournent et oublient de vivre, oublient d’aimer, oublient de jouir… de la vie et du reste…
Où es-tu ? Toi qui peux me voir sous mon vrai visage, mi ange mi démon, aux ailes tantôt blanches tantôt noires, et qui m’accepte et me désire tel que je suis… Toi que je veux, toi qui me veux et qu’à nous deux fassions pleuvoir sur cette terre aride des larmes d’or qui changeraient les méandres du désespoir en rapides de la félicité.
Ce sont les mortels qui ont abandonné, les mortelles qui ont oublié qu’accéder au Divin n’était pas impossible. Ce sont les mortels qui se sont détournés des anges…
Ou es-tu ? Toi qui te soumettras pour voler, t’abandonneras pour aimer, te répandras pour régner… sur des jours lumineux et des nuits endiablées, pour des heures éternelles et des instants fulgurants.
Je te cherche… Guide moi à toi…
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